Mais pourquoi excluraient-ils le Falun Gong des enregistrements historiques

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Un article posté sur le site Minghui le 30 octobre 2011, raconte comment un canton en Chine est en train de compiler ses évènements historiques locaux sous la forme de chroniques. Le rédacteur dit : "Il ne doit pas être fait mention du Bureau 610 et du Falun Gong, ni en aucune façon de la pression internationale critiquant les questions des droits humains en Chine. L’ébauche des chroniques faisait mention du Falun Gong, mais ces sections ont dû être rééditées."

Des enregistrements historiques sont censés être fiables et rendre compte de tous les évènements importants. Zhang Xuecheng qui vécut durant la Dynastie Qing a dit : "un véritable enregistrement historique fait la chronique de tout ce qui arrive dans un pays à n’importe quel moment. "

Des chroniques sont censées consigner tout ce qui est arrivé, sans ajouter d’interprétations ou de commentaires. Elles sont censées exprimer la moralité et la justice, tout enregistrer des temps anciens aux temps modernes, et honorer les bonnes actions et le mérite. Elles rendent compte des circonstances naturelles et des coutumes sociales, des bons et des mauvais points, afin que les générations futures puissent bénéficier des leçons apprises dans le cours de l’histoire et ne pas répéter les mêmes erreurs. Par conséquent, ceux qui écrivent les rapports historiques sous forme de chroniques doivent être objectifs, impartiaux, et enregistrer les choses telles qu’elles sont. Ce n’est que de cette façon que la véritable histoire peut-être enregistrée pour les générations futures.

Dans la Chine ancienne, les historiens, tels que Dong Hu de l’état de Jin et les trois frères de l’état de Qi, considéraient le fait d’être véridiques en consignant l’histoire comme leur devoir inattaquable. Ils ne tremblaient pas devant les menaces du pouvoir politique ou la violence. C’est grâce à des historiens comme eux qu’une histoire complète et crédible de la Chine et d’autres parties du monde a été préservée.

Le Parti communiste chinois (PCC) maintient son régime branlant par le mensonge, la tromperie et la violence. Durant ses soixante ans de règne répressif, plus de quatre-vingt millions de Chinois sont morts de morts non naturelles et prématurées. Le PCC a également détruit les valeurs traditionnelles chinoises comme le respect de la nature et l’amour pour autrui ; des vertus qui ont été transmises pendant des générations. Un régime malfaisant comme le PCC ne veut pas entendre ni voir la vérité, et ne tolèrera assurément pas ceux qui consignent fidèlement l’histoire.

Pour chanter ses propres louanges, le PCC a ordonné à sa machine administrative au-dessus du niveau de canton de compiler les enregistrements historiques de toutes ces années passées. Les chroniques devraient consigner les évènements majeurs dans chaque canton et couvrir tous les départements administratifs et leurs fonctions, enregistrant aussi les noms de ceux dans des positions de supervision.

Alors pourquoi le Bureau 610 en est-il exclu ? Le Bureau 610 exécute aveuglément les ordres qui lui viennent directement du PCC. Ils le font sans même questionner ces ordres. Pourquoi ceci n’est-il pas enregistré dans les annales de l’histoire ?

Le Bureau 610 fait ce qu’on lui ordonne et fera n’importe quoi et tout ce qui est possible pour réprimer le Falun Gong. Pourquoi ses actions et son existence même devraient ils ne pas figurer dans les chroniques locales ? L’ancien chef du PCC, Jiang Zemin, et son régime ont mobilisé l’appareil d’état tout entier pour réprimer le Falun Gong ces douze dernières années. Pourquoi la connaissance de ceci devrait-elle être supprimée ?


Pourquoi les enregistrements historiques ne mentionnent-ils pas le Falun Gong ?

Le PCC a toujours nié l’existence du Bureau 610 lorsque les journalistes étrangers posaient des questions. Pour cacher son existence, le PCC a changé à répétition le nom officiel du Bureau 610. Le PCC sait bien que le Bureau 610 est une organisation illégale et utilise tous les moyens à sa disposition pour le cacher au public.

Ceux qui travaillent au Bureau 610 ont abandonné leur conscience par avidité et refusé d’écouter les avertissements des pratiquants de Falun Gong à propos de futures représailles. Ces personnes encourent souvent la rétribution karmique pour leurs mauvaises actions sous la direction du PCC. Pourtant, le PCC était et est trop honteux pour reconnaître leur existence.

