Mme Zhang Shujie, 37 ans, est une employée de la centrale électrique de Kezuozhongqi, dans la ville de Tongliao en Mongolie intérieure. Elle a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1996. Sa maladie cardiaque et ses problèmes liés à ses menstruations ont disparu dans le mois qui a suivi le début de sa pratique. Elle a recouvré la santé.
En juillet 1999, quand le parti communiste chinois ( PCC) a commencé à persécuter le Falun Gong, Mme Zhang est allée faire appel à Beijing. Elle voulait dire aux public et au gouvernement qu’il n'y a rien de mal à pratiquer le Falun Gong et que la pratique apporte au contraire des bienfaits tant aux gens qu’au pays. Malheureusement la police l'a arrêtée alors qu'elle était en route pour Beijing.
En mai 2001, le bureau de la sécurité publique de Baokang l’a détenue pendant sept jours dans un centre de détention de la localité. Après cela, Bai Yuhua, Hebagenna et Yu Qinglin du bureau de la sécurité publique l’ont envoyée dans un autre centre de détention et elle a été détenue là-bas, pendant 10 jours. Plus tard, on l'a envoyée au centre de lavage de cerveau de la ville de Tonghua pendant sept autres jours. Le bureau de la sécurité publique a extorqué 300 yuan de son unité de travail.
Le policier de la localité Song Shouan et le personnel du bureau 610, Hebagenna, Yu Qinglin, Xiao Zhong et Bai Yuhua l’ont harcelée chez elle et à son travail. Ils ont tellement irrité ses collègues de travail que ces derniers leur ont demandé de partir. Le policier Song Shouan a essayé de persuader le propriétaire de Mme Zhang de ne pas lui louer de chambre. Le bureau de la sécurité publique de Baokang a mis sa ligne téléphonique sur écoute et son lieu d’habitation sous surveillance. Mme Zhang était suivie.
Vers minuit, le 5 novembre 2005, la police est entrée par effraction et a saccagé le domicile de Mme Zhang. Ils ont pris tous les livres de Falun Gong. La police a aussi saccagé le domicile de Cui Yuling, qui vit tout près de chez Mme Zhang. L’agent Hebagenna du bureau 610 a utilisé une hache pour briser la porte du domicile de Mme Cui. Shao Yuhong a volé les certificats de dépôt de Mme Cui et d’autres objets. Mme Zhang, Mme Cui et une autre pratiquante Mme Li Guizhi ont été emmenées dans un centre de détention. Il ne leur a pas été permis de prendre leur manteau d’hiver quand elles ont été arrêtées. Elles ont passé une journée et une nuit sur une planche de bois sans rien pour leur tenir chaud.
C’était durant les froids de l’hiver. Pour torturer les pratiquantes, la police a donné l’ordre aux détenues criminelles, Chen Xiaolan du village de Baiyintal et Shan Daixiao de la 3e région des pâtures de Zhurihe de leur verser de l’eau froide dessus. Elles ont dévêtu les pratiquantes et ont versé des bassines d’eau froide sur leurs têtes. Le policier Bai Yuhuan était de service à ce moment-là. Après la torture, Bai a donné l’ordre à Mme Zhang de remettre ses vêtements et de rester debout dehors dans le froid glacial.
Mme Zhang a fait une grève de la faim pour protester contre les mauvais traitements. La police l’a conduite à un hôpital et l’a alimentée de force pendant cinq jours. Mme Zhang est devenue émaciée et son visage était pâle. La torture à fait que Mme Zhang à soudainement eu une crise cardiaque. Son cœur battait à 130 pulsations minute. Mme Zhang a reçu de force des injections par intraveineuse. Un policier a été assigné pour la persécuter spécifiquement, essayant de la « transformer » en utilisant des méthodes variées, incluant la tromperie, les menaces et les séductions. Un mois plus tard, sans qu’aucune procédure légale n’ait été suivie, Mme Zhang et deux autres pratiquantes ont été avisées qu’elles avaient été condamnées de deux à trois ans de travaux forcés. Le 5 décembre 2005, elles ont été secrètement enfermées au camp de travail forcé de Tumuji.
Les autorités ont informé les familles des pratiquantes, après que les pratiquantes aient été envoyées au camp de travail. En allant au camp, Mme Zhang avait très froid et elle a demandé aux gardes de lui permettre de s’acheter une paire de bottes d’hiver, mais ils ont ignoré sa demande. Après être arrivées au camp de travail forcé, les pratiquantes ont été immédiatement emprisonnées dans une session de lavage de cerveau pendant sept jours. Quand la session a été terminée, elles ont été envoyées faire du travail forcé. Elles devaient travailler plus de onze heures et demie tous les jours et elles devaient terminer leur quota assigné. Étant donné le dur travail intense et la pression mentale, Mme Zhang a commencé à montrer des symptômes d’une infection aux poumons et elle avait de la difficulté à respirer. Malgré son mauvais état de santé, elle n’a jamais été dispensée de faire son travail. Après avoir enduré deux ans et deux mois de mauvais traitements brutaux, Mme Zhang était profondément meurtrie tant physiquement que mentalement. Ses jambes avaient perdu de leur sensibilité et des plaques noires sont apparues sur son visage. Son employeur lui a retiré deux ans de son salaire ce qui lui a fait perdre plus de 20 000 yuan de revenu.
Le 25 janvier 2008, Mme Zhang a été relâchée. Deux à trois jours plus tard, le policier Yin Wei a dit au poste de police de Baokang d’envoyer plusieurs policiers pour entrer par effraction chez Mme Zhang. Heureusement, Mme Zhang avait déménagé. Quelques jours plus tard, Yin Wei est allé sur le lieu de travail de Mme Zhang mais il n’a pas pu la trouver. Yin a alors appelé Mme Zhang, la menaçant en disant qu’il savait où elle était et qu’il était en charge de la région.
Ces faits concernent la persécution de Mme Zhang Shujie au cours de ces neuf dernières années.
Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2008/5/10/178157.html
Version anglaise disponible à :
http://clearwisdom.net/emh/articles/2008/5/31/97770.html
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