Les fonctionnaires de la police et de la fonction publique qui pratiquent le Falun Gong sont systématiquement persécutés dans la province du Guandong.

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Depuis que Jiang Zemin a lancé la persécution du Falun Gong le 20 juillet 1999, les fonctionnaires de la Police et des systèmes politiques et judiciaires du Parti communiste chinois (PCC) dans la province du Guandong ont exécuté cette politique pendant ces sept dernières années.

Pour des questions de gain personnel et au mépris de leur conscience, ils continuent à commettre nombre de mauvaises actions qui vont contre les lois du Ciel.

La Coalition pour Enquêter sur la persécution du Falun Gong en Chine (CIPFG) révéleront les crimes du PCC au monde. Ceux qui ont commis des crimes contre le Falun Gong n’échapperont pas à leur châtiment. Nous clarifierons les faits de la persécution et aideront les bonnes personnes à voir à travers la nature malfaisante du PCC et à ne plus être trompé par sa propagande.

Mme Huiping, 45 ans, était un membre de la division N°9 du Bureau de la Sécurité publique de Guandong. Elle avait souffert d’un problème cardiaque et d’emphysème pulmonaire. Cependant, après qu’elle ait commencé la pratique du Falun Gong au début de l’année 1996, ses maladies avaient disparues et elle avait retrouvé la santé, tant physique que mentale. Son environnement familial était devenu beaucoup plus harmonieux.

En août 1999, sous la persécution brutale du PCC, le commissaire politique du Bureau de la Sécurité d’Etat au sein du Bureau de la Sécurité publique de Guandong, le Chef adjoint Guo Tieyin, et le Directeur du Bureau de la Sécurité publique de Guandong Sheng Jianfen se sont mis de connivence pour persécuter les pratiquants en les forçant à assister à des classes de lavage de cerveau. Les pratiquants Mme Li Huiping, M. Li Fangsong, Wu Chongbiao, Luo Hailing, et Wang Quanhong ont tous été soumis au lavage de cerveau. Après 20 jours de torture mentale et physiques, Mme Li Huiping est morte soudainement au milieu du mois de septembre. Elle était la première pratiquante à être persécutée à mort dans la Province du Guandong. Il a été dit que Guo Tieying a été agent secret et qu’il est le responsable de la mort de Mme Li.

M. Li Fangsong, la soixantaine, était le mari de Mme Li Huiping. Il était directeur de la Division N°9 du Bureau de la Sécurité publique, dans la Province du Guandong. En juin 2006, M. Li s’est rendu Place Tiananmen pour faire appel au nom du Falun Gong et proclamer « Falun Dafa est grand ! » En conséquence, il a été « illégalement détenu. » Après un mois de détention, M. Li a alors été transféré au Camp de travail forcé de Sanshui pour une plus ample persécution. Durant cette période il a été renvoyé de son emploi par le Chef du Bureau de la Sécurité publique provincial, Liang Guoju, et le Chef de la Division N°9 du Bureau de la Sécurité publique, Guo Tieying. Il a perdu tous ses bénéfices. En juillet 2001, sous une énorme pression, le père de 90 ans de M. Li a sauvé du balcon du deuxième étage se blessant gravement. Il est mort de chagrin peu après. Pour avoir voulu être une personne vraie, compatissante et tolérante, M. Li a perdu tous les membres de sa famille et est encore persécuté par le PCC.

Mme Xie Kunxiang, 54 ans, était femme policier au Commissariat de Police de la rue Xingang dans le district de Haizhu, province du Guandong. Vers la fin 2000, elle est allée à Pékin faire appel pour le Falun Gong et été licenciée en conséquence. Elle a aussi été forcée à quitter son foyer et son époux, qui était encouragé par un agent du Bureau 610 du district de Haizhu, Wen Chunlan. Bien que Mme Li menât une vie difficile, elle n’en persistait pas moins à pratiquer le Falun Gong.

Le 3 août 2004, Mme Xie a été dénoncée aux autorités alors qu’elle distribuait des matériaux de clarification des faits et emmenée au Centre de détention du district de Haizhu. Le 12 avril 2005, elle a été condamnée à trois ans et demi par la Cour de district de Haizhu. Les fonctionnaires responsables étaient He Wencong et Wen Chunlan. Début 2006, elle a été emprisonnée à la Prison pour femmes du Guangzhou. Le garde de la prison a truqué un enregistrement à l’hôpital disant que Mme Xie souffrait de désordres mentaux et justifiant l’injection de différentes drogues inconnues. Ils lui ont aussi fait des prélèvements de sang contre sa volonté à plusieurs reprises.

En juin 2006, elle a été détenue au Camp de travail force de Chatou et soumise à des traitements cruels incluant de sérieux passages à tabac, être forcée à se tenir sous un soleil brûlant pendant une longue période de temps, être suspendue les mains menottées derrière le dos, la persécution mentale, la privation de sommeil, et être alimentée de force avec une mixture d’eau et de poivre rouge. En conséquence, elle s’est émaciée au point de ne plus avoir que la peau sur les os.