En le considérant sous un autre angle, le PCC donne principalement ses directives et ses ordres de persécuter le Falun Gong, verbalement. Pourquoi seulement verbalement ? Parce qu’il ne veut laisser derrière aucune preuve écrite de sa connexion avec le bureau 610. Par conséquent, le PCC ne peut pas permettre qu’un enregistrement historique soit disponible, documentant ses accomplissements en réprimant le Falun Gong. Ils craignent que lorsque le Falun Gong sera réhabilité dans le futur, leurs soi-disant accomplissements deviendront la preuve des crimes qu’ils ont commis envers le Falun Gong.


En dépit de ses nombreux noms, la vraie nature du Bureau 610 est claire

Le Bureau 610 est officiellement appelé ‘Le Comité central directeur du PCC pour la gestion des questions du Falun Gong.” Parce qu’il a été établi le 10 juin 1999, il est appelé le Bureau 610. C’est une unité illégale qui existe à tous les niveaux des bureaux gouvernementaux, central, provincial et local, et il a été créé dans le seul but de persécuter le Falun Gong.

Il est similaire au " Comité central directeur de la Révolution culturelle " qui existait voici quarante ans et à la Gestapo de l’Allemagne nazie. Comme de nombreux crimes du Bureau 610 ont été révélés à la société internationale le PCC a changé son titre pour "Bureau de la Prévention", puis "Bureau général administratif ", suivi du nom de " Bureau de la stabilité sociale. "

Durant les derniers douze ans, l’autorité du Bureau 610 a supplanté même la constitution chinoise. Il manipule les instances représentatives du régime chinois à tous les niveaux dans le but de calomnier et monter des machinations contre les pratiquants.

Le Bureau 610 a dépensé d’énormes sommes d’argent pour construire des centres de lavage de cerveau à travers le pays et a même contrôlé et contrôle encore tous les systèmes juridiques, procéduraux et judiciaires, dans ses efforts pour persécuter impitoyablement les pratiquants.


La persécution du Falun Gong et le Bureau 610

De nombreux pratiquants ont été arrêtés et des dizaines de milliers ont été condamnés à la prison ou aux camps de travaux forcés. Il y a plus de 3500 morts confirmées, la plupart suite à la torture. Il y a plus de 100 méthodes de torture, telles que forcer des pratiquantes enceintes à avorter, injecter des drogues endommageant les nerfs, choquer avec des bâtons électriques à haut-voltage et arracher les ongles de mains et de pieds. En 2006, des témoins ont révélé l’existence de camps cachés où des organes étaient prélevé sur des pratiquants vivants et vendus pour le profit. La brutalité de tels actes restera sans doute le crime le plus choquant jamais connu durant la longue histoire du monde.

Ceux qui commettent de tels crimes haineux seront jugés et punis dans le futur, même si leurs crimes n’ont pas été documentés. Peu importe comment le PCC déforme le vrai et le faux et maintient les faits cachés, la vérité finira par se savoir et sera enregistrée dans les chroniques.

Durant la Révolution culturelle, les Gardes Rouges étaient au-dessus de la loi et de chacun. Ils ont commis d’horribles crimes, combattre voler et tuer sans raison. Après que la Révolution ait pris fin, beaucoup ont été arrêtés et emmenés en prison, et beaucoup ont été exécutés en secret. Le PCC a tué ceux qui commettaient leurs crimes dès qu’il n’en avait plus besoin.

Peu importe que ces chroniques locales aient ou non documenté les crimes commis par ceux travaillant pour le 610. Tant qu’ils ont activement participé à la persécution, ils ne pourront pas se cacher éternellement. Le PCC a réécrit et déformé l’histoire de la Chine, et ce faisant il forge son propre chapitre de l’histoire. Dans le long terme, personne ne croira à aucun des enregistrements historiques compilés par le PCC ;


Les fonctionnaires infâmes ne peuvent pas échapper à la retribution pour leurs méfaits

Des sites Internet et des organisations telles que le Centre d’information de Falun Dafa, Minghui/Clearwisdom, l’Organisation mondiale d'investigation de la persécution du Falun Gong, la Coalition d'investigation de la persécution du Falun Gong, fawanghuihui.org, et la Coalition globale pour traduire Jiang en justice, ont rassemblé des volumes de cas de persécution en Chine. L’information a obtenu une attention mondiale. Ces cas sont la véritable histoire de la persécution du Falun Gong par le PCC et leur existence est comme une épée suspendue au-dessus des malfaiteurs du PCC.

