Le Parti communiste chinois et le régime de Jiang Zemin ont persécuté le Falun Gong pendant sept années, depuis le 20 juillet 1999. Pendant cette période, leurs politiques « de ruiner leur réputation [des pratiquants], les épuiser financièrement et les détruire physiquement, » « les battre à mort n'est rien et sera compté comme suicide, » et « ne pas identifier le corps [d'un pratiquant qui est torturé à mort] et l'incinérer immédiatement » a fait qu' un nombre énorme de pratiquants de Falun Gong qui persistaient dans leur croyance ont perdu leur travail, on été privés d'éducation, forcés à l’exil et ont vu leurs familles déchirée.
Le PCC et le régime de Jiang ont eu recours aux méthodes les plus mauvaises et les plus barbares dans l'histoire de l'humanité pour maltraiter des pratiquants de Falun Gong, physiquement et mentalement. Ils emploient plus de 40 méthodes de torture différentes comprenant la privation de sommeil pendant longtemps; des décharges électriques dans la bouche, au thorax, sous les aisselles, aux seins, et sur les parties intimes avec les multiples matraques électriques sous haute tension ; la détention dans les sous-sol ; le cachot d'eau; menotter derrière le dos ; accrocher par les poignets les mains ayant été attachées derrière le dos ; le banc du tigre ; le lit d’étirement ; les assauts sexuels ; fouetter avec des ceintures en cuir et des fils de cuivre ; les coups de barres en acier, les tiges pointues et bâtons de bambou plantés sous les ongles ; le gavage avec l'eau au poivre de cayenne et avec de l'eau à très forte concentration de sel et avec des excréments humains au moyen de tubes industriels en plastique; et les injections et les ingestions forcées de drogues néfastes pour le système nerveux.
Au cours des sept dernières années, les incidents de pratiquants de Falun Gong étant handicapés et tués par la torture se sont produits fréquemment en Chine. En dépit d'un blocus strict de l'information par le PCC, les décès par torture de 2 932 pratiquants de Falun Gong ont encore été confirmés par les voies civiles. Parmi ces victimes, 54.57% sont des femmes, 56.96% ont plus de 50 années, et une moyenne de 34 pratiquants sont morts chaque mois.
Les cas se sont produits dans toutes les 31 provinces, villes et régions autonomes. Parmi elles, 393 pratiquants vivaient dans la province du Hebei, 359 dans la province du Heilongjiang, 353 dans la province du Liaoning, 346 dans la province du Jilin, 292 dans la province du Shandong, 175 dans la province du Sichuan, 144 dans la province du Hubei, 105 dans la province du Henan, 92 dans la province du Hunan, 80 dans Pékin, 69 dans la ville de Chongqing, 67 dans la province du Guangdong, 53 dans la région autonome de Neimenggu, 48 dans la province du Gansu, 41 dans la ville de Tianjin, 41 dans la province du Jiangxi, 39 dans la province du Anhui, 39 dans la province du Guizhou, 24 dans la province du Jiangsu, 22 dans la province du Shanxi, 21 dans la région autonome de Xinjiang, 15 à Shanghaï, 14 dans la province du Fujian, 14 dans la province du Yunnan, 12 dans la région autonome de Guangxi, 9 dans la province du Zhejiang, 5 dans la province du Qinghai, 4 dans la province du Hainan, 3 dans la région autonome de Ningxia, 1 au Tibet. Le secteur de résidence pour les 20 autres pratiquants doit encore être vérifié.
