Engager des avocats pour défendre les pratiquants de Dafa

Partage d’expérience pour secourir les compagnons de pratique de Jianyang, province de Sichuan
 
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Après l’arrestation de pratiquants du 17 mars 2009, les pratiquants de l’agglomération de Jianyang ont fait un gros effort pour les secourir et parler aux gens à propos du Falun Gong et de la persécution.

Après l’arrestation des pratiquants, un membre d'une famille a engagé un avocat local. Bien que l’avocat connaissait un peu Dafa et la persécution, son esprit était encore pollué par les mensonges du PCC. Il n’a pas osé écouter les informations factuelles supplémentaires. Il n’était pas prêt à défendre l’innocence des pratiquants ; au lieu de ça, il a dit aux pratiquants de plaider coupable et de demander l'indulgence.

Les pratiquants ont en fait aidé les autres membres de la famille à engager trois avocats des provinces de Pékin, Hebei et Henan. Ils étaient au courant concernant Dafa et la persécution et avaient de la sympathie envers les pratiquants. La famille d’un autre pratiquant n’a pas engagé d’avocat, par peur des représailles du régime.

Les trois avocats ont défendu les pratiquants, plaidant non coupable. Inspiré par les pensées droites des pratiquants et par le courage des autres avocats, l’avocat local a changé d’avis et a défendu son client, déclarant l’innocence du pratiquant.

Les pratiquants ont parlé des bénéfices de Dafa dans leur vie personnelle au juge et au public et ont insisté sur le fait que leur cultivation et pratique et parter de Dafa aux gens n'étaient pas contre la loi. Les pratiquants ont aussi exposé la torture qu'ils ont endurée sous le joug de la police, particulièrement la brutalité du policier Li Sen du centre de lavage de cerveau Erehu. Même le juge a admis que des aveux et soi disant preuves obtenussous la torture n'étaient pas admissibles au tribunal.

De nombreux membres des familles étaient présents à l’audience du 8 décembre 2009. Les pratiquants ont aussi appelé les membres des familles absents et les ont encouragés à venir au tribunal.

Le procès a duré de 11 heures du matin à 16 h 30. Bien que des policiers en civil enregistraient les procédures du tribunal, les gens n’étaient pas le moins du monde intimidés. Un avocat a même défié le juge, insistant pour savoir qui enregistrait les procédures. Face aux pratiquants et aux esprits droits des avocats, le juge et le procureur général ont semblé mal à l’aise. Lors d’une petite pause dans l’après-midi, quelques pratiquants ont brièvement perdu leurs focus et commencé à papoter et n’émettaient plus de pensées droites. Après que d’autres pratiquants les aient rappelés à l’ordre, tout le monde a commencé à prêter attention. De toute façon, l’effort général des pratiquants a eu un bon effet. .

Nous sommes restés discrets cette fois-ci concernant l’avocat de la défense plaidant non coupable pour les pratiquants avant le procès. De cette façon, les avocats ont fait face à moins d’interférence et de pression. Nous ne voulions pas non plus alerter les persécuteurs à l’avance, de cette façon plus de pratiquants et les membres des familles ont pu assister au procès.

En donnant auparavant des informations aux gens concernant le Falun Gong, certaines personnes ont refusé d’écouter. Elles pensaient que nous leur disions notre propre version de ces histoires. A présent, elles ont entendu les avocats de la défense dire la même chose au tribunal et leurs préjudices ont été ébranlés. Quand certains membres des familles ont entendu l’avocat défendre l’innocence des pratiquants au tribunal, ils ont particulièrement commencé à apprécier les efforts des pratiquants et leur peur du PCC a été réduite.

Une fois que la date du procès a été planifiée, les pratiquants ont envoyé en grand nombre de textos à la population locale, plusieurs faisant cela simultanément en différent endroits avec plusieurs portables. Des dizaines de milliers de messages ont été envoyés, informant les gens : " Le tribunal de la ville de Jianyang a planifié de tenir le procès public de pratiquants du Falun Gong tel jour de tel mois. Des avocats célèbres de Pékin et d’autres villes les défendront. Vous êtes invités à assister au procès en tant que membre de l’audience."

C’était la première fois que des avocats défendaient des pratiquants du Falun Gong comme étant "innocents" et les gens ont été curieux ‘de connaitre’ les arguments du tribunal et le résultat. Le soir avant le procès, les pratiquants ont affiché partout dans la municipalité l’information de l’acte d’accusation de Jiang Zemin et de quatre autres fonctionnaires du tribunal espagnol. Et ils ont demandé aux gens de secourir les pratiquants du Falun Gong. Nous avons même mis des dépliants à l’entrée du tribunal. Les pratiquants ont aussi continuellement envoyé des pensées droites pour éliminer les facteurs interférant venant des autres dimensions.

Après le procès, les forces perverses ont pensé qu’ils pouvaient se relaxer, car "le grand procès" était enfin fini. Mais les pratiquants ne devraient pas ressentir les choses ainsi. C’est le bon moment de parler de Dafa aux gens de manière plus approfondie..

Ce dernier développement est encore "chaud" à Jianyang. Nous devrions publier de quelle façon les avocats ont défendu les pratiquants. Nous pouvons utiliser des textos, des appels téléphoniques, des lettres, des posters et des tracts pour informer les gens de la défense "non-coupable". Faire moins compromettra notre effort précédent.

Nous aimerions rappeler aux pratiquants qui engageront des avocats : il est absolument critique de les informer minutieusement sur les faits concernant Dafa. Nous ne devons pas simplement nous focaliser sur la célébrité des avocats. Nous devons chercher plus d’avocats qui veulent défendre les pratiquants du Falun Gong. Nous devons obtenir leur consentement avant d’utiliser leurs noms dans nos rapports. Nous devons nous soucier de leur sécurité personnelle. Les avocats nous ont dit que les procureurs commis du régime avaient peur des efforts des pratiquants pour les informer à propos de Falun Dafa et de la persécution et que ces procureurs n’osaient même pas donner aux avocats leurs numéros de téléphone. Dans plusieurs cas, les procureurs du régime ne voulaient même pas signer des documents légaux. L’avocat a aussi dit que là où les pratiquants ont bien fait pour expliquer les faits, leur défense a été plus facile.

Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2009/12/19/214695.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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