Le prix de la persécution

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En raison de l'intense pression à long terme de la propagande et des calomnies du Parti communiste chinois, beaucoup de gens sont devenus réticents à écouter les faits concernant le Falun Gong et la persécution. Que les gens soient prêts à l'admettre ou non, tout le monde en Chine souffre de la persécution. Tout le monde en paye le prix, et ne vas pas tarder à s'en rendre compte.

Près de 100 millions de gens pratiquaient le Falun Gong quand la persécution a commencé, qui ont été privés de leurs droits fondamentaux. Cela a directement bafoué le système judiciaire, et accéléré la chute des valeurs morales. En conséquence, la société sous le PCC est devenue encore plus chaotique et tout le monde, des gens ordinaires aux hauts fonctionnaires, vit dans une société injuste avec d'intenses pressions politiques. Tout le monde a peur d'être affecté, chacun est par conséquent une victime.


Le "Bureau 610": Une institution spécialisée de persécution

En vue de réprimer le Falun Gong, l'ancien chef du PCC Jiang Zemin a formé un groupe de type Gestapo nommé "Bureau 610. Au cours des 12 dernières années, ce système est devenu plus institutionnalisé et spécialisé dans ses actions d'abus des droits de l'homme. Non seulement un grand nombre de pratiquants de Falun Gong en sont victimes, mais aussi tous ceux suffisemment courageux pour dire la vérité et protéger leurs droits légaux peuvent devenir des cibles de la persécution.


Le droit de pétitionner perdu

Depuis le 25 avril 1999, les pratiquants de Falun Gong ont pacifiquement fait appel et pétitionné espérant communiquer avec le gouvernement chinois. Cependant, Jiang Zemin a donné l'ordre de "détruire le Falun Gong en trois mois" et la persécution s'est rapidement étendue à tout le pays. Même ainsi, les pratiquants de Falun Gong continuent à essayer d'exprimer rationnellement et avec bonté aux différents niveaux des gouvernements leurs souhaits d'exercer leurs droits fondamentaux. Depuis le 20 juillet 1999, toutes sortes d'appels pacifiques ou de manifestations ont été réprimés dans toute la Chine.

Aujourd'hui, les droits fondamentaux des personnes à faire appel et manifester pacifiquement, qui sont protégés par la Constitution chinoise, ont été perdus, et les manifestations pacifiques sont réprimées à quelques exceptions près. Par exemple, ce mois d'août, dans la ville de Dalian, province du Liaoning, plusieurs dizaines de milliers de gens sont allés dans les rues pour protester contre le projet PX du gouvernement, un projet pétrochimique toxique, qui mettrait en danger la santé des gens. Le gouvernement de Dalian a envoyé un grand nombre de policiers armés pour essayer d'arrêter la marche. Certains citoyens ont affronté la police et la police a utilisé des matraques et des gaz lacrymogènes pour «mater la violence» et les a même utilisés sur des enfants et des personnes âgées. Par la suite, le Global Times, la version anglaise du journal de propagande du régime communiste le People's daily, a déclaré que "les manifestations ne sont pas la bonne façon pour le peuple chinois d'exprimer son mécontentement."

Cependant, avec l'intensification des conflits sociaux, les gens n'auront d'autres choix que d'intensifier leurs actions de lutte pour leurs droits


Le système de pétition détruit

Wang Yonghang, un avocat qui s'est exprimé en faveur des pratiquants de Falun Gong, a écrit en 2008 aux plus hautes autorités judiciaires de la Chine, le Procuratorat suprême du Peuple et la Cour suprême. Il déclarait dans sa lettre, "Les faits de ces neuf dernières années prouvent que les difficultés juridiques rencontrées par les pratiquants de Falun Gong hier seront répétées sur d'autres groupes aujourd'hui, y compris les pétitionnaires pour des causes diverses, les gens impliqués dans des incidents de masse avec un fort impact, les membres des églises chrétiennes etc. Nous pouvons dire que la situation des pratiquants de Falun Gong, citoyens privés de toute protection juridique, illustre toute la branche législative et judiciaire depuis 1999."

Il indiquait également dans la lettre : "Pour la première fois, en 1999, le gouvernement a utilisé l'interprétation juridique et judiciaire pour priver les pratiquants de Falun Gong du droit de faire appel. Ce droit est accordé aux citoyens chinois, y compris les pratiquants de Falun Gong, par la Constitution chinoise. En 2005, des 'Règlements de Pétition' ont été établi qualifiés de 'loi perverse' par le monde juridique. Depuis lors, il est devenu illégal de faire 'appel à des niveaux plus élevés' et 'avec un groupe de plus de cinq personnes'.»