La violence contre les pratiquantes de Falun Gong est au-delà de toute description. Selon le «Rapport des droits de l’homme du Falun Gong par la Coalition pour enquêter sur la persécution du Falun Gong (WOIPFG) », peu de pratiquantes ont été épargnées de l'humiliation d'être dénudés, et parfois ce traitement durait longtemps. Elles n'ont pas été autorisées à employer de serviettes sanitaires pendant leur période menstruelle, elles ont été sexuellement assaillies, violées ou menacées dans une violence sexuelle, et leur poitrine et leurs parties intimes ont été particulièrement ciblés pour les battements et les coups de pied. La police et les gardes ont non seulement ordonné aux détenus de persécuter les pratiquantes, ils ont également violé ou ont violé en groupe les pratiquantes, électrocuté leur vagin avec les matraques électriques, planté dans leur vagin des brosses de toilette dure, les ont déshabillées toute nue, et les ont jetées dans des cellules de détenus mâles. Une pratiquante qui vient à peine de s’échapper d'un camp de travail a dit : « L'ampleur du mal là-bas est au-delà de l'imagination. »
Le PCC emploie largement des drogues néfastes pour les nerfs dans le but de maltraiter des pratiquants de Falun Gong. La « Coalition pour enquêter sur la persécution du Falun Gong » et « la Surveillance de la Santé Mentale de la Chine » ont conjointement publié un rapport d’enquête en mai 2004 qui précise la persécution du PCC à l’égard des pratiquants de Falun Gong normaux et en bonne santé, ayant reçus des traitements psychiatriques. Le rapport indique que les hôpitaux psychiatriques dans au moins 100 provinces, villes, comtés et districts en Chine ont participé à cette persécution, qui a directement eu comme conséquence l’effondrement mental, l'incapacité, ou la mort mentale de plusieurs milliers de pratiquants. Pendant le génocide de sept ans contre le Falun Gong, le prélèvement par le PCC, des organes sur des pratiquants vivants, représente « une forme monstrueuse du mal qui […] est nouvelle sur cette planète. » Pourtant ce mal avait eu lieu uniformément dans l'ensemble de la Chine dans le passé, il y a plusieurs années.
Le site Web de Minghui/Clearwisdom a édité des rapports sur le vol d’organes des pratiquants du Falun Gong par le PCC, le 22 décembre 2000. Trois témoins sont sortis en mars 2006 et ont déclaré que le prélèvement des organes des pratiquants de Falun Gong en vie, a lieu dans les camps de concentration du PCC, les prisons, les camps de travail, les hôpitaux, et d'autres endroits, et leurs corps sont incinérés par après.
Le 6 juillet 2006, David Kilgour, l'ancien secrétaire d'État canadien responsable des affaires pacifiques de l'Asie et membre du Parlement canadien, avec David Matas, un avocat international des droits de l'homme, ont publié les résultats de leur recherche indépendante, «Rapport sur des allégations de prélèvement d'organes des pratiquants de Falun Gong en Chine» qui conclut que les allégations à l’effet que le PCC prélève les organes des pratiquants de Falun Gong en vie, sont vraies, et ils l'ont également appelé « une forme monstrueuse du mal… nouvelle sur cette planète. »
Prenant en compte ce crime nouvellement révélé, le nombre réel de pratiquants de Falun Gong tués par le régime communiste dépasse de loin 2 932.
Les décès par torture d'encore 16 autres pratiquants de Falun Gong ont été vérifiés en juillet 2006. Parmi eux, sept étaient des femmes ; huit avaient plus de 50 années ; douze sont morts entre janvier et juillet 2006, et six sont morts en juillet 2006. Les victimes vivaient dans six provinces et villes. Deux pratiquants vivaient dans la province du Liaoning, deux dans la province du Sichuan, deux dans la région autonome de Neimenggu, deux dans Pékin et deux dans la ville de Chongqing. Un pratiquant vivait dans la province du Heilongjiang, un dans la province du Hubei, un dans la province du Shandong, un dans la province du Guangdong, un dans la province du Hunan, et un dans la ville de Tianjin.
Selon des statistiques publiées sur le site Web de Minghui, au moins 92 décès par torture de pratiquants de Falun Gong en Chine continentale ont été vérifiés entre janvier et juillet 2006.
Mme Gao Huifang de la province du Sichuan, a été arrêtée le 29 juin 2006, et assassinée le même jour
Mme Gao Huifang, 48 ans, vivait dans le comté de Longchang, ville de Neijiang, province du Sichuan. Elle a été aperçue le matin du 29 juin 2006, quand elle clarifiait la vérité près de la station de train de la ville de Lishi, dans le comté de Longchang. La police du Département de police du comté de Longchang l'a arrêtée. Elle a été tuée le même jour un peu plus tard. Actuellement, M. Yu Ziming, un pratiquant et le seul qui sait la vérité au sujet de la mort de Mme Gao, est détenue sous surveillance policière et pourrait être tué à tout moment. Les fonctionnaires du Département de police du comté de Longchang ont déclaré qu'il est impossible pour eux de laisser M. Yu vivant.
