Mme Zhao, une pratiquante de Falun Gong s’est vue annuler son visa de visiteur à long terme et a été forcée de quitter Singapour en mai 2010. Mme Cui, également pratiquante de Falun Gong a essayé de renouveler son visa fin août. Sa demande a été rejetée le 28 août 2010.
Comme Mme Zhao, Mme Cui rend visite à sa fille qui fait ses études à Singapour. Elle est à Singapour depuis environ quatre ans. Ces deux dernières années, Mme Cui s’est souvent rendue sur des sites touristiques fréquentés de Singapour – le Parc de l’esplanade et Mont Fabre informant les touristes du monde entier à propos du Falun Gong et de la persécution. Le 13 août 2010, Chen un policier de la Division de police centrale est arrivé à l’esplanade avec cinq policiers et ils ont confisqué de force imprimés et panneaux de clarification de la vérité et relevé les informations sur la carte d’identité des pratiquants. Mme Cui a refusé de coopérer, suspectée d’être une immigrante illégale elle a été emmenée de force au poste de police central pour être interrogée. Elle a été libérée après presque deux jours de détention. Plus tard, Mme Cui s’est rendue au poste de police pour informer les policiers de la persécution du Falun Gong en Chine. Un fonctionnaire de l’immigration de Singapour lui a appris que son visa de visiteur à long terme allait être annulé quand elle est allée faire la demande de renouvellement le 28 août 2010.
La Division de la police centrale lui a remis un permis de résidence temporaire de deux semaines son cas ayant été transmis au bureau du procureur général pour enquête. Depuis Mme Cui doit prolonger son permis de résidence temporaire chaque semaine avec une lettre explicative de la police. Le 18 novembre, le policier Lan de la division de police centrale l’a appelée pour l’informer qu’elle devait venir le voir à 10h00 du matin le 19 novembre à son bureau au troisième étage avec son passeport et son permis temporaire de résidence. Il a alors informée Mme Cui qu'elle était passible d'un avertissement disciplinaire pour affichage sans permis. Puis il l'a emmenée dans un véhicule de police au Bureau des services
Le fils mineur de Mme Cui étudie toujours à Singapour. Un tel traitement déraisonnable a mis la vie de Mme Cui dans une situation très difficile. Elle a fait appel aux agents de l'mmigration, et demandé l'aide de l'ambassade américaine à Singapour, qui était alors fermée.
Mme Cui est l'une des nombreux pratiquants de Falun Gong qui ont été victimes de la persécution à Singapour. Plusieurs membres de l'Ensemble Tian Guo (pays céleste), ont été victimes de discrimination lorsqu'ils ont demandé une prolongation de leur visa ou le renouvellement de leur statut de résident permanent. Mme Zhao et Li Li, chef d'orchestre de la bande, ont vu leurs demandes rejetées et ont été forcés de quitter
Depuis que le Parti communiste chinois a lancé la persécution du Falun Gong en 1999, les autorités de Singapour ont succombé aux séductions et aux pressions du PCC et réprimé les pratiquants de Falun Gong locaux. Des fonctionnaires de Singapour ont collecté les noms des pratiquants de Falun Gong locaux par tous les moyens possibles pendant une longue période, puis ils leur ont rendu les choses difficiles lors de demandes de renouvellement de visa ou de permis de séjour ou de passes.De nombreux pratiquants chinois qui accompagnaient leurs enfants qui étudient à Singapour ont été forcés de quitter Singapour et de retourner en Chine après que leur demande de prolongation de visa ait été rejetée, avec pour conséquence de faire face à une persécution encore plus brutale. La police de Singapour a porté de fausses accusations et mené les pratiquants au tribunal six fois en 2001, 2004 et 2006, parce que les pratiquants avaient distribué des informations sur le Falun Gong. Certains pratiquants ont été condamnés à la prison et d’autres contraints de quitter Singapour. Dans les cas récents, sept pratiquants qui ont longtemps fait les exercices et la 'clarification de la vérité' sur le parc de l'Esplanade, ont été arrêtés avant la visite de Hu Jintao à Singapour en 2009 lors du Sommet de l'APEC. Un tribunal secondaire a commencé un procès contre les pratiquants en les accusant de vandalisme, depuis le 18 novembre.
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