Il est plus exact d’utiliser des termes comme « pratique méditative » ou « groupe spirituel » pour décrire le Falun Gong, plutôt que le sténographique « secte » (« secte voit le procès de Hong –Kong comme un teste au « un pays deux systèmes, » Nation, Lundi) le Falun Gong n’a rien à voir avec les définitions du mot « secte » du dictionnaire, par plus que les connotations négatives du mot n’aident le lecteur à le comprendre.
Les connotations du mot « secte » servent souvent à mettre une distance psychologique entre le lecteur et un groupe ainsi désigné. Le mot marginalise ou trivialise le groupe. Si une secte n’est pas directement étrange ou bizarre, elle est du moins en marge de la société, pas vraiment respectable ou pouvant être prise au sérieux.
Lorsque qu’on lui a demandé de définir le Falun Gong, Ian Johnson du Wall Street Journal, qui a reçu un prix Pulitzer pour son reportage sur le Falun Gong en Chine a dit, « Je pense qu’une secte est habituellement considérée comme un groupe dissident d’une religion existante. Mais le Falun Gong n’est pas ça. »
Le Falun Gong n’est en fait pas une branche ni une subdivision d’une religion. C’est une pratique qui a été enseignée en privé pendant des milliers d’années avant d’être rendue publique en 1992. Elle est issue de la culture traditionnelle chinoise, mais elle est distincte et séparée des religions chinoises, telles que le Bouddhisme, le Taoïsme. Le Falun Gong partage certaines terminologies avec ces religions mais il s’est développé indépendamment d’elles.
Le Falun Gong est pratiqué par des millions de gens dans plus de 50 pays. Une étude du gouvernement Chinois a estimé à plus de 70 millions le nombre de gens qui pratiquaient le Falun Gong au début des années 99, un chiffre plus élevé que le nombre de membres du Parti Communiste. Le Falun Gong n’était pas un mouvement marginal en Chine à ce moment là, pas plus qu’il n’est un mouvement marginal -- i.e., secte – à présent dans l’arène internationale.
Les connotations du mot « secte » servent souvent à mettre une distance psychologique entre le lecteur et un groupe ainsi désigné. Le mot marginalise ou trivialise le groupe. Si une secte n’est pas directement étrange ou bizarre, elle est du moins en marge de la société, pas vraiment respectable ou pouvant être prise au sérieux.
Lorsque qu’on lui a demandé de définir le Falun Gong, Ian Johnson du Wall Street Journal, qui a reçu un prix Pulitzer pour son reportage sur le Falun Gong en Chine a dit, « Je pense qu’une secte est habituellement considérée comme un groupe dissident d’une religion existante. Mais le Falun Gong n’est pas ça. »
Le Falun Gong n’est en fait pas une branche ni une subdivision d’une religion. C’est une pratique qui a été enseignée en privé pendant des milliers d’années avant d’être rendue publique en 1992. Elle est issue de la culture traditionnelle chinoise, mais elle est distincte et séparée des religions chinoises, telles que le Bouddhisme, le Taoïsme. Le Falun Gong partage certaines terminologies avec ces religions mais il s’est développé indépendamment d’elles.
Le Falun Gong est pratiqué par des millions de gens dans plus de 50 pays. Une étude du gouvernement Chinois a estimé à plus de 70 millions le nombre de gens qui pratiquaient le Falun Gong au début des années 99, un chiffre plus élevé que le nombre de membres du Parti Communiste. Le Falun Gong n’était pas un mouvement marginal en Chine à ce moment là, pas plus qu’il n’est un mouvement marginal -- i.e., secte – à présent dans l’arène internationale.
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