Les hauts fonctionnaires du Bureau 610 central du PCC, Luo Gan et Zhou Yongkang, ainsi que les chefs de nombreux Bureaux 610 d’agglomérations et de provinces, sont poursuivis dans de nombreuses cours de justice internationales. En novembre 2009, la Cour nationale d’Espagne a inculpé les fonctionnaires chinois Jiang Zemin, Luo Gan, Jia Qinglin, Wu Guangzheng et Bo Xilai sur des accusations de génocide et de torture pour avoir agressivement participé à la persécution du Falun Gong. Les cours de vingt autres pays ont également commencé à inculper ces hauts fonctionnaires. Certains pays les ont même interdits d’entrée.

En dépit du blocus du PCC, des nouvelles de chefs de 610 à travers la Chine trouvant la mort de façon inattendue ou contractant des maladies fatales continuent à être révélées. Le site Internet Minghui a rapporté plus de 500 cas d’agents de Bureaux 610 confrontés à la rétribution karmique. Le chef du Bureau 610 central, Liu Jing, a un cancer et de nombreux chefs de Bureaux 610 locaux sont décédés. C’est un phénomène qui arrive encore et encore, tant de gens qualifient la position de chef d’un Bureau 610 de position de mort. En voici certains exemples :

  • Zhang Shiming, le premier directeur du Bureau 610 à Huanggang City, province du Hubei, est mort d’un infarctus aigu du myocarde le 14 février 2005 à l’âge de 48 ans. Le second directeur du même Bureau 610, Wang Kewu, a contracté un cancer du foie et est mort en avril 2005
  • Li Qun, directeur du Bureau 610 à Yakeshi, en Mongolie intérieure, est mort d’un cancer. Le directeur après lui, Lin Haiqing, a également été affligé d’une maladie terminale et a dû démissionner de son poste.
  • Le 8 novembre, 2004, le directeur du Bureau 610 à Hekou City dans la province de Jilin, Wang Funian, et trois autres agents du Bureau 610 étaient en chemin pour arrêter des pratiquants. Leur véhicule est tombé d’un pont et deux des agents sont morts sur le coup.
  • Men Yijing et Bai Weiquan, directeurs du Bureau 610 dans le canton de Qingyang, province de Gansu, étaient en chemin pour torturer des pratiquants de Falun Gong le 8 janvier 2003. Leur véhicule s’est retourné et tous les deux sont morts.

De nombreux haut-fonctionnaires du PCC ont déposé leurs gains mal acquis sur des comptes bancaires à l’étranger. Ils ont des passeports étrangers afin de pouvoir s’échapper à tout moment. Certaines personnes essaient de trouver une voie de sortie en rassemblant des preuves qui les disculpent ; forcés d’exécuter la persécution ordonnée par les Bureaux 610. C'est possible dans certaines régions où les Bureaux 610 au-dessous du niveau du canton ont été instruits de rassembler tous les dossiers et matériaux liés à la persécution du Falun Gong remontant jusqu’en 1999.

Le numéro de février du magazine Front Line de Hong Kong (qian shao yue kan) a publié un article qui contenait les aveux de l’ancien dirigeant chinois Jiang Zemin. L’article était intitulé " Les deux évènements majeurs que Jiang Zemin a le plus regretté dans sa vie ; L’un d’eux est la répression du Falun Gong,. Selon une personne au courant, Jiang a écrit plusieurs articles du type 'souvenir de mon père' au nom de ses enfants prévoyant de les faire publier après sa mort. Il essaie de nier sa responsabilité dans la persécution du Falun Gong.

Même Jiang Zemin, celui qui a lancé la persécution du Falun Gong, prévoit une voie de sortie pour éviter le jour des comptes. Pas étonnant que d’autres autorités à travers la Chine essaient de dissimuler cette partie de l’histoire.

Les empereurs dans la Chine ancienne pratiquaient la moralité et gouvernaient le pays prudemment parce qu’ils craignaient de laisser un enregistrement d'éventuelles mauvaises actions dans les annales de l’histoire.

L’histoire est le miroir le plus impartial et le plus juste, les esprits pervers ne s'y refléteront pas comme des hommes d’honneur. Un parti politique cruel et impitoyable comme le PCC laissera aussi un enregistrement retraçant ses mauvaises actions en dépit de ses grands efforts pour l’effacer .

Lorsqu’une nouvelle page sera tournée, ceux participant activement à persécuter les bonnes personnes trouveront leurs noms inscrits sur la Colonne de la honte pour l’éternité, et les gens du futur seront capables d’apprendre une profonde leçon des fautes que ces malfaiteurs ont commises.

Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2011/12/19/这事怎能不写在史志上--250725.html

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