1ère partie : http://fr.clearharmony.net/articles/200605/26743.html
Le Parti communiste chinois (PCC) a utilisé des intérêts financiers énormes comme appât et entraîné à sa suite l’armée, la police armée, les fonctionnaires de la sécurité publique, les fonctionnaires de la justice, les fonctionnaires du gouvernement, à divers niveaux, les fonctionnaires du gouvernement dans le système de la santé publique, le personnel soignant et les intermédiaires du commerce d’organes à participer à ces meurtres des plus sanglants et brutaux. C’est un crime d’état orchestré dénué de nature humaine.
3. Les emplacements de la persécution dans toute la Chine sont les quartiers généraux de la Banque d’organes vivants du PCC
3.1 L’expérience de Mme. Wang Yuzhi à deux doigts de devenir une donneuse d’organes vivants
Le 3 avril 2006, Wang Yuzhi a témoigné dans un tribunal d’Argentine contre Luo Gan, un des principaux persécuteurs responsables de la persécution du Falun Gong. Elle a fait le récit des tortures qu’elle a souffertes au Camp de travail forcé de Wanjia dans l’agglomération de Harbin. Alors qu’elle était presque aveugle des deux yeux et sur le point de mourir, les agents du
Wang Yuzhi témoigne à la cour |
"Le 25 octobre 2001, j’ai été emmenée à l’hôpital de la police de Harbin pour un examen corporel systémique complet. Quelques jours plus tard j’ai été emmenée à l’Hôpital N°2 dans la province du Heilongjiang pour consulter un expert médical. En examinant ma peau, la femme médecin m’a demandée si j’avais des allergies et si j’avais des démangeaisons fréquentes, parce qu’elle voyait mes cuisses égratignées. J’ai répondu que j’avais des allergies cutanées avant que je ne pratique le Falun Gong, et ne pouvais pas prendre de médicaments. Le résultat de cet examen a été le même que le précédent – il y avait des problèmes avec mon sang, ma cornée, mes reins, mon foie et ma peau étaient tous considérés comme inutiles.
Pourtant, le Bureau 610 de la Province du Heilongjiang a refusé d’abandonner. En mars 2002 j’ai été secrètement transférée à l’Hôpital N°2 de l’agglomération de Harbin. Parce que j’avais fait une grève de la faim, le sang qu’ils m’ont prélevée était d’un pourpre sombre, et je ne pouvais pas uriner. Ils m’ont donnée une IV de dextrose pendant plus d’une heure, mais alors le test médical a détecté du sang dans mon urine. Ils m’ont demandée si j’avais jamais contracté de néphrite. J’ai répondu que j’en avais eu une étant jeune, et que je mouillais souvent mes draps du à ma mauvaise condition rénale. Ils ont contrôlé mes reins puis mon foie. Cinq officiers de police et une infirmière me maintenaient immobile pendant qu’ils me passaient au rayon x de la tête au pied. Le docteur a dit que la machine semblait cassée parce que j’avais des palpitations cardiaques, mon cœur battait une minute pour cesser de battre suivante.
J’ai finalement été envoyée à l’Hôpital N°1 de l’agglomération de Harbin. Onze officiers de la police anti-émeute me surveillaient tout le jour durant. Le médecin a contrôlé mes yeux, ma gorge, ma trachée et mes autres organes, y compris le cerveau. Les agents du Bureau 610 ont été déçus d’apprendre que le résultat était le même que dans les précédents hôpitaux – je n’étais pas " apte ", et aucun de mes organes y compris ma peau n’étaient sains, ce qui en fait résultait de la torture brutale. Le Bureau 610 a finalement renoncé. Depuis le 1er mai, ils ont retiré chaque jour un officier de police et le 8 mai, et ils m'ont finalement laissée seule.
Avec l’aide d’une infirmière, j’ai téléphoné à mes amis et me suis échappée de ce piège mortel.”
