Les officiers de police ne parvenaient pas à comprendre pourquoi Jiang avait si peur du Falun Gong et pourquoi les agents chinois prenaient des mesures de sécurité aussi ridiculement strictes. Ils nous ont dit que lorsque Jiang était arrivé à lHôtel de Ville, seul le maire, la femme du maire, son assistant et un autre employé avaient été autorisés à rester à lHôtel de Ville, tandis que tous les autres navaient pas même été autorisés à venir y travailler. Nous leur avons dit que les crimes de Jiang en Chine sont la raison pour laquelle il a si peur et nous avons alors utilisé un portable pour leur montrer un VCD intitulé « Appel au monde ». Dans ce programme de vingt minutes, les officiers de la police allemande ont vu comment les policiers chinois en civile ou en uniforme frappaient cruellement et férocement les paisibles pratiquants de Falun Gong publiquement sur la place Tiananmen, et que les pratiquants navaient jamais rendu les coups.
En voyant la dépouille mortelle de M. Liu Yufeng couverte de cicatrices, les policiers ont froncé le sourcils, en voyant des photos de Mme Zhao Xin pleine de vie comparées à des photos prises delle dans la garde à vue à lhôpital, leurs yeux manifestaient tristesse et sympathie.Après avoir vu le VCD, ils sont restés silencieux un bon moment. Alors nous leur avons demandé, maintenant pouvez vous comprendre pourquoi Jiang a si peur du Falun Gong ? Il a fait trop de mauvaises choses au Falun Gong.. Ils ont acquiescé tout du long. Ils ont exprimé ne pas avoir eu dautre choix que dobéir aux ordres des hautes autorités. Mais leur expression faciale et le ton de leur voix disaient que leurs curs étaient profondément touchés. Nous avons pris lexemple des généraux de Hitler, et leur avons dit le principe de la juste rétribution du bien et du mal. En ce temps là, ces généraux ne faisaient quexécuter les ordres, mais ils nont pas échappé aux châtiments la guerre finie. Peu importe dans quel genre de circonstances, une personne doit prendre la responsabilité pour ses actes. Les officiers de police hochait la tête, acquiesçant encore et encore.Enfin, nous leur avons dit sincèrement que nous espérions que ce genre de choses ne se reproduirait plus. Le capitaine suggéra que nous parlions à plus de gens du gouvernement. Lorsque nous partîmes, nous prîmes les bannières qui avaient été confisquées durant la visite de Jiang et que navaient pas été restituées aux pratiquants.
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