La pratiquante Wang Ping, est soumise à la persécution
Mme Wang Ping est du canton de Yueyang. Persévérant dans sa croyance en « Vérité-Compassion-Tolérance, » elle est allée à Pékin en 2000 pour faire appel et les policiers du canton de Yueyang l'ont arrêtée. Elle a été emprisonnée et sévèrement torturée dans un centre de détention puis illégalement condamnée aux travaux forcés. Elle a été envoyée au camp de travaux forcés de Baimalong, dans la ville de Zhuzhou et emprisonnée là-bas pendant deux ans et soumise à diverses tortures.
Quand Mme Wang venait juste d'entrer dans le camp de travaux forcés de Baimalong, des gardes l’ont obligée à rester debout pendant trois jours et trois nuits, sans interruption puis ils l'ont menottée pendant 24 heures. Ils lui imposaient le lavage de cerveau et les menottes quand elle ne coopérait pas. Wang Ping a subi huit façons d'être menottée : être menottée à l’arrière, « cinq chevaux séparent le corps », être suspendue par les menottes, être accroupie en étant menottée et d'autres façons. Parfois ils la forçaient à s'asseoir sur un petit tabouret avec des arêtes sur l'assise pendant toute une journée.
Un jour en 2001, le garde Liu Jie a traîné Wang Ping jusqu'à son bureau. Après avoir fermé la porte, le garde l'a frappée sur la tête, lui a donné des coups de pied dans l'estomac et les parties intimes. Un autre jour, à 23:00 heures, plus de dix gardes ont gavé les pratiquants. Ils ont bâillonné leurs bouches pendant environ six minutes, les faisant presque suffoquer puis ils ont relâché leurs mains. Dès que les pratiquants ont ouvert la bouche pour respirer, les gardes les ont gavés. Le lendemain, tous les gardes portaient des imperméables et ont continué l’alimentation forcée. Ce jour-là, le pratiquant Zou Shuchun, de la ville de Changsha, est mort en raison de l’alimentation forcée.
Comme Wang Ping refusait de renoncer à sa croyance, les autorités ont prolongé sa peine de prison d'un an supplémentaire. Elle est retournée chez elle le 30 septembre 2002, mais elle a été arrêtée de nouveau en 2003, parce qu'elle distribuait des documents de clarification de la vérité aux gens. Elle a été envoyée à un centre de détention quatre fois et a été torturée jusqu’à pratiquement son dernier soupir. Le 10 mai 2003, la police l'a envoyée à la prison pour femmes de Changsha, où elle a été de nouveau soumise à quatre ans de persécution cruelle.
Mme Wang est retournée chez elle le 28 février 2008. Le 2 juin, la police locale est venue pour l'enmener sous le prétexte de la garder jusqu'à ce que le relais de la flamme olympique ait traversé la ville de Yueyang. Elle n’a pas coopéré. Les fonctionnaires l'ont menottée et traînée par terre. Ses mains saignaient à cause des menottes et à force d'être traînée. La police l'a brutalement battue et ses organes internes ont été blessés. Au centre de détention du canton, elle crachait du sang. Craignant sa mort, ses ravisseurs l'ont finalement libérée.
Mme Jiang Xiyuan, une pratiquante de Falun Gong, souffre sous la persécution
Mme Jiang Xiyuan, 52 ans, est une paysanne du canton du Yueyang. Les policiers du commissariat de police de Gongtian l'ont arrêtée et détenue au commissariat pendant quatre jours. Les persécuteurs ont dû la libérer, car elle vomissait du sang. Les fonctionnaires ont continué de la harceler, mais elle a résisté avec la puissance de ses pensées droites. La soirée du 29 novembre 2004, les policiers du commissariat de police de Yuetian l'ont arrêtée, car elle distribuait des documents de clarification de la vérité. Les pratiquants Liu Wanglong et Chen Xiang ont été également arrêtés, comme l'ont été le lendemain les pratiquants Chen Liqun, Jiang Xiyuan et Liu Wanglong. Ils ont été envoyés à la division de la sécurité domestique du canton de Yueyang.
Une fois là-bas, le chef de division, Guo Shenxiang, a giflé Mme Jiang et lui a frappé la bouche avec un bloc en caoutchouc épais. Ensuite, le policier Li Xiaomao l'a fait tomber par terre en la poussant et Guo lui a frappé la tête et l'abdomen avec une matraque. Un très gros bouton sur un de ses vêtements a été brisé en morceaux suite au passage à tabac. Le conducteur du commissariat de police ne pouvait supporter de voir ceci et a persuadé Guo d’arrêter le passage à tabac. Le conducteur a aidé Mme Jiang à se relever. Le chef du commissariat de police de Yuetian a donné des coups de pied et de poing à Mme Jiang. Il a également piétiné son pied avec ses chaussures en cuir, le frottant par terre. Puis Guo et Li ont de nouveau poussé Mme Jiang par terre. Guo lui a piqué le visage et le nez avec une bande de bambou large et pointue. Li a utilisé ses doigts pour lui pincer le visage et Guo a frappé le visage de Jiang avec la bande de bambou. Ils lui ont également frappé la main avec la bande de bambou, ce qui entraîné de graves saignements.
Dans l'après-midi du lendemain, la police a voulu prendre sa photographie, mais elle n’a pas coopéré. Les policiers Zeng et Li Xiaomao ont saisi ses mains et ils lui ont tous les deux frappé les tempes. Ils l'ont torturée toute la journée et ensuite, ils l'ont envoyée au centre de détention du canton. Là, les gardes ont voulu lui demander quelque chose, mais ils ont arrêté après avoir vu ses mains noires, pourpres, enflées et déformées. Quatre jours plus tard, ils l’ont interrogée, mais elle n’a pas coopéré avec eux. Les agents de la division de sécurité domestique l'ont brutalement battue, en marchant sur ses pieds et en lui cognant la tête contre un mur. Ils l'ont interrogée pendant trois heures. Son visage a été déformé et elle était à peine reconnaissable. Les fonctionnaires ont détenu Mme Jiang pendant plus de 50 jours. Sa famille a donné des pots de vin pour une somme de 17.000 yuans pour la faire libérer.
Traduit de l’anglais au Canada le 19 août 2008
Version chinoise disponible à:
http://minghui.ca/mh/articles/2008/7/6/181552.html
Traduit de l'anglais de :
http://clearwisdom.net/emh/articles/2008/8/18/99924.html
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