1-1-5. Recourir aux mauvais traitements pour détruire l'esprit de quelqu'un
Pour les pratiquantes de Falun Gong, achever le travail demandé est un détail. Mais c'est déchirant lorsqu'un gardien de prison oblige une pratiquante à écrire un article attaquant le Maître, Dafa ou elle-même. Si elle refuse de l'écrire, elle sera attaquée, insultée et critiquée. Lorsqu'elle a le désir de quitter cet antre infernal ou de voir sa peine de prison réduite, elle est sous leur contrôle. Elle doit continuellement attaquer le Maître, Dafa et elle-même, et aider les gardes de prison à forcer d'autres pratiquantes à renoncer à Dafa. De plus, si elle a des membres de sa famille qui pratiquent Dafa, on l'oblige à leur écrire de renoncer à la pratique et d'abandonner leurs livres et documents y afférents, et à chanter les louanges des gardes de la prison.
Les gardes exigent que les gens écrivent des articles faisant l'éloge du Parti communiste chinois (PCC). Ils veulent également des articles qui fassent leur éloge et celui de leur travail en essayant de transformer les pratiquants. Les articles doivent inclure des mots tels que " grandiose, altruiste et dévouement. "
1-1-6. Utiliser des enregistrements et des appels téléphoniques pour laver le cerveau des gens
Ces dernières années, la cinquième brigade de la prison pour femmes de Shanghai a eu la responsabilité de persécuter les pratiquants de Falun Gong. Les gardes ont maintes fois passé des cassettes injuriant Dafa à plein volume dans les salles de la prison afin de réaliser la soi-disant " transformation". Le 7 juin 2007, Shi Lei, le commandant de la cinquième brigade, a appelé la fille de Mme Zheng Aihua, une pratiquante de Falun Gong, à Hong Kong et passé une cassette utilisée pour le lavage de cerveau.
Plus d'information à propos des appels téléphoniques :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2007/7/7/87430.html
1-2 Persécution dans d'autres escouades
Si une pratiquante est capable de résister à la persécution dans la cinquième brigade, elle sera envoyée dans d'autres brigades.
En 2001, la seconde brigade a conçu une nouvelle méthode de torture " Porter des vêtements serrés" (également connue sous le nom de " sac en contraction" ou "habit en contraction ") afin de nuire aux pratiquants. Une telle méthode viendrait du camp de travaux forcés de Masanjia. Apparemment, porter un vêtement serré ne semble pas aussi terrible que les menottes. En réalité, il crée de graves dommages au corps parce qu'il entrave la circulation sanguine du corps tout entier et affecte la respiration. C'est un vêtement spécial fait de canevas épais et rigide. En dessous des bras il y a des bandes de caoutchouc qui contractent le vêtement. Si une pratiquante est attrapée en train de faire les exercices, elle doit porter un tel vêtement. Pendant 24 heures, elle est forcée de rester dans une position fixe avec les deux bras bien fermés sous les aisselles, et les mains devant la poitrine. C'est si serré qu'il est impossible de faire un mouvement. Le vêtement n'est pas enlevé même pour aller aux toilettes.
1-3-Éléments d'investigation sur les prélèvement d'organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants
Une piste indique le prélèvement d'organes : on a appris que des analyses de sang ont été faites de nombreuses fois dans la prison pour femmes de Shanghai. Une pratiquante qui y a été emprisonnée durant cinq ans s'est souvenue de certains incidents importants qui pourraient être précieux pour les enquêteurs.
Plus d'informations :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2006/12/9/80708.html
2. Cas sévères de persécution
2-1 Mme Xi Jiao et Mme Li Huayan ont développé un traumatisme mental suite à la torture
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| Xi Jiao en bonne santé |
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| Xi Jiao après son effondrement mental |
(1) Xi Jiao, 33 ans, vivait dans le village de Baogangjiu, district de Baoshan, Shanghai. Elle a été arrêtée illégalement en juillet 2001 lorsqu'elle avait 24 ans. Elle a été d'abord emprisonnée dans le centre de détention de Baoshan pendant plus d'une année et a été persécutée jusqu'à ce qu'elle commence à souffrir de spasmes. En juillet 2002 elle a été condamnée illégalement à quatre anss et six mois de prison et a été transférée à la prison pour femmes de Shanghai.
Peu de temps après sont transfert à la prison pour femmes de Shanghai, elle a fait une dépression nerveuse et a été envoyée à la prison de l'hôpital. Après un mois elle a été renvoyée et placée avec des détenues criminels très brutaux. Cet environnement terrible l'a beaucoup blessée et conduite à un effondrement mental. En 2003 elle a été envoyée à l'hôpital psychiatrique du district de Baoshan. Les fonctionnaires de la prison ne voulaient pas que sa famille le sache et lui ont donné un autre nom, Xue Jiao. Elle est restée dans cet hôpital pendant trois mois.
De 2007 à 2010 les policiers n'ont jamais arrêté de la harceler et de la soumettre à la pression. Au cours de cette période elle a été envoyée à l'hôpital psychiatrique trois autres fois.
Une personne voulant pratiquer Authenticité-Bienveillance-Tolérance, a été transformée en malade mental. En dépit de son état les autorités ont continué à la persécuter. Elle ne peut plus mener une vie normale, et les membres de sa famille et elle sont sous une intense pression psychologique et financière.
(2) La pratiquante de Dafa, Li Huayan, actuellement la trentaine, a été arrêtée et envoyée à la prison pour femmes en novembre 2005. Elle a été enfermée dans une cellule d'isolement pendant de longues périodes. En mai 2006, ses mains ont été menottées derrière son dos pendant une semaine. Elle était incapable de penser clairement après cela, et agissait de manière imprévisible. Les gardes ont dit qu'elle affectait la maladie mentale, et ne l'ont pas envoyée à l'hôpital. Ils ont attendu que sa peine de prison soit terminée en février 2008 pour la relâcher.
Traduit de l'anglais en Suisse.
Version chinoise :
http://minghui.org/mh/articles/2010/5/18/223834.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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