Jusque là perplexe quant au sens de la vie, une avocate commence à pratiquer le Falun Gong

Winifred Tung était avocate à Taiwan et dans l’état de New York. Elle était auparavant conseillère juridique pour Microtek Inc. aux Etats-Unis et un agent certifié. A la surprise de beaucoup, elle renonça à sa carrière d’avocate de renom et hautement respectée à l’âge de 38 ans. A cette époque, Tung était déjà la directrice d’un cabinet d’avocat de 100 membres.

Qu’est-ce qui a poussé Tung à renoncer à sa carrière d’avocate ? Elle dit : « Combien de personnes dans la communauté juridique commencent des études de droit avec la noble ambition d’aider les gens et de sauver le monde ? Combien d’étudiants en droit qui avaient de telles aspirations les ont perdues de vue après avoir passé le seuil de l’université ? » Plusieurs années de pratique en droit avaient amené Winifred à la déception et au découragement en voyant la tendance descendante de l'humanité et de la société..

Au moment où elle était perplexe et hésitante à un tournant de sa vie, un décorateur d'intérieur qui aidait alors sa famille lui a donné un livre intitulé Zhuan Falun. Bien que Winifred avait déjà lu ce livre, elle se rendit malgré tout au Tibet à la recherche du sens de la vie. Cependant, elle n’y trouva pas de réponse .

Lorsqu’elle revint, elle commença à en apprendre davantage sur le Falun Gong. Elle voulait savoir ce que voulait vraiment dire « cultivation et pratique », d’où vient la vie et qu’elle est le sens de la vie. Elle pensait à l’origine que le Falun Gong était juste une pratique de cultivation ordinaire. Son grand intérêt pour le Falun Gong grandissait lorsqu’elle vit autant de pratiquants du Falun Gong en Chine, au milieu d’une persécution violente, risquer leur vie pour défendre ouvertement le Falun Gong.

« Dans le passé je me suis rendue en Chine plusieurs fois pour le travail. Je savais que beaucoup de gens se focalisaient beaucoup sur leur intérêt personnel. Cependant, je voyais à présent, que face à une telle répression par le Parti communiste chinois, tant de gens avaient été envoyés dans des camps de travail forcés pour leur persistance dans leur cultivation. De plus, ces personnes étaient relâchées si elles signaient leurs noms en promettant de ne plus pratiquer. Pourquoi cela arrivait-il ? Ne veulent -ils pas être relâchés ? Cela semblait vraiment inconcevable !”

Winifred voulait vraiment comprendre pourquoi autant de pratiquants du Falun Gong avaient choisi de faire un pas en avant pour protéger le Falun Dafa. Après qu’elle ait lu Zhuan Falun et d’autres livres ainsi que des documents, elle fut émue aux larmes.

« Lorsque j’ai lu des cas de persécution les uns après les autres, j'ai su que ces histoires étaient vraies. Les pratiquants décrivaient la persécution différemment. Tout en lisant leurs récits, je ne cessais de pleurer. J’ai vu beaucoup d’histoires émouvantes et tant de prouesses fantastiques de personnes se sacrifant elles mêmes pour leurs croyances. Je peux habituellement endurer beaucoup de choses mentalement. Cependant, cette fois-ci j'étais profondément touchée. Je pensais que ce devait être une grande Loi pour avoir cet extraordinaire pouvoir spirituel ! »
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Ayant été profondément touchée, Winifred Tung s'est mise à cultiver et pratiquer. Depuis elle a suivi Vérité-Compassion-Tolérance dans sa vie de chaque jour. Après un certain temps elle s’est aperçue qu’elle avait énormément changé.

« L’année dernière, j’ai soudainement remarqué que je ne mettais plus en colère lorsque je conduisais. Je n’ai pas utilisé le klaxon ces deux dernières années. Je me suis demandée si c’était dû au fait que les gens de Taipei avaient amélioré leur conduite ou si les conditions de la circulation étaient meilleures. Ce n’était pas le cas. J'ai réalisé que les gens conduisaien toujours aussi mal et que la circulation avait plutôt empiré. Alors pourquoi n’étais-je plus affectée ? J'ai découvert que ma disposition à devenir facilement agitée et impulsive avait été cultivée et éliminée sans même que je le remarque. »

Voyant les changements en elle-même, Winifred dit en soupirant que si elle avait obtenu la Loi lorsqu’elle était encore avocate, elle n’aurait peut-être pas renoncé à sa profession. Elle aurait pu mieux faire en tant qu’avocate et elle n’aurait pas eu autant de frictions avec ses associés. Winifred a partagé avec nous plus en profondeur, ce qu’elle avait appris sur la profession juridique grâce la cultivation..

