Angleterre: Expérience du karma de maladie et échec a réagir à son incitation

Partagé lors de la conférence de partage d’expériences 2006 de Falun Dafa en Angleterre lors de la conférence de partage d’expériences 2006 de Falun Dafa en Angleterre ar Francis Thurlow, pratiquant de Falun Gong vivant en Angleterre
 
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Ayant joui d’une santé exceptionnellement bonne pendant quatre vingt dix ans, j’ai développé une attitude laxiste et irresponsable envers mon propre physique.

Enfant, j’ai eu une grippe sérieuse en 1918 ( qui a tué quelques deux millions de personnes dans ce pays, - plus que la mortalité de la guerre de 14-18) ;et soixante dix ans plus tard, j’ai survécu à une pneumonie, qui en l’absence d’installations médicales sur place, n’a pas été diagnostiquée ou traitée par antibiotique. Mais autrement, je me suis toujours trouvé en parfaite santé.

Lorsque j’ai connu Falun Gong en 1999, je n’ai pas prêté d’attention particulière à nos obligations concernant la maladie, non en terme de santé, mais d'incitation à chercher en nous, les failles et les attachements non perçus. Durant ma pratique, j’ai fait l'erreur de considérer notre obligation à endurer comme signifiant l'acceptation purement passive, sans prendre aucun compte des exigences parallèles d'éliminer les interférences démoniaques par des pensées droites, et de rechercher en soi.

Deux ans plus tard, un furoncle s’est développé sur ma poitrine, auquel ne n’ai prêté aucune attention, et il s’est développé jusqu’à devenir une gène considérable. Je l’ai passivement enduré. En l’absence de contre action de pensées droites et de recherche en moi-même, la condition a persisté et s’est détériorée. Cela prenait un long moment à nettoyer l’éruption tous les matins et tous les soirs et à la maintenir couverte. Mais je ne ressentais aucune douleur et, comme je vivais seul, cela n’a attiré l’attention de personne d’autre. En novembre dernier, me baignant dans la mer, un ami, qui avait quelques connaissances médicales, le vit et, sans me le dire, peut être parce qu’il connaissait mon point de vue sur l’endurance, décrivit les symptômes à un médecin qui l’interpréta comme une tumeur cancéreuse, exigeant un prélèvement le plus tôt possible. De nouveau, sans me le faire savoir, le médecin programma une opération rapidement avec un chirurgien. Lorsqu’en ai été finalement informé, j’ai acquiescé volontiers à ce que supposais encore être simplement le prélèvement d’une nuisance, qu' intentionnellement ou non, on ne m’avait pas mentionné comme étant un cancer.

N’étant presque jamais entré dans un hôpital, je fus agréablement surpris des équipements du Royal Free Hospital et profitais de toute l’expérience comme d’agréables vacances. L’opération enleva pas mal de tissus mais je n’éprouvais aucun inconfort et après dix jours à hôpital avec la visite de nombreux pratiquants, je retournais chez moi, heureux d’être débarrassé du problème. Quelques semaines plus tard, j’ai appris que si l’opération avait été déplacée deux semaines plus tard, cela aurait été inopérable.

Depuis lors, j’ai grâce à l’aide de pratiquants expérimentés, étudié les enseignements du Maître sur le karma de maladie. Comme mon esprit a évolué pendant des années dans les profonds sillons creusés par la science occidentale techniquement brillante mais relativement superficielle, il n’a pas été aisé de replacer un tel conditionnement avec la vision des énergies dans les dimensions inter agissantes et de comprendre que la maladie est un test pour regarder en soi. Notre culture matérialiste nous encourage à dévaluer la condition humaine jusqu’à un grain de poussière insignifiant dans un univers sans esprit. Au contraire en tant que pratiquants, nous savons grâce à Maître que l’humanité de cette planète est le point central de la bataille cosmique de la lumière contre l'obscurité, dans laquelle nous sommes engagés en tant que guerriers.

Les démons infatigables savent que nous sommes les plus vulnérables: ils me murmurent que les personnes âgées sont épuisées et dans tout les cas ne peuvent pas faire grand chose. Au contraire, nos énergies sont constamment réapprovisionnées par les exercices. Encore plus important que les activités physiques, nous avons, dans la concentration des pensées droites, des moyens pour aider à déterminer directement les évènements aux niveaux où ils sont en fait formés. Lorsque le soi est extrait de l’image et que nos esprits sont alignés sur les caractéristiques de l’univers dans la tranquillité, il devient possible d’avoir une conviction claire que nos pensées ont agi et ont effectué des changements.

Le contact avec les autres pratiquants est une source continue d’aide et par-dessus tout, nous savons que le Fashen (Corps de Loi) du Maître nous guidera si nos esprits sont purs. Tous les handicaps mineurs que j’expérimente maintenant, je ne les vois pas comme des questions essentielles de santé, mais comme des incitations à regarder en soi.

J’ai maintenant un handicap assez récent agissant comme un nouveau rappel. Je me suis, pour une raison ou une autre, déboîté une articulation de la hanche et j’ai le pied droit écarté en permanence, demandant à être tiré, sans aucune possibilité de marcher souplement. Je suis encouragé à regarder en moi par le partage d’une ancienne pratiquante de Hebei, Chine, publié le 21 avril qui a souffert pendant des mois d’intenses maux de têtes et de dos, ainsi que des difficultés à respirer. Elle a intensifié sa recherche intérieure d’attachements enfouis, et finalement, aidée par le groupe d’étude de Zhuan Falun, elle a vu qu’elle n’avait pas abandonné son attachement à la maladie. Continuant son étude et en assumant le travail de clarification des faits en dépit de grandes difficultés à marcher, soudain, le 9 janvier, les symptômes ont tous disparus, et elle a recouvré la santé. Je dois refuser de reconnaître le déboîtement apparent comme un problème de santé, résister à mon inclinaison croissante à avoir le plus de repos possible et augmenter ma participation à nos activités. Dans le même temps, je ne dois pas former un nouvel attachement à me débarrasser de mon handicap. La maladie dans un age avancé est une des formes de réduction du karma de quelqu’un et jusqu’à ce point, peut être bienvenu. J'apprécie beaucoup l’aide qui m’est donnée par les pratiquants, qui me permettent de lire un chapitre de Zhuan Falun avec eux, cinq fois par semaines.

Je suis sûr que Maître m’a donné des années de vies supplémentaires pour me permettre de cultiver. Je n’ai pas le désir de me raccrocher à la vie pour mon propre bien, bien que je continue à l'apprécier, mais je suis grandement reconnaissant au Maître de me donner l’opportunité de compenser le temps perdu dans la longue période, avant que je puisse par la grâce du Maître devenir un pratiquant de Falun Gong.

Traduction anglaise disponible sur : http://en.clearharmony.net/articles/200608/35157.html
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