Liste du contenu:
1. Résumé
1.1 "Une escouade spéciale pour le Falun Gong"
1.2 La persécution dans les autres escouades
1.3 Éléments d'enquête sur le prélèvement d'organes sur des pratiquants du Falun Gong de leur vivant
2. Cas graves de persécution
2.1 Mme Xi Jiao et Mme Li Huayan sont atteintes de troubles mentaux suite à la torture
2.1 Mme Ge Wenxin et Mme Xu Meijing décèdent suite à la torture
2.3 Jiang Yu, ancien professeur à l'Ecole Normale de Huadong, Shanghai est maltraité
2.4 Le visage de Mme Yang est défiguré et elle a eu des os fracturés suite à la torture
2.5 Mme Dai Zhiying est enfermée en isolement
2.6 La vie de Mme Feng Rongxia est en danger
2.7 Une histoire sur la prison racontée par un pratiquant du Falun Gong
2.8 Un pratiquant témoin de la torture en prison
2.9 D'autres cas
3. Des voix non entendues
3.1 Lettre au directeur de la prison pour femmes de Shanghai
3.2 Lettre au procureur de l'usine de Qinqdong
3.3 Lettre au bureau du procureur de la prison pour femmes de Shanghai
3.4 Lettre au directeur de l'administration de la prison de Shanghai
3.5 Lettre au Ministère de la justice
3.6 Lettre au procureur de Shanghai
4. Justice est faite
Liste des scélérats
Rétribution
Contacts
Appendice : liste des pratiquantes du Falun Gong dans la prison pour femmes de Shanghai (incomplète)
La prison a été construite en septembre 1995 au sud de l'agglomération de Sijing, district de Songjiang à Shanghai. Des centaines de pratiquantes du Falun Gong ont été torturées dans cette prison depuis le début de la persécution, en juillet 1999. Beaucoup sont mortes ou sont devenues mentalement ou physiquement malades.
1. Résumé
De l'extérieur, la prison ressemble à un bel édifice. Il y a des pots de fleurs sur le bord des fenêtres du bureau des gardiens de prison. Sur le côté ouest il y a un grillage électrifié.
La section d'isolement est un endroit spécialement utilisé pour torturer les pratiquants de Falun Gong. Elle est divisée en trois parties. Les fenêtres et les portes sont toujours fermées. Il est difficile de voir ou d'entendre de l'extérieur ce qui se passe dans ces salles. Les gardiens y torturent souvent les pratiquantes. Par exemple quand les pratiquantes ont leurs règles, les gardiens versent de l'eau sale sur le sol et disent aux pratiquantes de s'asseoir dessus. Ils leur fourrent souvent des serviettes sales de la salle de bains dans la bouche, choquent leur visage et leur bouche avec des bâtons électriques, les menottent dans des positions suppliciantes, les suspendent par les menottes, les privent de sommeil, les forcent à rester debout 16 heures par jour et ne les laissent pas prendre de douche. Si des médias étrangers ou des organisations visitent la prison, les gardiens transfèrent ces pratiquantes à un endroit où les gens de l'extérieur ne peuvent pas les trouver.
1.1 "Une équipe spéciale pour le Falun Gong"
La 5ème brigade est "l'équipe spéciale pour le Falun Gong" et est connue du monde extérieur comme la "Brigade de l'apprentissage politique". La plupart des pratiquantes du Falun Gong y sont détenues. Le capitaine Hou Ruiqin a envoyé les gardiens qui travaillent à la brigade, à la prison pour femmes de Beijing, afin qu'ils apprennent comment torturer les pratiquantes et les forcer à renoncer au Falun Gong.
1.1.1. Le collaborateurs sont complices de crimes de torture
La plupart des prisonnières de la 5ème brigade sont des toxicomanes. Quand elles entrent à la brigade elles doivent être formées pour apprendre comment battre et torturer les pratiquantes afin qu'elles renoncent à leur croyance. Il y a également un système de points pour les prisonnières qui leur permet de réduire leur peine si elles coopèrent en torturant les pratiquantes.
Les gardiens causent aussi des problèmes aux collaboratrices si les pratiquantes dont elles sont chargées refusent de renoncer au Falun Gong. Toutes celles qui sont dans la même cellule que les pratiquantes seront punies – Elles doivent copier le règlement de la prison une douzaine de fois et sont privées de sommeil pendant plusieurs jours jusqu'à ce qu'elles terminent. Parfois, les jours chauds de l'été, on les met dehors à marcher. Les prisonnières souvent se vengent de leur rancune contre les gardiens en battant les pratiquantes.
(A suivre)
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