Le 23, janvier, S, une pratiquante âgée est sortie faire des courses pour le nouvel an, avec sa fille. A peine sorties de l'immeuble, avant même qu'elles aient pu monter dans leur voiture, un policier aux allures de voyou s'est approché d'elles. Mme. S, sans y prêter attention allait monter dans la voiture. Le policier a tenté de lui attraper la main.
' Mais qu'est-ce que vous faites là ? ' a crié sa fille, déjà assise dans la voiture. Après quelques
bousculades, sa fille a pu fermer et verrouiller la porte.Mais le policier continuait à tirer sur la poignée.
A ce moment là, le fils, assis à la place du chauffeur, n'a pas pu retenir sa colère. Il est sorti, passant par le devant de la voiture et l'a repoussé.' Comment ça ? Tu cherches la bagarre ? ' a crié le policier. ' Et alors ? Tu penses qu'on n'ose pas te toucher, parce que tu es en uniforme ! Ce sont des types comme toi qui méritent le plus qu'on leur tape dessus ! Si tu oses encore toucher à ma mère, tu vas voir !'
' Mais elle pratique le Falun Gong. Il faut donc remplir une fiche.' ' Pratiquer le Falun Gong n'est pas un crime ! Tous ces pratiquants sont de très bonnes personnes. Ma mère grâce à la pratique a retrouvé une bonne santé ; mais vous n'arrêtez pas de les attraper, de les incarcérer, de les forcer à signer une garantie, à remplir une fiche ......c'est fini, non ?!'
' Vous, les policiers êtes des bandits. Vous faites surtout du mal aux honnêtes gens,' la fille a crié de la voiture, ' Vous êtes venus plusieurs fois perquisitionner chez ma mère, et vous avez volé.'
' Quoi donc ?' ' Un appareil photos. ' ' Qui l'a volé ?' ' Vous, les policiers !'
A ce moment là, les voisins se sont attroupés pour assister à la scène. Le mari de S, en entendant tous ce bruit, est descendu, lui aussi, de l'immeuble. Il a crié au policier :
' Qu'est-ce que vous faites ? Que voulez-vous faire ?' 'Monsieur, calmez-vous, nous allons discuter, (il voulait dire aller remplir la fiche à l'intérieur.) ' Il n'y a rien à discuter, et je ne vous permets plus de mettre les pieds chez moi !'
La voiture est partie, le vieux monsieur aussi. Le policier n'avait plus qu'à s'en aller.
Le mari de la Pratiquante S a 80 ans. C'est un vieil intellectuel. Il est réservé, taciturne. Pendant toutes ces années, il a couru des lieux d'arrestation aux centres du lavage du cerveau.......Bref, il en a vu de toutes les couleurs. Il a cette habitude : ne lire que les journaux en anglais, disant : ' certes, la version anglaise vient du PCC aussi, mais elle est peut-être quand même 'moins contaminée' que celle en chinois !'
Les voisins ont été étonnés de voir cette 'confrontation' entre lui et le policier. Quel comportement surprenant, venant d'une telle personne. Ce qui a ébranlé sa femme, c'est que le soir même, son mari lui a dit, 'Tu n'a plus besoin d'aller apprendre la Loi chez les autres. Reste avec moi, nous allons l'étudier ensemble à la maison. Je vais te la lire.' ( La Pratiquante S était illettrée, mais grâce à la pratique, elle arrive à lire Dafa sans problème, à présent.)
Depuis juillet 1999, S a connu à répétition kidnappings, séquestrations, persécutions. Sa famille a été entrainée dans ce tourbillon avec elle, courant à gauche, à droite, pour demander de l'aide, payer les cautions pour la faire sortir......Au contact de ces voyous en uniforme, la famille a appris combien ils sont bas et inhumains. Ils ont vu le vrai visage du PCC.
Leur conclusion : pour lutter contre la perversité, il suffit de ne pas avoir peur. Quand les citoyens en prendront conscience, la perversité sera dissoute, car la droiture l'emporte sur la perversité.
Date originale de l'article : 5 février 2008
Version chinoise disponible à:
http://big5.minghui.org/mh/articles/2008/2/5/171813.html
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