3.2 L’expérience faite par Madame Mme Chen Ying d’un examen de santé suspect contre sa volonté au Centre de détention de Pékin
La pratiquante de Falun Gong Chen Ying de Pékin qui vit actuellement à Paris, a révélé en avril 2006, qu’en 2000, les gardes au Centre de détention de Chaoyang, dans la Division d’expédition du travail de Tuanhe et le camp de travail Xinan à Pékin ont fait passer des examens physiques complets aux pratiquants de Falun Gong qui refusaient de révéler leurs noms.
"Fin septembre 2000, j’ai été arrêtée après m’être rendue à la maison d’une amie et j’ai été envoyée au Centre de détention Chaoyang. J’ai refusé de dire mon nom et on m’a attribuée un numéro, les gardes ont mis de lourdes menottes et des chaînes aux pratiquants qui refusaient de dire leurs noms. Nous avons été envoyés à un hôpital étrangement tranquille. On nous a fait passer un examen complet, incluant un électrocardiogramme, des tests sanguins et un examen des yeux
Après quoi, un garde m’a dit : “Tu n ‘as pas mangé ni bu pendant si longtemps, mais tu es encore en bonne santé. Il m’a aussi interrogée sur mes antécédents médicaux. Je lui ai dit "Bien-sûr je suis en bonne santé car je pratique le Falun Gong et suis une bonne personne. Je n’ai pas entrepris la pratique du Falun Gong pour des raisons de santé. Je pensais seulement que Vérité, Bonté, Patience enseigne aux gens à être bons, et que c’est quelque chose de formidable. " Par la suite, l’officier a apporté quelques bouteilles de fluide IV. Nous avons été ramenés au centre de détention et menottés au montant d’une fenêtre. Les gardes nous ont imposé de force les infusions IV. Lorsque la drogue est entrée dans mon corps, j’ai eu l’impression que mon cœur sortait de ma poitrine. Mes veines ont presque éclaté sous la douleur perçante et je me suis sentie suffoquer. Lorsqu’un garde qui n’était habituellement pas trop méchant est venu et a dit "Tu ne peux pas rester ici si tu ne donnes pas ton nom ! Nous devons t’envoyer à un endroit d’où tu ne ressortiras jamais. " Plus tard, j’ai donné mon nom et mon adresse et il a immédiatement téléphoné au poste de police locale dans la région où je vivais et demandé qu’ils viennent me chercher.
Entre février 2000 et mars 2001, j’ai été illégalement détenue trois fois, et chaque fois j’ai été forcée à subir un examen complet de « routine ». J’ai rencontré beaucoup de pratiquants de Falun Gong de tous les coins du pays. Ils ne venaient à Pékin que pour dire au gouvernement " Falun Dafa est bon ! " Ces pratiquants ont refusé de dire leurs noms pour ne pas impliquer leurs proches. En conséquence ils ont été sauvagement battus et on leur a assigné des numéros. Ils étaient souvent appelés dehors vers les 4 h du matin. On leur disait de se rendre à un rassemblement d’urgence, ils ont été envoyés je ne sais où et on n’a plus entendu parler d’eux depuis. Les gardes étaient vraiment nerveux et armés jusqu’aux dents. Ils revenaient quelques jours plus tard. Les gardes et les détenus parlaient tous des bases du PCC ( des camps de concentration) dans le Xinjiang, le Hebei et dans le nord est de la Chine spécialement utilisées pour détenir des pratiquants de Falun Gong. Ils disaient : " Ne vous obstinez pas dans votre pratique ! Sinon vous ferez face à une terrible situation si vous êtes envoyés là-bas …"
3.3 "J'ai failli devenir “donneur d’organe "
Le 16 avril 2006, le site Internet Minghui a rapporté l’histoire d’une pratiquante de Falun Gong qui avait été presque assassiné en 2001 au Camp de travail forcé de Guanshanzi dans la province du Liaoning. (http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2006/4/21/72263.html):
"C’était à la fin novembre 2001, le deuxième jour après que nous soyons revenues d’un emplacement de travail à quelque distance de là. L’officier de police de service est soudainement venu dans ma cellule et m’a ordonnée d’empaqueter mes affaires, disant qu’ils me renverraient sur l’emplacement de travail. C’était plutôt inhabituel, parce que l’équipe travaillant là-bas allait bientôt avoir fini et devait revenir. J’ai dit que je ne voulais pas y aller. Peu après, ils m’ont rasée la tête et m’ont enfermée dans une petite cellule. Pendant plusieurs jours j’ai été suspendue dans une cage de métal, menottée aux barreaux de la cage. J’ai fait une grève de la faim pour protester contre la persécution. La peau entourant mes poignets a commencé à s’infecter et j’ai développé des symptômes d’inflammation lymphatique. Le docteur de la prison Zhang Fan est venu jeter un coup d’œil et a dit que j’avais besoin de prendre des médicaments, sinon mes aisselles allaient s’ulcérer. Le médecin a dit qu’il me fallait une intraveineuse de Ciprofloxacin [un antibiotique], deux bouteilles de fluide en une seule prise.
