1. Des pratiquants détenus illégalement sont privés arbitrairement de leurs droits fondamentaux
Les gardiens du deuxième camp de travaux forcés de la ville de Jinzhou, province du Liaoning, forcent les prisonniers à surveiller les pratiquants de Falun Gong 24 heures sur 24. Ils isolent les pratiquants dans des salles séparées et les surveillent jusque dans les toilettes. Lorsque les pratiquants utilisent les toilettes ou se lavent le visage, ils les séparent et ne leur permettent pas de se voir entre eux.
Les gardiens privent aussi les pratiquants de leur droit de communiquer avec leur famille par téléphone et ils ne leur permettent pas non plus d’acheter les choses de nécessité quotidienne. Les pratiquants ont droit à leurs pauses seulement si l’humeur des gardiens le permet. Les gardiens privent également les pratiquants de leur droit de pratiquer les exercices de Falun Gong et ils ne peuvent même pas se reposer avec des postures similaires aux mouvements des exercices. Même lors des rencontres mensuelles avec leur famille, les gardiens de prison écoutent leurs conversations.
2. Les prisonniers incités à persécuter les pratiquants
Les gardiens de prison du deuxième camp de travaux forcés offrent aux prisonniers criminels une «réduction de sentence» afin de les inciter à persécuter les pratiquants.
L’instructeur du deuxième groupe, Li Zhongtao, a souvent eu des rencontres avec les prisonniers et implanté dans leur esprit, des idées pour diffamer le Falun Gong. Ils ont aussi fait pression sur les prisonniers pour qu’ils gardent leur distance par rapport aux pratiquants. Ils ont même interdit aux prisonniers de manger avec les pratiquants. Ainsi, certains prisonniers sont craintifs et ne veulent pas écouter la
3. Les sentences des pratiquants sont prolongées
Le deuxième groupe prolonge souvent sans raison les sentences illégales des pratiquants. Souvent ils n’informent pas les pratiquants à l’avance et utilisent des excuses telles que «le pratiquant n’a pas écouté les ordres», «ils ont pratiqué les exercices», «ils ont fait la grève de la faim» et ainsi de suite, pour prolonger les sentences des pratiquants. Les prolongations peuvent être de cinq jours, dix jours ou même jusqu’à plusieurs mois. Pendant la prolongation illégale des sentences, si un pratiquant proteste, la police menace de prolonger la sentence encore plus. Le pratiquant de Falun Gong, Liu Cheng de la ville de Jinzhou, a presque complété sa sentence, mais a été informé que sa sentence avait été prolongée pour un autre dix jours. Liu Cheng est allé voir le chef du deuxième groupe. Le chef du groupe a dit que c’était parce que Liu Cheng avait une fois «refusé de porter l’uniforme des prisonniers» et qu’il «avait fait les exercices». Après plusieurs discussions telles que celle-ci, la prison a prolongé sa sentence d’encore un mois. Le pratiquant Liu Wei de la ville de Huludao a été informé que sa sentence avait été prolongée de cinq jours, lors du dernier jour de sa sentence. Il est allé voir le chef du groupe, Bai Jinlong. Bai était très méchant et a menacé : «Si vous protestez, je prolongerai votre sentence d’encore dix jours.» Pour un autre pratiquant de Jinzhou, la sentence de Miao Jianguo a été prolongée de plus d’un mois. Il a été dit que son emprisonnement a été prolongé et qu’il a pu seulement être libéré tout juste avant le Nouvel An Chinois.
4. Les pratiquants forcés à s’asseoir sur de petits tabourets
Pendant la détention illégale de Liu Wei, il a refusé de s’asseoir sur un petit tabouret et ainsi il a été frappé au visage par Yang Ting, le chef adjoint du groupe, qui a reçu l’ordre de faire ainsi par le chef du deuxième groupe. Liu Wei a aussi été menotté de quatre à cinq jours. Ces coups ont eu pour effet que les oreilles de Liu Wei ont enflées et le sont restées pendant plus d’un demi-mois et il n’a toujours pas guéri.
5. Pratiquants privés du droit au traitement à l’hôpital
Le pratiquant Hu Zhaowei de la ville de Huludao a expérimenté une baisse de vision dramatique due à la persécution. En août 2006 on lui a diagnostiqué une maladie de cœur et il a eu des symptômes de maladie en revenant de la salle d'eau un matin. Le personnel de surveillance a immédiatement rapporté cela aux autorités du camp de travail. Le médecin de la prison Sun Li n’est venu que l' après-midi. Lorsque Hu Zhaowei a demandé pourquoi il était venu si tard, Sun a répondu : «Vous pensez que vous êtes le patron ou quoi? Je n’ai pas à te rendre de comptes ». Les autorités n'accordent aucune valeur à la vie des pratiquants. La famille de Hu Zhaowei a demandé la libération de Hu Zhaowei sous caution pour qu’il reçoive un traitement médical à l’extérieur de la prison, mais la demande a été rejetée par les autorités du camp de travail.
Deux autres pratiquants, Li Yong et Shao Minggang, ont aussi souffert d'hypotension et de douleurs constantes à la poitrine. Le médecin de la prison ne leur a pas donné les résultats de leurs tests sanguins. Comme l'a dit un jour Abraham Lincoln : «Vous pouvez tromper tout le monde parfois, et tout le temps quelques personnes, mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.» Les crimes commis par le camp de travaux forcés de Jinzhou, incluant tout le personnel qui participe à la persécution, ainsi que les détails de la persécution, seront finalement révélés. Quiconque commet des mauvaises actions recevra la rétribution karmique tôt ou tard.
Traduit au Canada le 25 mars 2007 de :
Version anglaise disponible à :
http://clearwisdom.net/emh/articles/2007/2/10/82540.html
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2007/1/4/146142.html
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