“Est-ce possible ?” se demandait une dame allemande à elle-même, un imprimé à la main. L’imprimé détaillait les crimes commis par le Parti communiste chinois en prélevant les organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants. " Oui, ça a lieu en Chine aujourd’hui même. En fait, les faits sont encore pires mais ne peuvent être confirmés du fait du blocage de l’information par le PCC. Par exemple, lorsque la question de prélèvements d’organes sur des personnes vivantes a été révélée, beaucoup de gens, parmi lesquels un député belge ont téléphoné aux hôpitaux en Chine au nom de proches nécessitant une grève d’organes et demandé si cela était possible. On leur a répondu " Pas de problème, venez dans deux semaines nous aurons trouvé le bon donneur. " Quelqu’un a questionné un peu plus précisément " On nous a dit qu’il était possible d’avoir des organes de pratiquants de Falun Gong, je me demandais si vous en auriez ". "C’est la sorte d’organes que nous avons " a été la réponse.
Un autre pratiquant qui se trouvait à côté a dit " Deux Canadiens ont fait des investigations là-dessus indépendamment, et ils ont prouvé que le PCC a vraiment prélevé les organes de pratiquants de Falun Gong de leur vivant. Ici, nous rassemblons des signatures appelant à la fin de ces atrocités et pour demander la fin de la persécution." " Je signe " a dit la dame, qui a non seulement signé la pétition mais aussi demandé davantage d’informations.
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| Les gens s’arrêtent et lisent les panneaux d’exposition | Signer la pétition appelant à la fin de la persécution du Falun Gong. |
Le 23 août, il y avait une exposition à Fribourg montrant comment le PCC persécute les pratiquants de Falun Gong. Une information a été distribuée et des signatures collectées.
Mme Voegle a signé toutes les pétitions. Elle est bien au courant de la persécution du Falun Gong “Je sais tout ce qui est arrivé, et naturellement, je soutiens ceux dont les droits de l’homme ont été bafoués, comme les Tibétains ou les pratiquants de Falun Gong. Je montre mon soutien en signant les pétitions."
Elle avait appris l’horreur des prélèvements d’organes forcés sur des personnes vivantes avant cela. " Je le crois. Je l’ai dit à un de mes amis, je ne peux en parler sans pleurer. C’est tellement horrible. " Mme Voegle était si triste qu’elle n’arrivait plus à parler. Elle a dit avec des sanglots dans la voix " Je ne peux pas comprendre, je ne peux pas comprendre comment de telles choses peuvent arriver. "
Après s’être calmée, elle a dit " la société internationael a fermé les yeux là-dessus. Quoi qu’il arrive en Afghanistan ou en Turkquie, il y a toujours une intervention internationale, qu’elle vienne des USA ou d’Europe. Mais pour cette affaire (prélever des organes sur des gens) rien n’a été fait et aucun pays ne l’a mentionné. Je pense que ce genre d’incompétence est le pire. Alors je pense que je dois faire quelque chose. Même si nous avons une dizaine, une centaine ou même un millier de gens, nous devons faire de notre mieux pour amener les gens à prêter attention à cette affaire."
Elle a ajouté que ceux que le PCC persécute ne sont pas seulement les pratiquants de Falun Gong mais tous les Chinois. " Nous ne pouvons pas accuser les Chinois parce qu’il ne peuvent pas obtenir suffisamment d’information. Mais le gouvernement chinois (le PCC), que devrais-je dire, ils sont dégoûtants. Ils ne persécutent pas seulement les tibétains, les pratiquants de Falun Gong mais aussi leur propre population. J’espère que les Chinois puissent avoir une vie paisible ensemble et avoir plus d’informations."
La persécution du Falun Gong par le Parti communiste chinois rappelle à beaucoup d’allemands les atrocités commises lors des deux grandes périodes de dictature de l’histoire et beaucoup de gens ont signé la pétition demandant la fin de la persécution.