J’ai remarqué que le médecin a pris soin de mettre des gants en caoutchouc avant d’administrer le fluide IV, j’ai donc commencé à avoir des doutes sur le produit. Cependant, si je refusais de le prendre, la persécution serait plus sévère. Je me suis donc assise sur le seau des toilettes, suspendue à l’infusion. Quand personne ne me regardait, j’ai déconnecté le tuyau de la seringue, et laissé le produit s’écouler dans les toilettes. Cependant, comme le sang coulait dans la seringue, j’ai du fixer de nouveau le tuyau à l’aiguille. Après avoir fait ça plusieurs fois, la bouteille de médecine de 100ml était vide. Le médecin a changé la bouteille, j’ai refait la même chose, pour que le produit s’échappe. En moins d’une heure et demie il n’y avait plus de fluide. Le troisième jour, le médecin commençait à suspecter quelque chose et venait de temps en temps vérifier. J’ai saisi une occasion et ai sorti l’aiguille de la veine en la laissant sous l’adhésif utilisé pour tenir l’aiguille. De cette façon, la police ne pouvait rien voir en surface, mais le produit s’écoulait dans les toilettes le long du dos de ma main. Ça a duré cinq jours. Même après ça, je sentais toujours que ma mémoire était léthargique. Un jour, les gens de l’hôpital ont insisté pour que je passe un examen de santé, et que rien n’y ferait même si je refusais d’y aller. En chemin, j’ai réfléchi et j’ai soudain eu une idée !
Après que j’ai été emmenée à l’hôpital Guanshanzi, le médecin a pris ma pression sanguine et a prescrit une liste d’examens que je devais passer, mais ils ont refusé de me laisser voir la liste. Ils m’ont emmenée passer une échographie et un électrocardiogramme. Ils ont fait avec une attention particulière un échographie B du rein et m’ont dit de leur donner un échantillon d’urine. Je leur ai dit que je n’avais pas d’urine pour l’instant, mais ils ont dit que je devais fournir un échantillon d’urine d’une façon ou d’une autre. J’ai dit qu’ils devraient me laisser du temps et me laisser seule, sinon je ne pouvais pas le faire. Pendant le peu de temps où ils ne pouvaient pas me voir, j’ai réussi à faire saigner mes gencives et à cracher le sang mêlé à ma salive dans le verre. Puis j’ai uriné un peu et ai mélangé l’urine à ce que j’avais craché dans le verre. Puis je le leur ai tendu. Je me suis aussi rappelé un autre incident. Lorsque des nouveaux venus arrivaient, on leur demandait systématiquement quel était leur groupe sanguin et leur prélevait un échantillon de sang durant le premier mois après leur arrivée. On nous a dit qu’on allait contrôler notre fonction hépatique. Le PCC avait donc planifié dès le premier jour le prélèvement d’organes des pratiquants de Falun Gong déterminés.
3.4 Les contrôles de santé anormaux sur divers emplacements de la persécution
Les examens physiques de “routine”, sous les ordres du PCC, sont largement pratiqués aux emplacements de la persécution dans toute la Chine, le but n’étant pas de protéger ou de traiter les pratiquants mais d’établir une banque d’organes vivants, puisque la détermination du groupe sanguin est une étape nécessaire pour un trouver un tissu compatible.
