Un jour de l’automne 2005, mon jeune frère, Xiaowen (un pseudonyme), conduisait sa moto pour se rendre chez un ami. En chemin, il a du prendre une route de montagne sablonneuse. Il roulait très vite, et quand il a fallu amorcer un virage, il n’a pas pu ralentir suffisamment. "Bang!" Xiaowen et sa moto ont percuté une grosse pierre de l’autre côté de la route, et ont été projetés en l’air . La moto était en pièces et Xiaowen avait perdu connaissance.
Quand Xiaowen est revenu à lui, il a vu qu’il y avait des morceaux de sa moto partout et il a également remarqué qu’il était en train de saigner abondamment. C’est à ce moment là qu’il a réalisé qu’il avait eu un accident. La pensée de sauver sa vie lui a déclenché une réaction instinctive et immédiatement il s’est mis debout. Il a voulu prendre son portable et appeler sa famille, mais malgré tous les efforts du monde, il ne pouvait plus bouger ni ses mains et ni ses pieds. Il a voulu demander de l’aide à quelqu’un, mais il n’y avait personne sur place. Donc, il n’a pu que rester assis là, attendant que quelqu’un passe. Xiaowen a dû attendre un très long moment avant qu’il n’aperçoive quelqu’un en haut d’une colline, qui à distance, semblait faire la cueillette de plantes sauvages. Il a rassemblé toutes ses forces pour crier à l’aide.
Finalement Xiaowen a été emmené dans le plus grand hôpital de notre ville. Ses vêtements étaient imbibés de sang et collés à sa peau. Il semblait être en vraiment piteux état. Après l’avoir examiné, le docteur a découvert que mon frère avait la nuque brisée et que ses vertèbres écrasaient ses nerfs, et que c’était la raison pour laquelle il ne pouvait bouger ni ses mains et ses pieds. Le docteur nous a dit qu’il devait subir une opération et que, étant donné la gravité de ses blessures, Xiaowen n’avait que 30 pour cent de chance de récupérer une quelconque mobilité.
La famille toute entière était très inquiète. Vers approximativement 22 heures, la nuit de l’opération, je suis allée rendre visite à Xiaowen à l’hôpital. Je lui ai dit : "Il y a un type dans une autre chambre, qui comme toi, s’est aussi brisé la nuque dans un accident de moto. Cela fait plus de deux mois qu’il est hospitalisé. Il vient juste d’avoir une autre opération mais il n’a toujours pas récupéré. Maintenant, seul Dafa peut te sauver. Tant que tu te dis en toi-même : 'Falun Dafa Hao. Zhen, Shan, Ren Hao' [‘Falun Dafa est bon. Zhen-Shan-Ren est bon’], il est très probable que tu te rétablisses. Notre Maître te sauvera. S’il te plait souviens toi de ces paroles quand tu iras au bloc opératoire. S’il te plait, n’oublie pas!" Xiaowen a répondu, avec la bouche toute enflée : "Je dirais certainement ces mots. S’il te plait, sois rassurée, ne sois pas inquiète!"
Le lendemain, 40 à 50 personnes, amis et parents sont venus lui rendre visite à l’hôpital. Xiaowen venait tout juste d’être opéré et a été transféré dans un autre service. Tout ce monde remplissait le service tout entier. Tandis que je me rapprochais de son lit, Xiaowen a commencé à rire bruyamment. Avant d’avoir eu la chance de dire quoi que ce soit, ma belle-soeur s’est mise à regarder toutes les personnes présentes dans la pièce et a dit : "Mon dieu, c’est bizarre, n’est-ce pas? Depuis le moment où il est entré à l’hôpital jusqu’à maintenant, il n’avait pas souri une seule fois. Et, dès que sa soeur arrive, il est si content qu’il se met à rire très fort." Les autres personnes se sont également mises à le taquiner, lui demandant : "Es-tu tellement heureux parce que ta sœur t’a ramené à manger de si bonnes choses?"
Xiaowen a souri : "Vous ne pouvez pas comprendre. Depuis le moment où j’ai été opéré à maintenant, je n’ai pas ressenti la moindre douleur. La raison pour laquelle j’ai ri était que les mots que ma soeur m’a dit de dire sont réellement efficaces." Quelqu’un a rapidement répliqué : "C’est parce que l’effet de l’anesthésie n’est pas encore passé. C’est pour cela que tu ne ressens pas encore la douleur." Xiaowen n’a pas été d’accord : "Ce n’est pas vrai. C’est ce que ma soeur m’a dit qui m’a aidé." Quelqu’un a demandé : "Est-ce vraiment aussi magique que ça? Attendons et on verra si demain tu n’auras pas mal." Je savais que c’était le côté lucide de Xiaowen qui était heureux.
Le lendemain quand je suis revenue à l’hôpital pour lui rendre visite, il y avait encore beaucoup de parents et amis sur place. Non seulement Xiaowen ne ressentait aucune douleur, mais ses membres étaient mobiles, il pouvait même lever ses bras. Même les docteurs étaient stupéfaits. Ils ont tous dit qu’ils n’avaient jamais été témoins avant cela de ce genre de cas. C’était vraiment un miracle!
Sept jours plus tard, Xiaowen était autorisé à quitter l’hôpital, et, en l’espace de six mois, il avait totalement récupéré, malgré les tiges en acier qu’il a dans la nuque. Et cela ne l’empêche pas de faire n’importe quel travail physique.
A chaque fois que quelqu’un lui parle de cette histoire, Xiaowen répond : "C’est Dafa qui m’a sauvé. C’est le Maître de Dafa qui m’a sauvé. Quoi qu’il arrive, j’aurais toujours du respect pour Dafa et Maître Li Hongzhi!"
Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2009/8/18/206737.html
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