Le 16 décembre 2002
Des dizaines de milliers de citoyens de toutes les conditions sociales se sont retrouvés dans les rues hier pour protester contre la proposition du gouvernement de loi anti-subversion, craignant quelle mette en danger les droits fondamentaux et les libertés.
L'organisateur du rassemblement du Front de Droits Civils de l'homme a évalué quenviron 60.000 personnes de tous horizons - des ecclésiastiques, des avocats, des fonctionnaires, des éducateurs, des journalistes, des artistes, des étudiants et des pratiquants de Falun Gong - ont joint ce que l'on a cru être la plus grande protestation depuis Hanovre. Le groupe sattendait à une participation denviron 5.000 personnes. La police, cependant, sattendait à 12.000 personnes.
L'organisateur, une coalition de plus de 40 groupes pro-démocratie, religieux, de femmes et de droits de lhomme, a tenu un rassemblement de quatre heures pour condamner la loi proposée. Il a dit que la consultation était "une feinte" parce que le gouvernement avait refusé de publier un livre blanc pour consultation.
L'Évêque catholique Joseph Zen a dit des prières avant la marche, entouré de plus de 2.000 disciples. "Cher Dieu, le gouvernement et les dirigeants sont imprégnés des craintes de challenges à leur régime et deviennent facilement partiaux dans leurs jugements," a-t-il dit. "Je vous prie déliminer leurs craintes et de les rendre plus réceptifs aux opinions grâce à votre amour et à votre sagesse, et de faire la place à la multiplicité et aux événements dans cette société de façon à ce que Hong Kong soit protégé." Une heure avant le début de la marche qui commençait à 15 heures, des milliers de protestataires avaient déjà afflué à Victoria Park dans Causeway Bay, formant un cortège de six kilomètres de long. Il a fallu environ 1 heure pour que les manifestants engagent la procession.
Les manifestants ont chanté des slogans et ont agité des ballons noirs et des bannières portant les mots « Nous ne voulons pas d'Article 23 », alors quils marchaient de Victoria Park pour délivrer une pétition au Quartier Général du Gouvernement SAR vers 19 heures.
Un manifestant a dit que bien que la loi ne l'ait pas affecté, il se battrait pour un système juste. "On ne doit pas penser quà soi, mais aussi se soucier de la société et se battre pour un système juste," a-t-il dit.
Un homme de 70 ans a dit quil a été incité à apparaître pour soutenir l'Évêque Zen après que le législateur Leung Fu-wah a commencé une attaque caustique envers le dirigeant de l'église, l'appelant un "saint pathologique". "Jai soixante-dix ans environ. Mais Leung Fu-wah m'a fait sortir de chez moi," a-t-il dit. "Les fonctionnaires ont aussi leur conscience. Nous devons parler pour les ouvriers," a dit un fonctionnaire. "Employez votre courage, levez-vous et combattez jusqu'à la fin," ont crié quelques activistes. Certains ont montré une fausse guillotine définissant la loi anti-subversion comme "un épée de Damoclès au-dessus de la tête des citoyens de Hong Kong", tandis que d'autres ont porté des muselières, signifiant le frein à la liberté d'expression.
Un groupe de Catholiques a porté une grande croix. Le directeur du Apple Daily, Jimmy Lai, un des protestataires, a dit que la loi était "comme un collier invisible mais serré".
Des dizaines de milliers de citoyens de toutes les conditions sociales se sont retrouvés dans les rues hier pour protester contre la proposition du gouvernement de loi anti-subversion, craignant quelle mette en danger les droits fondamentaux et les libertés.
L'organisateur du rassemblement du Front de Droits Civils de l'homme a évalué quenviron 60.000 personnes de tous horizons - des ecclésiastiques, des avocats, des fonctionnaires, des éducateurs, des journalistes, des artistes, des étudiants et des pratiquants de Falun Gong - ont joint ce que l'on a cru être la plus grande protestation depuis Hanovre. Le groupe sattendait à une participation denviron 5.000 personnes. La police, cependant, sattendait à 12.000 personnes.
L'organisateur, une coalition de plus de 40 groupes pro-démocratie, religieux, de femmes et de droits de lhomme, a tenu un rassemblement de quatre heures pour condamner la loi proposée. Il a dit que la consultation était "une feinte" parce que le gouvernement avait refusé de publier un livre blanc pour consultation.
L'Évêque catholique Joseph Zen a dit des prières avant la marche, entouré de plus de 2.000 disciples. "Cher Dieu, le gouvernement et les dirigeants sont imprégnés des craintes de challenges à leur régime et deviennent facilement partiaux dans leurs jugements," a-t-il dit. "Je vous prie déliminer leurs craintes et de les rendre plus réceptifs aux opinions grâce à votre amour et à votre sagesse, et de faire la place à la multiplicité et aux événements dans cette société de façon à ce que Hong Kong soit protégé." Une heure avant le début de la marche qui commençait à 15 heures, des milliers de protestataires avaient déjà afflué à Victoria Park dans Causeway Bay, formant un cortège de six kilomètres de long. Il a fallu environ 1 heure pour que les manifestants engagent la procession.
Les manifestants ont chanté des slogans et ont agité des ballons noirs et des bannières portant les mots « Nous ne voulons pas d'Article 23 », alors quils marchaient de Victoria Park pour délivrer une pétition au Quartier Général du Gouvernement SAR vers 19 heures.
Un manifestant a dit que bien que la loi ne l'ait pas affecté, il se battrait pour un système juste. "On ne doit pas penser quà soi, mais aussi se soucier de la société et se battre pour un système juste," a-t-il dit.
Un homme de 70 ans a dit quil a été incité à apparaître pour soutenir l'Évêque Zen après que le législateur Leung Fu-wah a commencé une attaque caustique envers le dirigeant de l'église, l'appelant un "saint pathologique". "Jai soixante-dix ans environ. Mais Leung Fu-wah m'a fait sortir de chez moi," a-t-il dit. "Les fonctionnaires ont aussi leur conscience. Nous devons parler pour les ouvriers," a dit un fonctionnaire. "Employez votre courage, levez-vous et combattez jusqu'à la fin," ont crié quelques activistes. Certains ont montré une fausse guillotine définissant la loi anti-subversion comme "un épée de Damoclès au-dessus de la tête des citoyens de Hong Kong", tandis que d'autres ont porté des muselières, signifiant le frein à la liberté d'expression.
Un groupe de Catholiques a porté une grande croix. Le directeur du Apple Daily, Jimmy Lai, un des protestataires, a dit que la loi était "comme un collier invisible mais serré".
* * *
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.