En septembre et octobre 2001, les autorités au Camp de travail forcé Baiquan dans l’agglomération de Liaoyuan, dans la province de Jilin, ont reçu l’ordre de faire des examens physiques approfondis sur plus de 100 pratiquants de Falun Gong qui y étaient illégalement détenus. Les examens incluaient des prises de sang, des EEG et EKG, un test de la fonction hépatique et une radio des poumons, parmi d’autres. Les examens étaient faits dans un grand hôpital à proximité de la rue piétonne commerciale dans l’agglomération de Liaoyuan. Tous étaient des pratiquants de Falun Gong masculins transférés des régions de Jilin City et de Siping City. En décembre 2001 ils ont tous été transférés ailleurs (on a dit qu’ils étaient envoyés au Camp de travail forcé de Chaoyanggou dans l’agglomération de Changchun)
En 2001, près de 1000 pratiquants de Falun Gong étaient détenus au Camp de travail forcé N°2 dans la province du Shandong, également appelé Camp de travail forcé de Wangcun. Parce que le nombre de détenus était en constante augmentation, certains pratiquants ont été transférés à Jinan City, Qingdao City et Weifang City, parmi d’autres endroits. Chaque pratiquant a été emmené à l’hôpital de l’Usine N°83, le camp de travail hôpital, pour des examens spéciaux. Les médecins ont passé près de 20 minutes à examiner attentivement le foie, les reins, et les autres organes de chaque pratiquant avec des ultrasons-B, et ils ont tiré une grande quantité de sang pour les tests. Les gardes disaient souvent aux pratiquants, " Si vous ne vous " réformez " pas [renoncer à Dafa], le gouvernement a de nombreux moyens pour venir à bout de vous. Nous vous enfermerons dans un endroit que personne ne connaît et vous pourrez oublier toute idée d’en ressortir un jour. "
Au début de janvier 2005, les autorités du camp de travail ont de nouveau pris une grande dose de sang de chaque pratiquant. Seules quelques personnes qui étaient complètement " réformées " et transformées en outils pour attaquer les pratiquants de Falun Gong ont été épargnées.
L’après-midi du 9 mars 2005, le personnel du Camp de travail forcé de Jiamusi dans la province du Heilongjiang a soudain voulu prendre du sang aux pratiquants de Falun Gong et prétendu qu’ils allaient faire des examens pour l’hépatite B. Les gens avec un peu de connaissance médicale savent qu’un examen pour l’hépatite B devrait être fait lorsque le patient est à jeun. Dans l’après-midi, les autorités ont soudainement dit aux pratiquants de se préparer pour une prise de sang. Tout le monde avait des soupçons sur le véritable but de l’examen. Les gardes ont traîné les pratiquants dehors, les ont menottés à des chaises de métal et leur ont pris du sang. Beaucoup de pratiquants étaient extrêmement faibles suite à la torture et certains étaient handicapés. Les gardes ont pressé pour faire sortir quelques gouttes de sang de leurs veines mais n’ont pu obtenir la dose de sang nécessaire.
En mars 2005, chaque pratiquant de Falun Gong détenu au Camp de travail forcé de Wanjia dans Harbin City s’est fait tirer un grande dose de sang. On leur a dit que le sang était utilisé pour contrôler "maladies infectieuses. " Le chef de l’hôpital du camp de travail Jiang Chao était très vicieux dans sa façon de procéder.
Selon un article du 23 janvier 2005 paru sur le site Minghui, une petite pièce au troisième étage de la Division N°2 du Centre des urgences de Dalian City est spécialement utilisé pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. C’est l’endroit où le personnel de l’hôpital injecte des produits inconnus aux pratiquants et leur fait de fréquentes prises de sang pour conduire des examens médicaux.Fin 2004, le maire adjoint de Pékin Qiang Wei s’est rendu dans le district de Shunyi pour encourager au lancement d’une nouvelle série de persécution contre les pratiquants de Falun Gong. Ce qui a été suivi par l’arrestation de plus de dix pratiquants. Ils ont été emmenés à l’Hôpital de police de Pékin et ont été attachés au
Le 27 mars 2001, le site Internet Minghui a rapporté que les pratiquantes de Falun Gong qui faisaient une grève de la faim au Camp de travail pour femmes de la province d’Anhui ont reçu des injections et qu’on leur a fait des prises de sang.