Les agents de police du comté de Longchang ont déclaré que Mme Gao Huifang avait sauté d'un bâtiment et était morte. Quand sa famille a remis en cause la raison de sa mort, le policier en service n’a pas osé rencontrer la famille. Quand plus tard, il a rencontré la famille, il suait profusément avec inquiétude. Quand la famille a demandé une autopsie, le rapport a indiqué que tout semblait normal, sauf que ses os de la hanche avaient été fracturés. Si elle était tombée d'un bâtiment et était morte, il devrait y avoir des preuves de trauma, de contusions, et de saignement interne, et non pas, simplement des fractures à la hanche.
Le jour de l'incinération de Mme Gao, le Département de police du comté de Longchang a expédié plus de 20 véhicules pour patrouiller les parcs. La loi martiale a été imposée au crématoire pour la journée entière. Les ouvriers du crématoire ont dit qu'ils n'avaient jamais vu auparavant, quelque chose comme ça.
Après que la persécution du Falun Gong ait commencé, Mme Gao Huifang a été envoyée à un hôpital psychiatrique trois fois et a été infusée avec des drogues néfastes pour les nerfs. Sa tête et son visage ont enflé et elle était défigurée. Sa famille ne pouvait pas l’identifier malgré qu’ils étaient tout près. Mme Gao a été par la suite envoyée au camp de travail forcé de Nanmusi dans Zizhong, province du Sichuan. Après sa libération, elle a vécu en exil pendant plusieurs mois.
M. Sun Peichen, le professeur du collège, dans la province du Heilongjiang, a été libéré alors qu’il était sur le seuil de la mort ; il est décédé 20 jours plus tard.
M. Sun Peichen, 47 ans, était un professeur au collège de Yinglan, comté de Yilan, province du Heilongjiang. Il a refusé d'abandonner Falun Dafa, ainsi le régime communiste l'a persécuté à plusieurs reprises. Il a été torturé jusqu’à l’article de la mort au camp de travail forcé de Changlinzi, et envoyé chez lui, à la maison le 7 juin 2006, et il est mort 26 jours plus tard, le 3 juillet 2006. Ce qui suit, sont les détails de son histoire.
M. Sun avait été précédemment tenu sous détention administrative pendant 15 jours parce qu'il refusait d'abandonner sa croyance. Il a été détenu encore le 16 janvier 2000, pendant 100 jours.
La police a arrêté M. Sun le 21 mai 2001, à son travail. Il a été détenu au camp de travail forcé de Changlinzi pendant une année. Les conditions étaient très mauvaises. Son corps entier a était recouvert de la gale à cause de l'environnement humide et il ne pouvait pas se tenir debout, ni prendre soin de lui-même. Il a fait une grève de faim pour protester contre la persécution et a été cruellement gavé. Il a été sauvagement torturé plusieurs fois.
M. Sun a été arrêté encore le 26 mai 2004. Jia Lin, Qiao Lijun, et d'autres du commissariat de police de la ville de Dalianhe ont participé à son arrestation. Il a été porté du village de Hongxing à Dalianhe et puis envoyé au centre de détention de Yilan. Qiao Lijun l'a battu souvent sur le chemin pour le centre de détention. Tandis que M. Sun était détenu là, Qiao Lijun sentait la boisson alcoolisée quand il s’est précipité dans la cellule de la prison à trois reprises et a battu M. Sun, lui causant des saignements de nez et de la bouche. Il a subi de sérieux dommages au thorax, à l’abdomen et à la tête et il a perdu conscience plusieurs fois. Il était extrêmement faible pour n’avoir pas mangé ni bu pendant 18 jours mais il a été quand même, envoyé au camp de travaux forcés de Changlinzi pour une sentence de trois ans. Il a été brutalement battu à ce camp plusieurs fois par Ji, le chef de la division et le détenu Dong Hebin.
Une des méthodes qu'ils utilisaient pour torturer les pratiquants, incluait la « poussée » et la «séparation. » La « poussée » c’est quand quelqu'un s’assoit sur le dos du pratiquant et lui tire les bras vers le haut derrière son dos aussi loin qu’ils peuvent aller, ce qui brise les articulations. La « séparation » consiste à tirer les jambes dans des directions opposées aussi loin qu’elles peuvent aller.
