Mme Chen Shulan du district de Changping à Pékin a été arrêtée par des policiers du département de police du district de Changping le 16 septembre 2002, et a été condamnée à sept ans et demi. Elle a été détenue à la prison pour femmes de Pékin jusqu'à sa libération le 17 mars 2010, quand elle a été à nouveau arrêtée et amenée au centre de lavage de cerveau du district de Changping.
Ce qui est arrivé à la famille de Mme Chen au cours des dix dernières années est typique de la persécution inhumaine des pratiquants de Falun Gong par le gang de canailles du Parti communiste chinois (PCC). Son jeune frère, M. Chen Aizhong, alors dans le camp de travail forcé de Hehuakeng, ville de Tangshan, est mort de la torture le 20 septembre 2001. Une soeur cadette de Mme Chen, Mme Chen Hongping, a eu les deux jambes cassées lors de passages à tabac par les fonctionnaires du PCC avant d’être emmenée dans un camp de travail forcé. Elle est morte suite à la torture dans le camp de Gaoyang le 5 mars 2003. Le deuxième jeune frère de Mme Chen Shulan, M. Chen Zili, était en état critique quand il a été détenu dans la prison de Jidong, canton de Fengnan, ville de Tangshan, et il est décédé le 5 septembre 2004. Sa mère, Mme Wang Lianrong, est décédée le 4 août 2006, après avoir été forcée à quitter son domicile et se déplacer d'un endroit à l'autre pour éviter la persécution.
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| (Photo de la famille Chen) |
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| (Photo de M. Chen Hongping) |
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| (Photo de M. Chen Aizhong) |
En automne 2007 le père de Mme Chen Chulan, M. Chen Yunchuan, qui avait dissimulé son identité, et menait une vie misérable loin de chez lui, est allé à la prison pour femmes de Pékin pour rendre visite à sa fille, qu'il n'avait pas vue depuis des années. Les gardes ont refusé de la lui laisser voir, disant qu'il n'avait pas de carte d'identité ou autre identification. Le vieil homme voulait laisser certains vêtements et une somme d'argent pour sa fille, mais il n'a pas été autorisé à le faire non plus. Le vieil homme est décédé par la suite dans un accident de voiture, sans avoir jamais pu revoir sa fille avant sa mort.
Mme Chen et les cinq autres membres de sa famille étaient tous pratiquants. Ils étaient du village de Canfangying, agglomération de Xinbao, canton de Huaili, province de Hebei.
Après que la persécution ait commencé le 20 juillet 1999, cette famille était une épine dans le pied du PCC, alors contrôlé par Jiang Zemin. Après la mort du frère aîné de Mme Chen, M. Chen Aizhong, les fonctionnaires du PCC de la province de Hebei ont collaboré avec la police de Pékin pour essayer de forcer Mme Chen Shulan à signer un certificat de décès et lui ont ordonné ne pas révéler la nouvelle ni de la rapporter sur le site Internet Minghui, la menaçant d’emprisonnement si elle le faisait. Mme Chen Shulan n'a pas coopéré avec les malfaiteurs et a rendu publique la nouvelle que le PCC était derrière le meurtre de son frère. Le 16 septembre 2002, les fonctionnaires du PCC du canton de Huailai, province de Hebei, ont collaboré avec les fonctionnaires du district Changping de Pékin et arrêté Mme Chen Shulan. Elle a été transférée à la division numéro 7 du département de police de Pékin et plus tard condamnée à sept ans et demi d'emprisonnement. Quand sa peine a expiré, les autorités de la prison ont continué à refuser de la libérer.
Une source informée a révélé qu’ après que Mme Chen Shulan de Shahe du district de Changping ait été emprisonnée pendant sept ans et demi, elle avait été à nouveau arrêtée et emmenée dans le district de Changping le 17 mars 2010. Nous appelons les personnes de cœur au courant de révéler ce qu'ils connaissent du cas de Mme Chen Shulan.
Pour des détails au sujet de la persécution de la famille Chen veuillez lire (en anglais) : "Une persécution meurtrière à long terme réduit une famille de sept membres à deux " http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2009/6/9/108135.html)
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2010/3/24/220333.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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