Le 13 avril 2005, des informations publiées sur le site Internet Minghui indiquaient que récemment, les autorités dans la prison pour femmes de la province du Sichuan ont fait des prises de sang forcées aux pratiquantes pour des examens de sang prétendus détecter le Sida.
4. L"Industrie du meurtre " du PCC
4.1 "Un processus coordonné d’Industrie du meurtre " en persécutant les pratiquants de Falun Gong
Le 14 avril 2006, quelqu’un ayant travaillé plus de 20 ans dans le système médical à Jinan City a souffert d’intenses tourments de conscience parce qu’il s’était tu face aux atrocités perpétrées contre les pratiquants de Falun Gong. Il a écrit à un média d’outremer pour dénoncer les faits terrifiants concernant la récolte et la vente des organes de pratiquants de Falun Gong :
L’Hôpital Qianfoshan de Jinan City dans la province du Shandong, l’hôpital général de la police de la province du Shandong , la Prison pour femmes de la province du Shandong (située South Gongye Road. Son nom officiel est " Cie de développement de la province du Shandong.") se sont mis de connivence avec d’autres prisons et camps de travail. Ils ont formé une banque d’organes vivants constituée de pratiquants de Falun Gong, un marché et un service intermédiaire de greffes d’organes. Ils ont établi un " processus coordonné d’industrie du meurtre" qui inclue la collecte d’organes vivants, les greffes, le partage des expériences et des profits.
L’Hôpital Qianfoshan est situé au 66 Jingshi Road dans Jinan City, et l’Hôpital général de la police de la province du Shandong, habituellement appelé l’Hôpital de rééducation par le travail, est situé au 134 Yingxiongshan Road à Jinan City. Ces deux grands hôpitaux ont reçu des instructions claires du régime du PCC central que le personnel de l’hôpital devait se consacrer pleinement à la récolte d’organes vivants de pratiquants de Falun Gong. Le prélèvement et les greffes d’organes se sont constitués en une exploitation rationalisée.
Ces quelques dernières années, des fonctionnaires à l’Hôpital Qianfoshan et le régime municipal de Tianjin City ont établi l’Institut oriental de recherche de greffes d’organes – Centre de greffe de foie du Shandong, le premier centre spécialisé de greffe de foie dans la province du Shandong. Les greffes de rein, les greffes de testicules, les greffes de poumons et les greffes de cornée sont courantes au centre. Il y a plus de 800 lits. Les plus de 300 membres du personnel ont des positions professionnelles très élevées, il y a 44 professeurs avec des doctorats et des étudiants en maîtrise, et plus de 90 professeurs concourants associés de l’Université du Shandong.
Ce centre est actuellement un collège médical clinique de l’Université du Shandong et est aussi utilisé comme hôpital d’enseignement clinique pour l’Université de médecine chinoise du Shandong, l’Institut médical de Weifang, l’Institut médical de Taishan, l’Institut médical de Binzhou, l’Ecole d’infirmières de la province du Shandong et d’autres institutions des professions de santé. Tout comme l’a dit un témoin qui a révélé le camp de concentration de Sujiatun " Parce que le régime ne veut pas être responsable pour les corps et les vies des pratiquants de Falun Gong, le régime traite leurs vies comme des ordures. Leurs corps sont utilisés pour des expériences par de jeunes médecins faisant leur pratique "
L’Hôpital Qianfoshan dans la province du Shandong |
L’Hôpital général de la Police de la province du Shandong est divisé en quartiers interne et externe. Le quartier interne est ouvert au public, des gens comme vous et moi et des employés de la police y vont pour traitement médical, et le quartier interne est derrière une grille de métal, c’est en fait une prison. Il est tenu selon les règlements de la prison sauf qu’il a de nombreux docteurs dans son personnel et beaucoup d’équipements médicaux. La plupart de la récolte des organes se fait là. C’est là où les prisons et les centres de détention envoient les pratiquants de Falun Gong . C’est l’endroit où les pratiquants sont brutalement assassinés.
