Le camp de travaux forcés numéro 2 de la province de Gansu a commencé à détenir des pratiquantes de Dafa en février 2000. Le premier et le deuxième groupe de la brigade féminine ont commencé le traitement brutal suivant :
1.) Contrôle 24 heures durant. Pour les harceler et les forcer à abandonner leur croyance, chaque pratiquante de Dafa est surveillée par un criminel, elles ne sont pas autorisées à parler librement et ont linterdiction totale de communiquer entre elles. La personne assignée va suivre la pratiquante dans toutes ses activités, sans exception - promenade, repas, toilette - pour lempêcher de parler, de pratiquer et de propager Dafa (Vérité-Compassion-Patience). Si le surveillant ne peut contrôler la pratiquante, il perd des points. Il peut perdre, suivant le cas, de 10 à 29 points et le terme de sa condamnation est repoussé de 10 jours pour la perte de 29 points. Le camp force les criminels et les policiers à participer aux mauvais traitements en leur imposant ce système de points. Ils sont forcés dêtre responsables pour limiter la liberté des pratiquantes de Dafa et leur liberté de parole. Par cette pression les surveillants criminels empêchent les pratiquantes de parler.
2). Fan Jun-cao est âgée de 59 ans et elle est originaire de Xinfeng. Elle a été transférée du camp de travail de Pintal . Dès le premier jour elle a été maltraitée pour avoir refusé de réciter les règlements du camp. Pendant une nuit froide du mois de mars la police la obligée de rester dehors de 21h:30 jusquà 3h:00 le lendemain. Ce traitement a duré pendant 47 jours. Malgré cela elle devait travailler et participer à lentraînement militaire durant la journée. Lorsque la police a obligé les pratiquantes à regarder les vidéos diffamant le Falun Dafa, elle sest levée pour dire : « Falun Dafa est bon. » Alors les criminels lont poussée dans une cellule et un gardien la battue avec une matraque électrique sur les jambes et les fesses. Elle a été frappée si fort quelle ne pouvait plus saccroupir sur les toilettes. Plus tard, à différentes occasions, elle a été menottée 9 fois à un cadre de lit pendant 7 jours et 7 nuits. Alors quelle était attachée au cadre inférieur dun lit métallique, durant 8 jours, les menottes enfoncées dans sa chair ont causé des saignements. Elle ne pouvait que saccroupir ou se mettre à genoux, elle est restée dans une telle position pendant plus de 10 heures chaque jour.
3.) La pratiquante de Dafa, Liu Wen-yu, na pas accepté sa détention illégale dès le premier jour. Elle a fait plusieurs grèves de la faim dont une a duré plus de 2 semaines. La police a incité les criminels à la nourrir de force. Le manche à balai utilisé pour lui ouvrir la bouche la gravement blessée et fait saigner.
4.) Le 9 septembre 2001 toutes les prisonnières de Dafa pratiquaient dans la cour. Les criminels les ont emmenées dans les cellules et les gardiens les ont toutes menottées aux cadres des lits. Pensant que Zhang Fu-rong avait organisé lexercice la police la détenue dans la salle de garde pendant plusieurs jours.
5.) Le 31 décembre 2001, la police a diffamé Dafa pendant toutes les réunions. Quelques pratiquantes dont He Hui-qin, Zai Fen-chi se sont levées et ont crié :
« Falun Dafa est bon. » EIles ont alors été menottées, les mains dans le dos, avec linterdiction de sasseoir, ne pouvant que sagenouiller sur le sol.
6.) Liu Xiao-ming a été condamnée illégalement à un an de travaux forcés en mars 2001. Elle était handicapée. Pendant les jours très froids, lorsque les autres pratiquantes étaient forcées de faire les exercices militaires, elle devait rester dehors. Ses mains étaient gelées et il fallait laider pour utiliser les toilettes. Les gardiens lont aussi obligée à travailler. Elle a entamé une grève de la faim de 6 jours pour protester contre sa détention illégale, et elle a été menottée au cadre dun lit pendant deux jours. [ ]. Certains criminels ont manifesté leur compassion à son égard et ont dit : «Ceci va trop loin, nous ne pouvons pas punir les personnes handicapées de telle façon. »
7.) La pratiquante WangYu-xia est originaire de Xifang. Un jour le policier Wang Yong-ong a ordonné quon lamène dans la cellule et quon la menotte au cadre dun lit de façon que ses orteils ne touchent pas le sol. Les gardiens ont demandé aux criminels de la battre. Les policiers lui disaient alors : « Personne ne ta battue, personne na vu. »
Ceci ne sont que quelques exemples de traitements brutaux endurés par les pratiquantes de Dafa dans le camp de travaux forcés numéro 2 de la province de Ganzu.