Mme Schmidt a dit : " Je pense qu’il est très important de faire ce que nous pouvons pour les droits de l’homme. Nous pouvons faire cela dans un pays libéral et nous devrions chérir quelque chose de bon. "
Mike pensait : “C’est très bien de faire ça pour y mettre fin (à la persécution). Car il y a encore beaucoup de gens qui ne le savent pas, un stand d’information est là et permet aux gens d’aider à arrêter cette persécution ; c’est très bien."
Après avoir signé la pétition, Marian a invité ses amis à signer. Elle a dit " J’ai été choquée en lisant l’information. Je pense que c’est tout ce que nous pouvons faire pour le moment, donc j’ai signé la pétition. Difficile d’imaginer qu’une telle chose a lieu aujourd’hui."
Après avoir écouté la présentation du Falun Gong et des explications sur le pourquoi de la persécution, une autre dame allemande a demandé des matériaux de clarification des faits. Elle a dit " Je sais bien comment le PCC contrôle les Chinois et leurs pensées car je suis née l’année où le mur de Berlin a été construit. Les gens de l’ancienne Allemagne de l’est qui sont nés la même année que moi étaient totalement différents dans leur façon de penser et d’agir. Parce que les pensées des gens sous le contrôle de sociétés communistes ne sont pas les mêmes que celles des gens qui vivent dans des sociétés normales. " Elle a ajouté " J’ai honte à propos des camps de concentration d’Hitler dans la Deuxième Guerre Mondiale parce qu’une chose aussi cruelle est arrivée dans mon propre pays. J’espère que les Chinois puissent reconnaître ce que fait le PCC. "
En regardant la démonstration des exercices par les pratiquants de Falun Gong , elle était ravie " Je peux les sentir émettre une forte énergie. "
“N’avez vous pas peur des agents secrets ?”
En prenant des imprimés, un professeur allemand a posé question sur question sur les preuves des prélèvements d’organes sur personnes vivantes. Il sait que le Falun Gong était très populaire avant la persécution. C’est Jiang Zemin qui a initié la persécution en 1999. Il a demandé " Je sais que certains étudiants chinois sont en fait des agents secrets du PCC. Certains font partie de mes étudiants. Vous tenez des activités et tous les étudiants chinois peuvent vous voir, n’avez-vous pas peur d’eux ? "
Le pratiquant auquel il s’adressait lui a dit " Avant tout, nous n’avons pas besoin d’avoir peur parce que nous disons la vérité. Les matériaux que nous avons distribués disent aussi la vérité. Nous ne trompons pas les gens. C’est le PCC qui a peur à cause de ses mensonges et des atrocités qu’il commet. Mais en Chine, si on un dit un mot vrai : ' Falun Gong est bon ', notre vie est en danger. Pouvons nous nous taire dans un pays libéral et ne plus y penser ?" Après avoir entendu cela, il a acquiescé de la tête, d’accord qu’on ne pouvait pas détourner les yeux.
Avant de partir, il a pris des journaux à propos du Falun Gong ainsi que les Neuf commentaires sur le Parti communiste en Chinois et des matériaux pour ses amis chinois. Il a redit aux pratiquants de faire attention à leur sécurité.
Soutien mondial
Le même jour, il y a eu beaucoup de touristes d’Allemagne et du monde entier. En voyant les mots "Vérité-Bienveillance-Tolérance" sur les vêtements des pratiquants de Falun Gong, une Japonaise âgée, en pointant ces mots de la main s’est adressée à un pratiquant en japonais. Voyant que ce dernier ne la comprenait pas, elle a pris l’initiative de lui dire au-revoir de la main. Plus tard, elle a dit à un pratiquant qui comprend le japonais, qu’elle connaissait le Falun Gong et demandait à ce pratiquant de transmettre ses bons souhaits à tous les pratiquants.
S’abritant de la pluie, une autre dame chinoise, qui parlait anglais à pris un imprimé tendu par une pratiquante de Falun Gong. Elle lui a dit plus tard qu’elle était américaine et a demandé si elle pouvait signer la pétition.
Traduit de l'anglais de :
http://en.clearharmony.net/articles/200809/46175.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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