Selon des résultats d’enquête de la Coalition pour investiguer la persécution du Falun Gong, tout les personnel hospitaliers dans la province du Henan, la province du Shandong, la province du Guangdong, Pékin, Tianjin, la province du Liaoning, et la province du Hubei ont dit aux enquêteurs qu’ils pouvaient fournir des organes de pratiquants de Falun Gong. Le passage ci-dessous témoigne du fait que les crimes ont lieu dans toute la Chine.
L’Hôpital du Peuple N°2 de Shanxi, ou l’Hôpital des maladies de carrière de la province du Shanxi qui a été construit ces dernières années se situe au 39 West Kouzhuang Road à Taiyuan City. Il abrite le Centre de greffe de rein et de dialyse. A la fin 2004, plus de 500 chirurgies de greffes de reins avaient été effectuées au Centre. Les organes utilisés au centre venaient principalement du « Centre de formation Judiciaire du Tribunal du Peuple de Taiyuan City qui est en fait un terrain d’exécution pour le Tribunal du Peuple de Taiyuan City. Le plus grand nombre d’exécutions à Tiayuan City est d’environ 20 par an. Le crématoire de Yongan se trouve la porte à côté du Centre de détention. Le crématoire a été construit pendant ces quelques dernières années.
Le 5 mars 2006, le journal Movie, TV and Books Weekly publié par le groupe de presse Changchun Daily a consacré une pleine page à une histoire qui déclarait : “Le 17 décembre 2005, un coréen qui a reçu une greffe de rein au centre a dit à un journaliste qu’obtenir des organes de personnes cérébralement mortes en Corée était plus dur que de cueillir des étoiles au ciel. Cependant, le centre a effectué 53 greffes de foie en l’espace de deux semaines, entre le 16 et le 30 décembre 2005. Sa famille a révélé que le centre effectuait jusqu’à 24 greffes de foie et de rein en un seul jour.
Il y a trois hôpitaux dans Dongwan qui sont capables d’effectuer des greffes de rein : l’Hôpital du Peuple de Dongwan City, qui un des hôpitaux AAA, l’Hôpital urologique affilié avec l’Université médicale Tongji et l’Hôpital du Peuple de Taiping à Dongwan City. L’Hôpital du Peuple de Taiping a commencé à pratiquer les greffes d’organes en 1999, principalement sur des étrangers. Il a effectué plus de 1000 greffes de rein et dans les trois premiers mois de 2006 a effectué 300 greffes de rein à lui tout seul.
Fin juin 2004, neuf greffes de reins ont été effectuées en un seul jour à l’Hôpital du Peuple N°7 à Zhenzhou City. Selon des sources internes, le véhicule envoyé pour chercher les reins ne portait aucun signe de l’hôpital. Le personnel de l’hôpital a obtenu les reins à la tombée de la nuit et a effectué les greffes pendant la nuit. Ils ont effectué six greffes la nuit et trois de plus le jour suivant. Cela n’a coûté que 50 000 yuan à chaque patient. Une des opérations a échoué, et le patient a reçu un autre rein quelques jours plus tard.
Selon un reportage du 4 mars 2006 dans le journal New Culture à Changchun City, l’Hôpital N°2 affilié avec l’Université de Jilin a trouvé un cœur compatible pour Mme Xie Baoshi de Wenzhou City en un seul jour. L’opération de greffe a été effectuée le jour même. Le médecin n’a passé que dix minutes à prélever le cœur du " donneur ", et un groupe de gens s’est précipité pour que cœur soit acheminé à l’hôpital. Ils ont mis environ une heure et demie pour parcourir près de 100 kilomètres (62mi). Quand le cœur du donneur a été envoyé en salle d’opération, un autre groupe avait déjà retiré le cœur du patient, et l’opération de greffe a été terminée en 1h et demie. Le fait cruel derrière cette information est qu’une personne vivante s’est vu prélever son cœur quelques heures avant que Xie Baoshi ne soit opérée.
