Les différentes formes de persécution subies par les pratiquantes dans le Camp de Travaux Forcés N°1 pour Femmes de la Province du Shandong

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Ci-dessous des descriptions de certains types persécution utilisés sur les pratiquantes du Falun Gong dans le Camps de Travaux Forcés N°1 pour Femmes dans la Province du Shandong.


Le travail intensif

Le travail intensif commence à 7 h 30 et dure environ 12 heures chaque jour, habituellement jusqu’à 20 h 30. Les trois repas durent dix minutes chaque et les détenues doivent immédiatement retourner au travail à la fin des repas. Pas de pause autorisée, même pour celles qui sont malades. Parfois les pratiquantes doivent charger et décharger des camions, porter des paquets quels qu'en soient la taille ou le poids . Beaucoup de pratiquantes illégalement détenues sont des quinquagénaires ou des sexagénaires. Après une journée de travail intensif, elles sont souvent proches de l'effondrement.

Il est dit que le Camp de Travaux Forcés N°1 pour Femmes a des commandes provenant de plus d’une trentaine de fabriques de jouets, situées tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Province du Shandong. La plupart de ces jouets sont exportés dans d’autres pays.


Assise forcée sur un tabouret pendant des périodes prolongées

Les fonctionnaires du camp de travail torturent les pratiquantes qui refusent d’abandonner la pratique et de critiquer Dafa, par divers moyens, qui incluent le fait de leur refuser l’autorisation de se brosser les dents ou de prendre des douches. Les pratiquantes sont privées de repas et interdites d’utiliser les toilettes. Elle sont également contraintes de s’asseoir sur un tabouret avec leur buste bombé, le ventre rentré, les deux yeux regardant droit devant, les talons des deux côtés et les mains placées sur les genoux, le tout pendant de longues périodes de temps. Elles doivent maintenir cette position fixe jusqu’à ce qu’elles acceptent d’écrire des déclarations critiquant Dafa et d’abandonner la pratique. Cette assise prolongée provoque des cloques douloureuses sur les fesses, ouvertes et ensanglantées. Parfois les fonctionnaires privent les pratiquantes de nourriture et puis les gavent de force.


Autres types de maltraitances cruelles

Juste avant les Jeux Olympiques, le nombre des détenues dans la Division 2 a doublé passant à plus de 150 (de 16 à 20 personnes par cellule). Cependant, le nombre de robinets d’eau est de 12, dont six qui ne fonctionnent pas. Dans les cinq minutes qui leur sont imparties, les pratiquantes n’ont pas assez de temps pour se laver le visage ou pour se brosser les dents, sans parler de laver leurs vêtements ou de prendre une douche. Les dimanches, environ vingt minutes sont allouées pour la lessive, mais il n’y a pas d’eau chaude disponible et l’eau froide est très limitée.


Il y a 12 cabines de douche, mais seules cinq d’entre elles peuvent être utilisées. Cinq minutes sont autorisées pour leur utilisation et il est impossible que 150 personnes aient fini en cinq minutes avec seulement cinq cabines de disponibles. Les fonctionnaires du Camp s’en fichent et dès que le temps imparti est terminé, ils font sortir tout le monde.

Une règle encore plus absurde est que dans la soirée personne n’est autorisé à utiliser les toilettes avant minuit. Qui peut aller se coucher avec l'envie d'aller aux toilettes ? Pour réduire la douleur, de nombreuses détenues ne boivent pas d’eau ou même n’osent pas manger. Après quelques temps, beaucoup souffrent de maux d’estomac ou même urinent du sang.


article original chinois

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