Mme Li Lan, la quarantaine, était femme policière dans la Compagnie Guangzhen, Commissariat de police de l’agglomération de Guangzhou. Après qu’elle ait commencé la pratique, elle avait reçu de nombreuses félicitations pour son bon travail. Après le 20 juillet 1999, Mme Li a été licenciée par le Commissariat de Dongzhen et torturée dans un centre de lavage de cerveau parce qu’elle persistait dans sa pratique. Au début de 2005, elle a été dénoncée alors qu’elle clarifiait les faits à quelqu’un de son lieu de travail initial. Son mari, directeur adjoint du Commissariat de Police de Dongzhan a été impliqué. Il a du quitter son poste et divorcer

M.Li Yujiu, la soixantaine était directeur de la Section Incendie de la Branche de Sécurité publique de Tianhe, dans l’agglomération de Guangzhou. Après avoir pratiqué le Falun Gong, il travaillait honnêtement et diligemment, et sa performance au travail était remarquable. Il avait aussi a reçu de nombreuses récompenses. En juillet 2000, il a été forcé à quitter son emploi. Sans plus aucune source de revenus, il devait compter sur le soutien de ses proches. Après novembre 2004, le Gouvernement du district de Tianhe n’a envoyé que 20.000 yuans chaque année comme dépenses vitales sans aide sociale ni aide médicale ou assurance. Le PCC a refusé à M. Li la substantielle pension de retraite d’un fonctionnaire du gouvernement. Li Xueguang, le directeur adjoint de la Section Entrée/Sortie de la Branche du Bureau de la Sécurité publique de Tianhe, a persécuté M. Li afin d’obtenir une promotion. Il est mort tout à coup d’une maladie en 2001.

Mme Li Shan, la trentaine passée, était Secrétaire de la Ligue de la Jeunesse du Bureau de la Sécurité publique provincial de Guangan Dasha. Après le 20 juillet 1999, elle a persisté dans la pratique du Falun Gong et est allée faire appel à Pékin. Elle a alors été illégalement arrêtée, ramenée dans l’agglomération de Guangzhou et forcée à quitter son emploi par le Bureau de la Sécurité publique provincial.

Mme Zhao Ying, trente ans passés, était membre du Bureau de la Sécurité publique provincial. Elle alla faire appel pour le Falun Gong le 20 juillet 1999 et fut ramenée à Guangzhou City. Le Bureau provincial de la Sécurité publique la força à quitter son emploi et lui confisqua illégalement sa maison. Le père de Mme Zhao avait plus de 60 ans. Il était retraité en tant que directeur d’un département du Bureau de la Sécurité publique provincial. Il persistait aussi à pratiquer après que le PCC ait commencé à persécuter le Falun Gong. Il a été persécuté après avoir crié « Falun Gong est grand » sur la Place Tiananmen.

Mme Li Meiping, la quarantaine, était juge et juge présidente adjointe de la Cour de district de Meijiang de Meizhou City. Elle alla faire appel pour le Falun Gong après le 20 juillet 1999, et fut détenue deux fois. Le 31 décembre 1999, elle fut arrêtée et envoyée au Centre de détention de Qinghuang dans Meizhou City parce qu’elle avait réuni des pratiquants de Meizhou pour constituer un groupe de pratique. En 2000, elle fut envoyé au Camp de travail forcé de Sanshui pour trois ans de travail forcé. Le 14 novembre 2004 ; elle fut arrêtée de nouveau. En 2005, la Procuratorate du district de Meijiang et la Cour de l’agglomération de Mezhou, dans Province du Guandong, la condamnèrent à cinq ans de prison et la détinrent dans la Prison pour femmes de Guangzhou. Elle a souffert de cruelles tortures telles que la privations de sommeil, être suspendue, et de sévères passages à tabac qui ont eu pour conséquence l’affaissement d’un disque et la prolifération d’une vertèbre cervicale.

M. Xie Chuynfeng, la vingtaine, était un juge de la Cour intermédiaire de Shantou. Après qu’il soit alléfaire appel à Pékin le 20 juillet 1999, il fut arrêté et envoyé à l’Hôpital psychiatrique de Shantou pour y être persécuté. On lui injecta d’importants dosages de drogues psychotropes, nocives pour le système nerveux central, mettant sa vie en danger. C’est seulement lorsque sa famille découvrit sa situation et protesta que les criminelles cessèrent le « traitement médical ». Il fut alors transféré au Camp de travail forcé de Sanshui dans l’agglomération de Guandong pour deux ans de travail forcé. Du 25 mars au 13 septembre 2003, M. Xie fut sévèrement persécuté pour la deuxième fois dans le camp de travail. Il ne fut pas autorisé à dormir, s’asseoir, se brosser les dents, se laver le visage, ou prendre un bain pendant une longue période de temps. Il fut aussi forcé à s’accroupir pendant des heures interminables ce qui fit enfler ses pieds au point qu’il devint incapable de marcher. Lorsqu’il fut enfermé dans une cellule solitaire, les gardes lui administrèrent des décharges de bâtons électriques à quinze mille volts pendant deux heures deux fois par jour. Les fonctionnaires du camp de travail demandaient à huit détenus de s’occuper d’un seul pratiquant. Cela causa de grands préjudices au corps et à l’esprit de M. Xie

Mme Hao Biyun, la trentaine, était parente d'un fonctionnaire de la Sécurité publique. Plusieurs fois, elle fut emmenée à des sessions de lavage de cerveau dans le Bureau de la Sécurité publique du district de Haizhu, dans la province du Guandong. Son mari un fonctionnaire de la sécurité publique, fut contraint au divorce et Mme Hao n'eut d'autre choix que de chercher protection auprès de l' Organisation internationle pour les réfugiés outremer.

Il y avait deux autres officiers de police, l'un d'une station de police à Zhuhai et l'autre d'un centre de détention à Chaozhou. Ils furent aussi détenus au Camp de travaux forcés de Sanshui, dans la Province du Guandong.

Nous conseillons à ceux qui persécutent encore les pratiquants : "Retrouvez la raison et n'ignorez pas vos consciences sous prétexte que vous "éxécutez les ordres d'un supérieur."'


Date de l'article original : 23/10/2006

Version Chinoise disponible sur :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/10/1/139044.html

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