4.2 Les crimes de prélèvements d’organes sur des pratiquants vivants en utilisant les moyens militaires
Un témoin appartenant au système médical militaire a raconté que selon un document à l’initiative du Comité central militaire du PCC dès 1962, le gouvernement au niveau provincial a l’autorité d’établir des " organisations de recyclage " pour traiter les criminels sous la supervision de la région militaire dans la province. Cette pratique a continué jusqu’à aujourd’hui. Selon les règles stipulées dans le document : " les prisonniers condamnés à mort et les criminels coupables de crimes graves peuvent être traités selon les nécessités du développement de l’état ou du socialisme. " Durant la Grande Révolution culturelle (1966-1976), la manière la plus révolutionnaire de s’occuper de ces prisonniers était de les utiliser comme nourriture. Puis venait l’utilisation pour la production. Selon le témoin, un amendement de 1984 a rendu légale la récolte des organes des criminels. Les départements judiciaires et la police soit s’acquitter directement de la récolte des organes sur les prisonniers vivants et incinèrent leurs corps, où ils blessent les prisonniers dans une parodie d’exécution avant d’effectuer le prélèvement d’organes sur les prisonniers blessés, suivi de la crémation. Depuis 1992, une telle pratique est devenue publique. Du fait du développement de nombreuses affaires en relation à cela, les corps humains, vivants ou mort sont devenus une marchandise brute lucrative pour la production.
Le témoin a aussi révélé que “Le Parti communiste chinois a ouvertement qualifié le Falun Gong d’”ennemi de classe” et donné des instructions sur comment s’en occuper de toute manière économiquement profitable sans devoir en rendre compte aux plus hautes autorités. Autrement dit, les pratiquants de Falun Gong, comme de nombreux criminels en Chine, ne sont plus considérés comme des êtres humains, mais comme une matière première pour la production commerciale. Ils sont devenus des marchandises "
Le 30 avril 2006, le témoin à l’intérieur du système médical militaire a de nouveau révélé le crime de prélèvement d’organes du PCC sur des pratiquants de Falun Gong vivants en utilisant des moyens militaires . Une partie de l’information stipule :
“En Chine le système de gestion centrale pour les greffes et la collecte d’organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants appartient à l’armée. La surveillance et la gestion militaires sont exécutées par le personnel militaire concerné ou les organisations autorisées par la Commission militaire du PCC. L’information est classifiée comme secrets militaires. Le personnel de surveillance et de gestion a le droit d’arrêter, détenir ou exécuter tout médecin, policier, policier paramilitaire, ou personnel de recherche qui laisse filtrer les secrets à l’extérieur. Le personnel militaire a l’autorisation de la Commission militaire du PCC. De nombreuses structures militaires sont les vrais camps de concentration. "
“Selon le régime, tous les dons d’organes sont volontaires et passent par les voies officielles. Les pratiquants de Falun Gong et les autres détenus sont enregistrés sous leur vrai nom, mais s’agissant des greffes d’organe, de faux noms sont utilisés. Autrement dit, une fausse identité est créée pour chaque personne. Cependant, toute l’information sur la personne est complète, et un formulaire de don volontaire d’organe est signé (avec une fausse signature). J’ai vu plus de 60 000 de ces documents avec des signatures falsifiées. Tous disent que l’individu consent volontairement à certaines greffes d’organe (y compris le cœur) et sera responsable pour toutes les conséquences. De nombreuses signatures sont écrites de la main de la même personne. Ces documents sont gardés pendant 18 mois et doivent être détruits les 18 mois écoulés. Les documents sont gardés au niveau provincial des régions militaires. Réviser ces documents nécessiterait la permission d’une commissaire spécial permanent du Comité Central du PCC."
