La Journée internationale des femmes est célébrée dans de nombreux pays du monde. C’est un jour où les femmes sont reconnues pour leurs réalisations, sans considération des différences, qu’elles soient nationales, ethniques, linguistiques, culturelles, économiques ou politiques. C’est une occasion pour jeter un regard en arrière sur les luttes et accomplissements passés, et, plus important, pour regarder en avant le potentiel inexploré et les opportunités qui attendent les futures générations de femmes.
Les Nations Unies ont commencé à célébrer la Journée internationale des femmes le 8 mars 1975. Deux années plus tard, en décembre 1977, l’assemblée générale a adopté une résolution, proclamant qu’une Journée des Nations Unies pour la paix internationale et les droits des femmes soit observée n’importe quel jour de l’année par les Etats Membres, en accord avec leurs traditions historiques et nationales. En adoptant cette résolution, l’assemblée générale a reconnu le rôle des femmes dans les efforts pour la paix et le développement, et incité à une cessation de la discrimination et à un accroissement du soutien pour la participation pleine et équitable des femmes.
Le Parti communiste chinois (PCC), cependant, ignore les valeurs universellement acceptées et les principes des droits de l’homme, en particulier dans sa persécution brutale du Falun Gong.
Par exemple, les fonctionnaires du Parti ont arrêté Mme Liu Xiaolian, 69 ans, de l’agglomération de Chibi, province de Hubei, après avoir lancé la persécution de Falun Gong, le 20 juillet 1999. Ils ont torturé sauvagement cette femme âgée y compris l’agresser sexuellement et lui injecter des drogues puissantes altérant l’esprit,. Alors qu’elle était détenue dans le premier centre de détention de l’agglomération de Chibi, le 6 décembre 2002, dix-neuf agents de police et détenus l’ont tiré simultanément dans cinq directions différentes : les muscles de son vagin ont été déchirés par la force brutale, et toutes ses articulations ont été disloquées. D’autres l’ont battue à tour de rôle avec des chaînes de 55 livres, alors qu’elle était écartelée. Mme Liu a eu nombreux os brisés et d’autres blessures graves au cours de la journée et est tombée inconsciente sous l’intensité de la douleur . Le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la torture a envoyé un appel urgent en son nom, le 4 février 2004, cependant, le Parti ne l’a libérée qu’en août 2008, alors qu’elle se trouvait au seuil de la mort et souffrait d’œdème sur tout le corps. Elle est décédée le 26 octobre 2008.
Malheureusement, son cas n’est pas une exception. Le PCC a utilisé différentes méthodes violentes contre les pratiquants de Falun Gong. En plus des tabassages routiniers, ils ont aussi utilisé les décharges de matraques électriques ; les menottes ; les chaînes, menotter les mains derrière le dos ; menotter ensemble les mains et les pieds de façon à ce que la personne ne puisse pas marcher, manger, ou même utiliser les toilettes ; ‘’les menottes au poteau de fumée ;’’les menottes aux dents de loup ;’’ emprisonnement en enfer ;’’ ‘’le cachot d’eau ;’’la fosse d’engrais ; le lit de la mort ; conseil de séance ;’’ ‘’confinement solitaire ; la chaise de fer ; ‘’le banc du tigre ;’’période extrêmement longue en position accroupie ; attacher avec des cordes ; des clous sous les ongles ; tordre la chair avec des pinces ; arracher les ongles avec des pinces ; utiliser des aiguilles pour piquer les doigts ; et mettre de l’acide concentrée dans le nez.
Les tortionnaires ont aussi employé le gavage avec de l’eau mêlée à du poivre rouge, des solutions salines hautement concentrées, des drogues ou des excréments humains ou animaux. En hiver, ils versaient de l’eau froide sur les têtes des détenus et les laissaient geler à l’extérieur, nus. Sous la chaleur de l’été, ils les exposent au soleil brûlant. Ils retiennent les pratiquants dans les hôpitaux psychiatriques ou les centres de réhabilitation pour drogués. Puis, ils leur injectent des doses importantes de drogues endommageant le système nerveux, ou les torturent avec des aiguilles électrifiées. Promettant des réductions de peines pour séduire les détenus non-pratiquants, ils recrutent des criminels pour tyranniser les pratiquants de Falun Gong. Ce n’est seulement qu’une partie d’une liste de plus de 100 sortes différentes de torture connues, utilisées sur les pratiquants de Falun Gong au cours de la persécution depuis plus de dix ans.
