Tous nos amis et nos familles étaient très contents et nous ont félicités quand notre fils est né en 1988. En tant que mère, j’étais bien entendu très heureuse et prenait bien soin de l’enfant. Cet enfant était toujours malade. Il a été hospitalisé plusieurs fois depuis qu’il avait 17 jours et nous allions souvent à l’hôpital.
Une nuit alors qu’il avait seulement trois ans, il a eu une forte fièvre. Mon Mari et moi-même l’avons emmené à l’hôpital. J’étais assise sur une chaise dans le hall de l’hôpital prenant sa température, quand ses yeux se sont soudainement révulsés en arrière. Il a cessé de respirer, son visage est devenu noir et violet. J’ai crié pour appeler le docteur. Il nous a dit de l’emmener aux urgences.
Le médecin a diagnostiqué une épilepsie. J’ai senti un couteau me percer le cœur. La condition des attaques de mon fils empirait sans que je puisse rien faire d'autre que pleurer. Au début elles affectaient seulement son visage et son cou. Plus tard, ses mains et ses bras étaient également touchés et les médicaments ne faisaient rien du tout. Tous nos amis et les membres de notre famille étaient très inquiets et demandaient comment ils pouvaient nous aider. Plusieurs experts renommés ont examiné mon fils aboutissant aux mêmes résultats : il était épileptique. Ils nous ont renvoyés chez nous avec beaucoup de médicaments.
Parmi les médicaments prescrits il y avait des sédatifs qui le laissaient sans entrain et faible tout le temps. Cependant sa condition ne s’améliorait pas et je l'observais impuissante Je commençais à penser que la mort serait plus facile. Une fois je faisais du vélo portant mon fils à l'arrière. Quand nous avons traversé la rue, je n’ai pas regardé en arrière intentionnellement. Je pensais que ce ne serait pas un problème si une voiture nous heurtait et nous tue tous les deux. J’ai entendu le crissement des freins derrière moi et le conducteur nous réprimander. Mon fils a dit : "Maman, il nous gronde. " Je n’ai pas osé me retourner mais les larmes coulaient le long de mes joues.
Mon fils a commencé l’école primaire en 1995. Sa maîtresse se plaignait toujours de lui : "Qu’est-ce qui ne va pas avec votre enfant ? Il ne manifeste aucun intérêt pour quoi que ce soit. Il pose sa tête sur la table et ne la lève pas. " J’avais peur de lui dire la vérité. Elle pouvait exercer une discrimination. Je ne voulais pas que ses camarades de classe se moquent de lui. J’ai ravalé mes larmes.
Mon fils et moi même avons attrapé la grippe avec une mauvaise toux pendant l’hiver 1995. J’allais chercher mon fils de l’école tous les jours et l’emmenais à l’hôpital. On nous faisait à tous les deux des piqûres. Nous avons encore continué à tousser pendant 20 jours. Je suis allée à l’hôpital pour y trouver ma cousine le 10 février 1996. Elle pratiquait déjà le Falun Gong à cette époque. Elle était contente de nous voir. Elle a dit : "Venez chez moi ce soir pour apprendre la pratique. "
Après le dîner nous sommes allés sur le lieu de travail de ma cousine où il y a un site de pratique. J’ai été étonnée par la gentillesse de tous les pratiquants. Ils nous ont laissés nous asseoir mon fils et moi au premier rang pour regarder les vidéos de l’enseignement du Maître. Je me suis sentie comme une enfant perdue qui retrouve ses parents lorsque j’ai vu le Maître. J’étais heureuse, excitée, et me sentais en même temps amère et blessée. J'ai pleuré irrépressiblement.
Ce jour là, le Maître a parlé de guérir la maladie. J'ai gardé chaque parole du Maître s'est gravée dans mon coeur . Je pensais : "Une pratique aussi bonne, comment se fait-il que je la trouve seulement maintenant ? " J'ai regardé mon fils. Il était concentré sur la conférence et il ne bougeait même pas. Nous n’avons pas toussé de toute la soirée. Sur le chemin du retour, nous nous sentions tous les deux légers, comme flottant dans les airs. Nous étions tellement à l’aise.
Le nouvel an chinois approchait, mais nous avons continué d’y aller tous les soirs. L’assistant a prolongé la série des conférences de deux jours spécialement pour nous. Nous avons appris la totalité
des cinq exercices. J’ai dit à mon fils : "Nous sommes des pratiquants à présent. Ne prenons plus ces médicaments inutiles. Débarrassons nous en . " Mon fils les a tous jetés avec joie à la poubelle. Il se sentait aussi soulagé.
Depuis que mon fils a commencé de pratiquer Falun Dafa, les merveilles de la Loi se sont manifestées en lui. Le deuxième jour de la pratique, le Maître a purifié son corps. Il s’est arrêté de tousser. Ses tremblements épileptiques ont disparu. Son oeil céleste s’est ouvert et il pouvait voir le Maître pendant qu’il faisait les exercices. Il aimait vraiment faire les exercices. Après avoir fini ses devoirs, il faisait les exercices. Je pouvais seulement faire la méditation assise pendant 30 minutes, alors qu’il restait assis pendant 1 heure et parfois plus de 100 minutes. Ils décroisait ses jambes et marchait normalement juste après avoir fini. Il est devenu aussi plus gai et adorable. Il a suivi les paroles du Maître : "ne pas rendre les coups ni les insultes " ("Transformation du Karma," Leçon 4 de Zhuan Falun) et s'est fait aimer de tous les enseignants et de ses camarades de classe . Ses notes à l'école étaient toujours les meilleures . Ma maison était remplie de joie et de rire. J’étais tellement reconnaissante envers le Maître. Jamais je n'aurais pensé pouvoir vivre de telles journées. Presque tout le monde dans ma famille éloignée a commencé à pratiquer Falun Dafa, en voyant la vérité.
Mon fils a eu son certificat d’étude en 2004 avec mention. Il a été admis dans un très bon lycée et l’année dernière dans une université renommée. Il est doué dans beaucoup de domaines. Il fait environ 1 mètre 80 et est très beau. Il a la droiture, la compassion et la confiance d’un pratiquant de Dafa.
Quand j’entends les gens parler des souffrances d’un enfant épileptique ou de problèmes cérébraux et de leurs familles je réalise que " Si mon fils n’avait pas pratiqué le Falun Dafa, il aurait lui aussi été comme ça. "
Date de l'article original : 8/5/2008
Version chinoise disponible à href=http://minghui.ca/mh/articles/2008/4/15/176499.html
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