L'enquêteur canadien témoigne à propos des atrocités de prélèvements d'organes à la Commission des droits de l'homme de l'ONU (photo)

Dans la session du Conseil des droits de l’homme aux Nations Unies du 21 septembre au matin, David Kilgour a fait une intervention au nom d’Interfaith international à propos des prélèvements d’organes de pratiquants de Falun Gong en Chine, après que le Rapporteur spécial sur la torture et autre traitement ou châtiment cruel, inhumain ou dégradant, ait présenté son rapport. Il a souligné que la persécution par la torture du Parti communiste chinois contre les pratiquants de Falun Gong est extrêmement cruelle.

Kilgour s’adresse au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU

Il a dit : « Me David Matas, avocat des droits de l'homme et moi-même avons publié un rapport en juillet qui aboutissait à la conclusion qu’à notre grand regret et horreur, les déclarations sont bien vraies. Nous avons examiné chaque élément de preuve et de réfutation dont nous disposions, dix-huit en tout.

Puis donnant un exemple : « Les pratiquants de Falun Gong dans les prisons chinoises sont systématiquement soumis à des prises de sang et des examens médicaux. Puisqu'ils sont également torturés et férocement maltraités, ces examens ne peuvent pas être motivés par un souci pour leur santé ».

« Les temps d'attente pour les greffes d'organes en Chine sont incroyablement courts, une affaire de jours ou de semaines. Partout ailleurs dans le monde, les temps d’attente se comptent en mois et parfois en années, indiquant l’existence d’une vaste banque d’organes vivants en Chine » a précisé David Kilgour.

Le rapport de cette équipe d’enquête canadienne indépendante a eu un grand impact sur la communauté internationale, les organismes des droits de l’homme, le parlement européen et certains gouvernements sont favorables à des enquêtes sur les atrocités alléguées.

Version Chinoise :
http://www.minghui.org/mh/articles/2006/9/23/138506.html

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