Le matin de Pâques 2005, M. Sun Peichen, Li Qingrong, Zhang Fengtian et Xu Guoxiang, pratiquants, ont crié fort dans la salle à dîner : « Falun Dafa est bon ! » Zhao Shuang et d'autres gardes ont enlevé de force tous les vêtements de M. Sun. Zhao Shuang a enveloppé sa main dans un sac en plastique, a saisi les testicules de M. Sun et il les a écrasées. Il a alors écarté les jambes de M. Sun et l'a torturé avec la méthode de la « poussée » et de la « séparation ». Un autre garde l'a électrocuté avec une matraque électrique. Quand les deux sont devenus fatigués, ils ont pris une pause et puis ont électrocuté à nouveau, les testicules de M. Sun et d'autres parties sensibles du corps avec les matraques électriques. Après cela, Zhao Shuang a continué d’appliquer la torture de la « poussée » et de la « séparation » à M. Sun jusqu’à ce qu’il (Zhao) soit épuisé. Les gardes ont alors forcé M. Sun, nu, à se critiquer lui-même dans l'atelier où d'autres pratiquants travaillaient. M. Song Guohua, pratiquant, ne pouvait pas rester à observer l'abus plus longtemps. Il s'est levé et essayé d'arrêter cela mais il a été immédiatement traîné plus loin. Il a été également dénudé et électrocuté à plusieurs reprises avec les matraques électriques. Après avoir été torturé avec la « poussée » et la « séparation, » une de ses jambes a été sévèrement blessée.
Le 12 avril 2005, le garde Zhao Shuang et d'autres, ont encore torturé Sun Peichen. Ils l'ont dénudé, l'ont électrocuté sans interruption avec les matraques électriques, l’ont maintenu au sol, et lui ont violemment enfoncé leurs coudes dans son thorax et son dos. Ils ont également donné un coup de pied à son thorax et son dos à coup de talons de bottes. Ils l'ont torturé avec la «poussée » et la « séparation » et l'ont aussi pincé et l'ont forcé à s'accroupir. Ils ont encore écrasé ses testicules. Le garde Zhao Shuang a également enveloppé le pénis de M. Sun dans un sac. Zhao Shuang l'a saisi et a tiré le corps entier de Sun Peichen vers le haut par son pénis.
Les gardes du camp de travaux forcés de Changlinzi ont aussi forcé M.Sun et d'autres pratiquants à faire le travail de forçat. Les pratiquants ont été autorisés à seulement deux ou trois heures de sommeil par nuit. Les gardes utilisaient fréquemment « la gestion de la résistance » comme excuse pour battre étourdiment et assaillir verbalement les pratiquants, pour les électrocuter avec les matraques électriques, ou pour les forcer à s'asseoir sur des chaises en métal. Zhao Shuang dit : « C’est bien, à condition que nous ne les tuions pas. Même si nous les tuons, nous devons juste compléter un formulaire et déclarer que c’était « une mort normale. » En outre, le camp de travail a un quota de décès.
« La persécution brutale a laissé M. Sun avec une bouche avec toutes ses dents branlantes, des douleurs terribles au thorax et de la difficulté à respirer. Il était terriblement mince. Il était devenu grabataire et à peine capable de respirer. Le camp de travail l’a envoyé à la hâte à la maison le 7 juin 2006. M. Sun Peichen est mort 26 jours plus tard, le 3 juillet 2006.
M. Liu Wenzhong de Neimenggu s’est fait extorquer de l'argent et a été torturé à mort
M. Liu Wenzhong était âgé de 52 ans et possédait un grand magasin dans le district de Songshan, de la ville de Chifeng, Neimenggu. M. Liu a commencé à pratiquer le Falun Gong en juin 1999. Il avait souffert d'hépatite, de cystite, et de pierres aux reins. L'hôpital n'a pas pu le traiter. Toutes ses maladies ont disparu sans aucune intervention médicale, trois jours après qu'il ait commencé à pratiquer le Falun Gong.
Après que la persécution ait commencé en juillet 1999, Liu Wenzhong a persisté en étudiant la Loi, en faisant les exercices et « en clarifiant la vérité. » Jia Aichen, chef du Bureau 610 du district de Songshan et des officiers du Département de police du District de Songshan et de la Division de la Sécurité Nationale, lui ont extorqué son argent et l’ont détenu illégalement plusieurs foisdétenu illégalement plusieurs fois.
