Maître nous a dit dans « Merci aux êtres pour leurs salutations : »
« Je voudrais vous dire: les disciples de Dafa sont le seul espoir de salut des êtres de chaque région et de chaque nation. Chérir ce qu’ils sont en train de faire revient à vous chérir vous-mêmes ! »
Ce sont les paroles bienveillantes du Maître aux êtres vivants. Les pratiquants validant Dafa et sauvant les êtres démontrent la vérité de ces paroles !
Je suis responsable de rassembler et mettre en ligne, les listes de ceux qui ont démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées dans ma région. Les listes envoyées par les pratiquants sont des registres reflétant leurs immenses efforts pour sauver les êtres. C’est également une réflexion sur la façon dont Dafa sauve les êtres avec bienveillance Chaque fois que je mets les listes en ligne, je suis content pour ces personnes qui ont choisi leur futur. Je suis aussi heureux des actions bienveillantes des compagnons de pratique.
Il y a un an de ça, A un pratiquant avec qui j’ai des contacts réguliers, m’avait envoyé plusieurs listes. Une des listes contenait plus de 100 noms et était écrite très proprement. Cela avait attiré mon attention et de temps en temps je remarquais d’autres listes avec la même écriture. J’ai réalisé que cela avait été organisé et réécrit par un pratiquant en particulier. Récemment, j’ai demandé à A de m’en dire un peu plus sur ce pratiquant. Je n’avais jusque là jamais demandé d’informations sur d'autres pratiquants. Lorsque A m’a raconté les détails, j’ai été très touché.
En fait, il s’avérait que c’était une pratiquante d’un pauvre village. Elle n’était allée à l’école que deux ans et n’avait pas reçu beaucoup d’instruction. Dû à des difficultés financières, elle était partie vivre en ville pour chercher un emploi. Elle se cultive diligemment et fait très bien les trois choses. Après avoir aidé beaucoup de ses collègues à démissionner du PCC, elle était retournée à la campagne pour aider aussi les villageois à démissionner. Cette pratiquante recueille les noms de ceux qu’elle et deux autres pratiquants ont aidé à démissionner du PCC. Puis elle les envoie pour qu’ils soient publiés en ligne.
Après avoir entendu cela, j’ai pris la liste qui venait juste d’être envoyée par cette pratiquante. Alors que je lisais la liste et pensant à ça, j’étais en larmes.
Son écriture n’était pas fluide et en accord avec le standard de l’écriture officielle mais chaque caractère était écrit avec soin et proprement. Subitement, je me suis souvenu des paroles du Maître :
« Le style cursif est écrit dans un état où on laisse libre cours au côté négatif de l’homme et aux conceptions humaines. Je pense qu’il est bon d’écrire avec netteté. Les caractères sont d’ailleurs transmis par les divinités aux êtres humains, faire de cette façon c’est aussi un respect envers les divinités. » (Enseignement de la Loi au séminaire sur la création des beaux-arts)
J’ai réalisé que cette pratiquante suivait les instructions du Maître pour se cultiver et qu’elle s’était disciplinée tout en écrivant la liste.
Il y avait plusieurs corrections sur la liste qu’elle avait faites. Ces corrections n’avaient pas été barrées avec désinvolture mais recouvertes par de petits morceaux de papiers sur lesquels la correction était écrite. Parce que beaucoup de personnes ont quitté le PCC sous leurs propres noms, souvent les noms comportent des caractères difficiles. Pour nous aider à les reconnaître, elle ajoute des remarques supplémentaires là où c’est nécessaire.
Plus je lis ses listes, plus je ressens son sérieux et sa fermeté. J’ai pensé à moi-même. Quand j’écris des lettres ou à d’autres occasions, souvent mon écriture n’est pas soignée. Je me suis senti vraiment coupable. Les listes qu’elle avait envoyées étaient des copies d’examen qu’un pratiquant de la campagne avait écrites avec son cœur et avait soumises au Maître. L’apparence de la liste était jolie ainsi que le contenu. C’était écrit avec le cœur.
Je ne pouvais m’empêcher de faire intérieurement son éloge :
Vivant dans la pauvreté, elle n’oubliait jamais de sauver les autres ;
Fatiguée après le travail mais jamais elle n’oubliait de se cultiver diligemment ;
Bien que n’ayant pas reçu d’instruction, elle n’oubliait jamais d’être rigoureuse ;
A chaque instant, dans n’importe quelle situation, elle n’oubliait jamais de cultiver son cœur.
J’ai vu beaucoup de précieuses caractéristiques de cette pratiquante- la compassion, l’attention à chaque détail et la diligence. La chose la plus précieuse est qu’elle se souvient toujours des paroles du Maître dans son cœur,
"Comparer l'étude, comparer la cultivation,
...
Arriver à faire ainsi, c'est la cultivation. "
(Réelle cultivation " de Hong Yin)
Date de l’article original : 13/3/2007
Version chinoise disponible à http://www.minghui.org/mh/articles/2007/2/22/149471.html
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