Agression sexuelle
La protection des droits des femmes est une jauge importante de la civilisation d’une société. Au cours de la décennie passée, les fonctionnaires du régime communiste ont forcé des pratiquantes de Falun Gong à subir des avortements. Ils ont aussi commis des viols collectifs et autres agressions sexuelles.
En octobre 2000, dix-huit femmes ont été jetées dans les cellules d’hommes et violées collectivement dans le camp de travaux forcés Masanjia. Un agent de police de Pékin a brutalement attaqué et violé une femme en public en mai 2001, et de nombreuses femmes ont été violées dans l’agglomération de Xingtai, province de Hebei cette même année. Un agent de police de Chongqing a publiquement violé Wei Xingyan, étudiante diplômée de l’université de Chongqing en mai 2003 et Mme Zhu Xia, trente-deux ans, a souffert d’un effondrement nerveux après avoir été violée à répétition dans un centre de lavage de cerveau en 2004. Les gardiens dans le camp de travaux forcés de Dalian dans la province de Liaoning ont déshabillé certaines femmes, les ont menottées dans la position écartée de l’aigle, et ont inséré du poivre, des balais à franges crasseux, ou des brosses grossières dans les vagins des victimes, causant des saignements abondants et une douleur épouvantable, et les ont laissé avec de graves traumatismes.
La politique de persécution par le PCC est derriére tous les crimes contre les pratiquants de Falun Gong
A ce jour pas moins de 3251 pratiquants de Falun Gong au minimum, sont décédés suite à la persécution, 55 pour cent étant des femmes. La persécution est un crime systématique et largement répandu. Les agents de police et les gardiens qui ont commis les crimes sont au-delà du pardon, mais le PCC lui-même est le véritable instigateur des crimes.
Jiang Zemin et son régime ont émis des ordres secrets stipulant que les agents de police peuvent faire subir n’importe quoi aux pratiquants de Falun Gong, sans conséquences légales : ‘’Battu à mort est compté comme suicide,’’ ‘’Ne pas identifier les corps et les incinérer immédiatement.’’ Ces politiques ont révélé les natures perverses et ont servi de feu vert pour qu’ils violent les femmes et commettent d’autres crimes à volonté. Ces politiques ont produit des criminels et des violeurs en uniformes de police.
Le rapport des droits de l’homme des Nations Unies condamne la persécution du PCC
Plusieurs rapporteurs spéciaux des Nations Unies ont pointé et condamné les graves violations des droits de l’homme ciblant les pratiquants de Falun Gong dans de nombreux rapports, depuis huit ans. Alors que les autorités de l’agence de surveillance de la loi internationale et des droits humains, la Commission des droits de l’homme des NU présente son rapport annuel à ses 53 nations membres, 146 nations observatrices, et de nombreuses ONG (organisation non-gouvernementales).
Manfred Nowak, rapporteur spécial des N.U sur la torture, a établi dans son rapport de mars 2006, que 66 pour cent des victimes de tortures en Chine, sont des pratiquants de Falun Gong.
Le département d’état des Etats-Unis a soumis un rapport annuel sur les pratiques des droits de l’homme par pays au congrès américain, et la Chine a reçu de nombreuses critiques pour son bilan déplorable sur les droits de l’homme. Le rapport a mentionné la grave détérioration continuelle des droits de l’homme en Chine, et que le gouvernement chinois a surveillé, harcelé, et détenu des adhérents religieux et pratiquants de Falun Gong détenus. Le rapport déclare : ‘’D’autres abus à l’encontre des droits de l’homme incluent les assassinats extra-judiciaires, la torture et les confessions forcées de prisonniers, ainsi que l’utilisation du travail forcé, y compris le travail en prison.’’
Les droits de l’homme sont des valeurs universelles. La Déclaration universelle des droits de l’homme a été adoptée en 1948, il y a 61 ans. Selon le secrétaire général des N.U, Ban Ki-Moon : ‘’La Déclaration était la première déclaration mondiale de ce que nous considérons aujourd’hui comme allant de soi—la dignité et l’égalité inhérente de tous les êtres humains.’’
La persécution du Falun Gong par le PCC, cependant, constitue la violation la plus énorme de cette Déclaration.
Plus de 50 millions de personnes ont publiquement démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Alors que plus de personnes percent à jour et abandonnent le PCC pervers, le Parti se désintégrera de manière pacifique. L’auteur appelle le monde à aider à mettre fin à la persécution de Falun Gong, et à mener les principaux auteurs Jiang Zemin, Luo Gan, Liu Jing et Zhou Yongkang devant la justice.
Date de l'article original : 23/3/2009
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2009/3/6/196660.html
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