Les officiers de la Division de la Sécurité Nationale du district de Songshan et du commissariat de police local, ont cassé la porte et les fenêtres du magasin de M. Liu et ont arrêté M. Liu, son épouse, et deux de ses employés. Ils les ont conduits au commissariat de police no 1 de Songshan et les ont interrogés et les ont torturé pendant toute une nuit. Ils ont alors détenu ces quatre personnes, dans des cellules isolées pendant une journée entière. La nuit suivante, ils ont été envoyés au centre de détention de Road Yuanlin. L'épouse de Liu Wenzhong a été libérée le jour après que la police lui ait extorqué plusieurs milliers de yuans.
Le grand magasin de M. Liu, évalué à plus d'un million de yuans, a été forcé de fermer, ce qui a causé une grande perte économique (estimée à 800.000 yuans). Ceci a également affecté plusieurs personnes locales. Plus de 20 employés qui travaillaient au magasin, ont perdu leur emploi.
Liu Wenzhong a été condamné à trois ans de travaux forcés et a été envoyé au camp de travaux forcés de Wuyuan, dans Gubameng, Neimenggu. Pendant sa détention, la police lui a extorqué plus de 40.000 yuans. Il a été également forcé de faire du travail intensif. Puisqu'il a refusé de "se réformer", il a été battu et soumis aux tortures, y compris la position debout forcée et l'emprisonnement dans une cellule isolée. Pour cette raison, il a été mentalement traumatisé et physiquement tourmenté.
M. Liu a été libéré du camp de travail le 26 octobre 2004. Avant même qu'il soit revenu à la maison, cependant, il a été arrêté encore par des agents du Bureau 610 de la ville de Chifeng et envoyé à un centre de lavage de cerveau. Après qu'il ait été libéré, la police l'a surveillé et l’a harcelé. Il est décédé le 9 juillet 2006.
Un appel à la conscience, un appel pour une fin à la persécution
Sept années ont passé. Les pratiquants de Falun Gong étaient et sont toujours cruellement persécutés par le régime communiste simplement pour être de bonnes personnes et vivre selon les principes de la Vérité-Compassion-Tolérance. La persécution elle-même pose un défi à la nature et la conscience humaines, et c'est une insulte à la moralité. C'est une tragédie énorme pour les Chinois aussi bien que pour l’ensemble de l'humanité.
Pendant la deuxième guerre mondiale, les nazis allemands ont massacré les juifs et utilisé leurs corps en tant que matières premières pour faire divers produits dans des camps de concentration. Après que les camps de concentration allemands aient été révélés, le silence et l'hésitation de la communauté internationale ont permis aux crimes de continuer pendant encore deux à trois années, et pendant ce temps encore 2.5 millions de juifs ont été tués. Après la deuxième guerre mondiale, la communauté internationale a fait le serment : « Plus jamais. »
Soixante ans après, le régime communiste a dépassé les nazis en termes de brutalité dans sa persécution contre des pratiquants de Falun Gong. Qu’est-ce qui a rendu possible que les crimes du régime communiste existent ? C’est digne de réflexion et de considération de la part de chacun de nous qui vivons dans cette ère historique spéciale.
Pendant la plus cruelle et la plus mauvaise persécution de ces sept dernières années, les pratiquants de Falun Gong ont constamment clarifié la vérité au monde avec grandes compassion et tolérance. Ils ont révélé le mal et ont fait appel à la conscience. Ils veulent dire aux gens: pendant cette période historique importante de la bataille entre la droiture et le mal, chacun de nous peut éviter le danger et écrire un futur lumineux en soutenant la Vérité-Compassion-Tolérance, en soutenant la cause des personnes innocentes, et en confirmant la justice. Ensemble arrêtons cette « monstrueuse forme du mal… nouvelle sur cette planète » avec des actes de courage, de justice, et de conscience.
Traduit de l’anglais au Canada le 29 août 2006.
Version anglaise disponible à : http://clearwisdom.net/emh/articles/2006/8/29/77434.html
Version chinoise disponible à : http://www.minghui.org/mh/articles/2006/8/5/134823.html
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