16 septembre 2002.
1.) Contrôle 24 heures durant. Pour les harceler et les forcer à abandonner leur croyance, chaque pratiquante de Dafa est surveillée par un criminel, elles ne sont pas autorisées à parler librement et ont linterdiction totale de communiquer entre elles. La personne assignée va suivre la pratiquante dans toutes ses activités, sans exception - promenade, repas, toilette - pour lempêcher de parler, de pratiquer et de propager Dafa (Vérité-Compassion-Patience). Si le surveillant ne peut contrôler la pratiquante, il perd des points. Il peut perdre, suivant le cas, de 10 à 29 points et le terme de sa condamnation est repoussé de 10 jours pour la perte de 29 points. Le camp force les criminels et les policiers à participer aux mauvais traitements en leur imposant ce système de points. Ils sont forcés dêtre responsables pour limiter la liberté des pratiquantes de Dafa et leur liberté de parole. Par cette pression les surveillants criminels empêchent les pratiquantes de parler.
2). Fan Jun-cao est âgée de 59 ans et elle est originaire de Xinfeng. Elle a été transférée du camp de travail de Pintal . Dès le premier jour elle a été maltraitée pour avoir refusé de réciter les règlements du camp. Pendant une nuit froide du mois de mars la police la obligée de rester dehors de 21h:30 jusquà 3h:00 le lendemain. Ce traitement a duré pendant 47 jours. Malgré cela elle devait travailler et participer à lentraînement militaire durant la journée. Lorsque la police a obligé les pratiquantes à regarder les vidéos diffamant le Falun Dafa, elle sest levée pour dire : « Falun Dafa est bon. » Alors les criminels lont poussée dans une cellule et un gardien la battue avec une matraque électrique sur les jambes et les fesses. Elle a été frappée si fort quelle ne pouvait plus saccroupir sur les toilettes. Plus tard, à différentes occasions, elle a été menottée 9 fois à un cadre de lit pendant 7 jours et 7 nuits. Alors quelle était attachée au cadre inférieur dun lit métallique, durant 8 jours, les menottes enfoncées dans sa chair ont causé des saignements. Elle ne pouvait que saccroupir ou se mettre à genoux, elle est restée dans une telle position pendant plus de 10 heures chaque jour.
3.) La pratiquante de Dafa, Liu Wen-yu, na pas accepté sa détention illégale dès le premier jour. Elle a fait plusieurs grèves de la faim dont une a duré plus de 2 semaines. La police a incité les criminels à la nourrir de force. Le manche à balai utilisé pour lui ouvrir la bouche la gravement blessée et fait saigner.
4.) Le 9 septembre 2001 toutes les prisonnières de Dafa pratiquaient dans la cour. Les criminels les ont emmenées dans les cellules et les gardiens les ont toutes menottées aux cadres des lits. Pensant que Zhang Fu-rong avait organisé lexercice la police la détenue dans la salle de garde pendant plusieurs jours.
5.) Le 31 décembre 2001, la police a diffamé Dafa pendant toutes les réunions. Quelques pratiquantes dont He Hui-qin, Zai Fen-chi se sont levées et ont crié :
« Falun Dafa est bon. » EIles ont alors été menottées, les mains dans le dos, avec linterdiction de sasseoir, ne pouvant que sagenouiller sur le sol.
6.) Liu Xiao-ming a été condamnée illégalement à un an de travaux forcés en mars 2001. Elle était handicapée. Pendant les jours très froids, lorsque les autres pratiquantes étaient forcées de faire les exercices militaires, elle devait rester dehors. Ses mains étaient gelées et il fallait laider pour utiliser les toilettes. Les gardiens lont aussi obligée à travailler. Elle a entamé une grève de la faim de 6 jours pour protester contre sa détention illégale, et elle a été menottée au cadre dun lit pendant deux jours. [ ]. Certains criminels ont manifesté leur compassion à son égard et ont dit : «Ceci va trop loin, nous ne pouvons pas punir les personnes handicapées de telle façon. »
7.) La pratiquante WangYu-xia est originaire de Xifang. Un jour le policier Wang Yong-ong a ordonné quon lamène dans la cellule et quon la menotte au cadre dun lit de façon que ses orteils ne touchent pas le sol. Les gardiens ont demandé aux criminels de la battre. Les policiers lui disaient alors : « Personne ne ta battue, personne na vu. »
Ceci ne sont que quelques exemples de traitements brutaux endurés par les pratiquantes de Dafa dans le camp de travaux forcés numéro 2 de la province de Ganzu.
16 septembre 2002.
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/9/30/27062.html
http://www.minghui.cc/mh/articles/2002/9/17/36676.html
* * *
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.