Elle a dit: « D’après la perspective de «Vérité», les avocats aujourd’hui ne parlent pas avec sincérité à la cour parce que nous savons que les accusés ont le droit de demeurer silencieux. Lorsqu’une personne est arrêtée, si elle choisit de ne pas dire la vérité et si il n’y a personne témoignant contre elle, elle peut nier l’accusation. Ce phénomène n'a pas aidé la société à voir la vertu qu'il y a à dire la vérité. Quelle que soit la faute on ne l’admet pas et on n'exige pas que vous disiez toujours la vérité. »

« Je vous donnerai un autre exemple de ne pas suivre les principes de Vérité-Compassion-Tolérance dans la société . En achetant une maison qui allait être construite, quelqu’un fit un premier versement. Après ça, la famille de l’acheteur rencontra quelques problèmes financiers et elle n’avait pas la possibilité de continuer l’achat, donc elle voulait arrêter l’acquisition. Beaucoup de constructeurs diraient que la personne a violé le contrat et garderaient l’acompte pour eux. En y réflêchissant, tout est jugé selon la loi mais le critère pour juger de ce qui est juste et de ce qui ne l’est pas dévie déjà relativement d’une moralité humaine relativement élevée exigée de l’humanité dans les temps anciens. Il est facile d’oublier la moralité lorsqu’il suffit de faire les choses selon les exigences les plus inférireures de la loi et de maximiser le gain personnel. »

« En cour les avocats se mettent en question les uns les autres et examinent chaque mot que l’autre partie a dit, cherchant des choses à attaquer. Si les gens veulent véritablement résoudre un conflit, ne devraient-ils pas d’abord penser si eux-mêmes sont fautifs ou pas et en même temps voir la situation du point de vue de l’autre partie ? Dans de nombreux cas, si les gens ne suivent pas le critère « Vérité-Compassion-Tolérance » en traitant les choses, et au lieu de ça vont en cour pour combattre , ils remettent la responsabilité entre les mains du juge et du jury, plutôt que de commencer par faire face à leurs propres responsabilités. »

Winifred dit avec conviction que la loi ne peut pas permettre aux gens de contrôler leurs propres cœurs. Si une personne veut commettre le mal, la loi ne peut pas l’en empêcher. On devrait avoir un code moral et cela est beaucoup plus efficace que les lois. Winifred a alors raconté une histoire qui s'est produite il y a plus de dix ans.

Winifred avait travaillé sur un cas libre de toute accusation impliquant une dame qui était furieuse. Son mari, faisant de la moto, fut percuté à l’arrière par une voiture conduite par une fille. Il fut sévèrement blessé et tomba dans le coma. Cependant, la fille ne voulait payer aucun dommage, donc la femme porta plainte pour crime ainsi que pour compensation civile contre la fille. Le fiancé de la fille était un policier, qui amena un autre policier qui travaillait au Système des rapports 110 (pour les accidents de la route). Ce policier témoigna qu’il avait le rapport de l’accident (mais il n’avait pas l’enregistrement de la voix de l’appel téléphonique) et que la fille aurait demandé à un passant de rapporter le cas. Cela constituait le fait qu'elle « se rende d’elle-même à la police » ce qu'elle fit, pour recevoir finalement une condamnation avec sursis.

Concernant le procès civil pour obtenir une compensation, la fille quitta son emploi pour fuir ses responsabilités. Le procès dura plusieurs années et entre-temps, la fille se maria, tomba enceinte et donna naissance à un bébé. A la fin, elle ne paya pas un centime. La femme découvrit que le policier qui avait témoigné était un camarade de classe du mari de la fille. Elle pensait que le policier avait commis un parjure pour aider son ami. Elle insista pour déposer une accusation de parjure contre le policier. En cour, comme prévu, elle ne put fournir aucune preuve et fut humiliée par la défense. Cependant, sa haine la poussa à continuer et elle ne voulait pas abandonner. Bien qu’elle ait échoué au procès, le policier, qui ne pouvait pas supporter l’embarras du procès et les questions qui suivirent, demanda à être transféré pour une position de garde de sécurité dans la maison du chef du comté de Taoyuan. Donc il quitta le centre du Système des rapports 110 de Taipei.

Comment est-ce que le cas s’est fini ? Ce policier fut tué alors qu'il était de garde garde lors d’un incident sans aucun lien . Après tant d’années, Winifred ne peut toujours pas décidé qui avait tort ou qui n’avait pas tort mais elle sait qu’il existe une autre justice dans des dimensions au delà de la notre. Est-ce qu’une victoire en justice est une véritable victoire dans la vie de quelqu'un ?

Puisqu’une autre journée mondiale du Falun Dafa arrive, Winifred espère sincèrement que les gens dans la profession juridique et les gens dans la société puissent suivre « Vérité-Compassion-Tolérance » dans leur vie de tous les jours, ce qui aura un impact immense sur la société et sur l’humanité. Dans une société qui a sérieusement besoin de moralité, Falun Dafa peut véritablement apporter une sérénité spirituelle aux gens et leur donner l’espoir d’une paix véritable !

Date de l'article original : 29/5/2007

Version chinoise disponible à http://minghui.ca/mh/articles/2007/5/13/154665.html

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