Des prisons noires partout avec une utilisation excessive de la torture

"La veille de la mort de Chen Zixiu ses ravisseurs ont de nouveau exigé qu'elle renonce à sa foi en Falun Dafa. À peine consciente après des décharges électriques répétées au moyen d' un aiguillon à bétail, la dame de 58 ans a obstinément secoué la tête. Furieux, les responsables locaux ont ordonné à Mme Chen de courir pieds nus dans la neige. Deux jours de torture avaient laissé ses jambes meurtries et ses courts cheveux noirs étaient mêlés de pus et de sang, ont déclaré des co-détenus et d'autres prisonniers qui ont été témoins de l'incident. Elle a rampé à l'extérieur, a vomi et s'est effondrée. Elle n'a jamais repris conscience et est morte le 21 février." (Wall Street Journal - "Pratiquer le Falun Gong est un droit, a dit Mme Chen jusqu'à son dernier souffle")

Mme Chen a été arrêtée à la gare de Weifang, province du Shandong, le 17 février 2000, et a été emmenée au "Centre de transformation» du bureau de la rue Weifang Chengguan. Là, Mme Chen a été soumise à une bastonnade brutale et à la torture. Ces "centres de transformation" sont ce que l'on appelle en fait des «prisons noires». Dans ces lieux, les responsables locaux détiennent les pratiquants de Falun Gong de façon à les empêcher de faire appel, et les y contraignent à abandonner leurs croyances. Depuis que la persécution a commencé, d'innombrables pratiquants de Falun Gong ont subi des tortures physiques et mentales dans ces prisons noires et beaucoup en sont morts.


Des occasions pour les fonctionnaires d'obtenir de l'argent

"Ruinez-les financièrement" a été l'un des objectifs du groupe de Jiang Zemin afin de réprimer les pratiquants de Falun Gong. Les différents niveaux des "Bureaux 610" et des représentants du gouvernement ont été largement encouragés à prendre les biens personnels et l'argent des pratiquants de Falun Gong pour les forcer à renoncer à leurs convictions. Comme les responsables à différents niveaux le font, non seulement ils accomplissent leurs tâches, mais ils se remplissent également les poches, et deviennent de plus en plus gourmands.


"Comptez cela comme suicide"

"La mort de pratiquants de Falun Gong suite aux passages à tabac n'est rien et sera comptée comme suicide", "Le corps doit être directement incinéré sans rechercher l'identité de la personne", telle a été l'une des politiques servant l'un des trois objectifs de Jiang Zemin, "les détruire physiquement". Cette politique permet aux différents niveaux de fonctionnaires du gouvernement de persécuter les pratiquants de Falun Gong sans réserve. Dans de nombreux cas, quand les pratiquants de Falun Gong sont torturés à mort, la police et les fonctionnaires ont simplement à dire qu'ils se sont suicidés, en dépit du fait que la famille ait vu les contusions, les blessures et les preuves de coups sur le corps.

Maintenant, les fonctionnaires et les policiers ont appliqué l'objectif "Comptez cela comme suicide" sur un large éventail de groupes vulnérables. "Comptez cela comme suicide" est également devenu un des sujets largement débattus sur l'Internet aujourd'hui.


Blocus internet

Le 12 janvier 2010, Google a annoncé qu'il ne tolérerait plus la pression de la Chine pour éliminer les informations sensibles, et qu'il se retirait de la Chine. Une enquête ultérieure a révélé que le PCC avait contraint Google à éliminer 970F des informations du Falun Gong.

Le "projet du bouclier d'or" du ministère chinois de la Sécurité publique a été lancé le 25 avril 2001 et s'est achevé fin juin 2006. Beaucoup d'argent et d'expertise ont été engagés pour bloquer et surveiller l'Internet. L'une des principales cibles du blocus est bien sûr les faits de la persécution du Falun Gong que le régime communiste veut à tout prix éviter que la population chinoise apprenne.

Le 17 juillet 2011, CCTV7 (canal de télévision officielle de la Chine pour l'armée et l'agriculture) a révélé que l'École militaire chinoise recherche et développe un système de réseau d'attaque, pour cibler le site Internet du Falun Gong à l'étranger

À mesure que les chinois se réveillent et que la conscience de devoir protéger leurs droits augmente, les gens utilisent toutes sortes de moyens pour briser le blocus Internet, et ils en viennent à connaître les faits dans de nombreux domaines. Cela a causé une grande panique au sein du PCC et le blocus d'Internet est encore plus strict. Cela isole encore plus le citoyen chinois moyen, non seulement des faits concernant le Falun Gong, mais de l'information générale à laquelle a accès le reste du monde.

Dix ans et plus de persécution des pratiquants de Falun Gong ont fait beaucoup souffrir le peuple chinois . Connaître les faits sur la persécution du Falun Gong n'aiderait pas seulement chaque chinois à comprendre la malfaisance du PCC et la source de leur souffrance, mais rendrait aussi davantage de gens avertis de la façon de protéger leurs droits fondamentaux.


Version chinoise:
http://minghui.ca/mh/articles/2011/10/12/247800.html

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