Il y a trois ans, je souffrais de psoriasis, ce qui a causé à ma famille et à moi-même d’innombrables problèmes.
A l’âge de 15 ans, il y a huit ans de cela, j'ai attrapé le psoriasis pour la première fois. Cela a commencé avec une épaisse plaque de croûtes blanches sur mon crâne. Je ressemblais à quelqu’un qui portait un chapeau. J’étais à cette époque une adolescente et affligée d’une maladie aussi embarrassante durant la puberté, m’a poussé à envisager le suicide. Mes pairs me regardaient avec dégoût, ce qui m’a fait sombrer dans le désespoir. J’ai finalement quitté l’école. Mon père m’a emmenée voir de nombreux docteurs et dans de nombreux hôpitaux. J’ai même essayé des thérapies traditionnelles chinoises à base de plantes, mais rien de tout cela n’était vraiment efficace. Tout en continuant à chercher un traitement médical, le psoriasis s’était déjà étendu partout sur mon corps. Je me suis souvent demandé pourquoi j’étais victime d’une telle malédiction pour avoir une si terrible maladie.
Entre temps, ma mère a commencé à pratiquer le Falun Gong, et j’ai vu d’énormes transformations s’opérer en elle. Elle m'a dit "La maladie est le résultat du karma," "C’est peut-être le karma que tu a créé dans ta vie précédente qui te fais souffrir. Pourquoi ne lirais-tu pas les livres du Falun Gong et répèterais-tu pas 'Falun Gong est bon ' du fond du coeur? Je crois que tu seras guérie."
Du fait de l’éducation athéiste du Parti communiste chinois que j’avais reçue, je ne croyais en rien que je ne puisse pas voir de mes propres yeux. Bien que j’apportais mon entier soutien à ma mère dans sa pratique du Falun Gong, j’étais quelque peu sceptique quand au fait que le Falun Gong puisse me guérir de mon psoriasis. De plus, je ne pensais qu’à guérir de ma maladie, donc je n’ai pas tout de suite commencé à pratiquer le Falun Gong.
Par la suite, j’ai entendu dire qu’un hôpital dans une ville éloignée d’environ 160 kilomètres avait un traitement efficace contre le psoriasis. Cela aurait coûté cher de prendre le bus pour y aller, donc mon père m’y a emmené à moto. Nous avons fait plusieurs allers-retours à l’hôpital, par tout les temps, sous la pluie, dans le vent. Je ne peux pas compter le nombre de voyages que nous avons fait pour nous rendre à cet hôpital qui avait promis de guérir le psoriasis, mais le traitement n’a pas marché. J'ai eu l'impression d'être arrivée au terme de ma vie, et j'ai perdu toute confiance en la médecine.
Ma mère a continué à me conseiller de pratiquer le Falun Gong. "Ne recherches aucune récompense quand tu répètes 'Falun Gong est bon' et tu seras récompensée pour ta sincérité," m’a-t-elle dit. Je me suis dit que je pourrais tout aussi bien faire un essai parce que j’étais au bout du rouleau. Aussitôt après avoir commencé à dire "Falun Gong est bon," Je me suis immédiatement sentie dans un meilleur état d’esprit. J’ai alors commencé à lire le Zhuan Falun. En fait, je l’ai lu de bout en bout deux fois. Dans le livre j’ai entrevu l’espoir. J’ai décidé de ne plus penser au psoriasis. Je me suis dit à moi-même : "Je suis une personne en bonne santé. Du moins, mon esprit est sain." Tandis que ma mère m’encourageait sans cesse à continuer de lire ce que j'ai fait. J’ai arrêté de prendre des médicaments. En quelques années, le psoriasis a disparu sans que je m’en aperçoive.
Je suis maintenant mariée et mère d’un beau bébé en bonne santé. Je remercie sincèrement le Falun Gong et le Maître de nous avoir offert une telle chance.
Date de l'article original : 23/1/2008
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2008/1/6/169706.html
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