Avant Noël, Ruhr Nachrichten, un journal local à Dortmund, a publié une histoire d'une famille chinoise, intitulée "Les jours heureux d'un homme chinois à Dortmund."
Leur premier noël
La famille Guo d'origine chinoise, vivait à 8000 kilomètres d'ici. Ils ont été récemment réunis dans la ville allemande de Dortmund. Ils viennent juste de fêter leur premier Noël.
Hélas, la famille Guo - le mari : Jufeng; la femme : Hailin, et leur jeune fils : Fangzhou - n'était pas tout à fait prête à la jovialité et la cordialité allemande. Hailing a dit : "En ces périodes Guo repense aux épreuves endurées en Chine, parce qu'il y a été persécuté pendant très longtemps."
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| Bonheur chinois sous l'arbre de Noël (RN-Photo: Menne) |
Le plus grand des cadeaux
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| La famille Guo dans le journal |
Le plus grand cadeau pour les Guo est de pouvoir fêter Noël à Dortmund en famile, parce qu'ils ont été séparés très longtemps. Le père, Jufeng, vient de juste de terminer une partie malheureuse de sa vie. Cet homme de 36 ans avait fait ses valises le 8 janvier, dans sa ville natale de Yingkou, une grande ville chinoise, et était parti pour l'Allemagne sans son épouse alors enceinte.
Bonheur à Dortmund
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| La famille a été réunie en 2009 et a fêté Noël en famille |
"Entrez je vous prie," a demandé M. Guo Jufeng. Il voulait exprimer en personne son bonheur personnel de Noël. Nous avons rencontré une Mme Guo souriante dans le living du petit appartement dans la partie nord de la ville. Elle tient le petit Fangzhou dans ses bras, et il nous regarde avec de grands yeux curieux. Nous remarquons aussi le petit arbre de Noël.
C'est un petit arbre en plastique décoré avec un œuf de Pâques. Mais les Guo fêtent peut-être le plus beau Noël de toute leur vie, parce qu'ils sont en famille à nouveau, ici dans la ville de Dortmund. Malheureusement, bien loin de leur pays natal et de la ville chinoise de Yingkou. Mais, l'histoire que nous apprenons du père heureux aurait pu finir de façon totalement différente.
"Je pratique Falun Gong, et pour le Parti communiste chinois, le régime au pouvoir, cette pratique est un anathème." Les adhérents de cette pratique de méditation sont brutalement persécutés, torturés, et même assassinés.
Quitter le pays natal
"J'ai moi-même souffert le harcèlement et la douleur dans un camp de travaux forcés," dit il en nous montrant les photos de ses amis décédés. "Je ne pouvais pas continuer à vivre ainsi et j'ai du quitter la Chine.
La décision, soutenue par son épouse avec un coeur lourd, avait été prise. Guo Jufeng, un ingénieur, a pris un travail dans une succursale d'un distributeur allemand de voitures et quitté son pays le 9 janvier 2008, 21 jours avant la naissance de son fils, Fangzhou.
Les Guo se sont retrouvé séparés par 7,984 km et le père était seul dans un environnement complètement étranger. La mère élevait seul le petit Fangzhou et les temps difficiles ont été une épreuve pour la famille.
A la mi-juillet 2009, après d'innombrables lettres et d'allers venus, le régime chinois a autorisé Guo Heiling, 37 ans et le petit Fangzhou à émigrer.
"J'ai eu du mal à le croire quand je les ai vus tous les deux à l'aéroport pour la première fois depuis notre séparation." a dit Jufeng les yeux brillants de bonheur.
La famille Guo a appris à nouveau à vivre comme une famille après que la mère et le fils soient arrivés à Dortumund. "Nous sommes autorisés à vivre et travailler ici. Nous apprécions la liberté ici, et nous nous sentons chez nous" ont confié les Guo.
M. Guo n'a pas regretté une seule fois sa décision. "Nous avons fait ce qu'il fallait."
Il a abandonné ses pensées de tristesse en se souvenant de ses amis décédé. Ce chef de famille est très heureux et reconnaisant de fêter Noël avec son épouse et son fils à Dortmund. Il allume les bougies et prend son épouse et son fils dans ses bras - Joyeux Noël.
Version chinoise disponible à http://www.yuanming.net/articles/201001/89054.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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