“Beaucoup de gens prêtent une grande attention aux statistiques de greffes annoncées par le régime. En fait les greffes d’organes "clandestines " dépassent de loin le chiffre annoncé par le régime. Par exemple, si le gouvernement dit qu’il y a 30 000 cas par an, alors le nombre réel est d’environ 110.000. Il y a une abondance de sources d’organes, et c’est la principale raison pour laquelle les prix des greffes d’organes ont chuté rapidement. Du fait de l’abondance des sources d’organes, de nombreux hôpitaux avec un arrière plan militaire, tout en rendant compte de certaines des greffes au gouvernement central et au public, s’acquittent en fait secrètement d’un nombre de greffes bien plus important."
“Comme je l’ai dit auparavant, aux yeux de ces personnes [qui font les opérations], les gens dont les organes sont prélevés ne sont plus considérés comme des humains, mais comme des animaux. En faisant cela pour la première ou la seconde fois, certains d’entre eux sont tremblants et nerveux. Mais après des milliers d’opérations, tout a changé. Ils deviennent insensibles au fait de prélever les organes de personnes vivantes et de brûler les corps. "
" En Chine, il y a aussi un grand nombre de personnes vivantes qui sont exportées. Autrement dit, les chinois répondant à un certain critère physique sont exportés en outremer comme des produits à travers un réseau, et ils sont accompagnés par des formulaires de consentement " volontaire" fabriqués. Les greffes sont faites en outremer et les corps des sources de greffes sont détruits. Dans plusieurs pays, il y a des agences tenues par des chinois qui gèrent les corps après qu’aient eu lieu les greffes d’organes de personnes vivantes. De nombreuses ambassades et consulats chinois sont aussi impliqués. Je sais que plus de 940 personnes ont été exportées en 2005. Pour tous les produits exportés liés à des corps humains vivants, la valeur de rendement de la Chine arrive en première place. Il y a en fait un vaste réseau mondial de prélèvement et de transplantations d’organes, et les transactions sont centralisées en Chine. Depuis 2000, plus de 850 des transplantations d’organes dans le monde ont été effectuées en Chine. Les données qui précèdent sont extraits du rapport du document de la Commission militaire. Quelques personnes ont été promues généraux pour leurs ‘accomplissements remarquables’ dans ce domaine.
Ceci explique probablement pourquoi les hôpitaux militaires des provinces et des grandes villes et les hôpitaux de la police armée ont accompli un grand nombre d’opérations de greffe d’organes, bien qu’ils ne soient affiliées avec aucune prison et n’aient pas accès aux organes des prisonniers exécutés. "
Ci-dessous certains des résultats de l’enquête menée par la Coalition pour enquêter sur la persécution du Falun Gong :
L’Hôpital général de la zone militaire de Nanjing, l’Hôpital général de la zone militaire de Shenyang, l’Hôpital général de l’Armée du Shandong, l’Hôpital général de la zone militaire du Fujian et de nombreux hôpitaux affiliés à l’armée ont tous déclaré avoir effectué de nombreuses chirurgies de greffes. Les médecins à l’Hôpital général de la zone militaire de Fujian ont dit que le nombre de chirurgies de greffe d’organes qu’ils avaient effectuées ces trois dernières années arrivait en 2ou 3ème position en Chine.
Selon les politiques de l’Hôpital 301 de Pékin, ou de l’Hôpital du PLC de Chine qui traite les haut fonctionnaires du PCC y compris les gouverneurs provinciaux, la source des donneurs d’organes est un secret dont on ne peut pas parler. Si un médecin divulgue la source de l’organe à la famille du patient, il sera disqualifié en tant que chirurgien.
Les enquêteurs ont appelé l’Hôpital de l’Armée de l’Air de Chengdu pendant trois jours non stop après le 28 avril. Les médecins à l’Hôpital ont admis qu’ils avaient des organes de pratiquants de Falun Gong jeunes et en bonne santé. Le Chef du département des greffes de rein de l’Hôpital N°2 affilié à l’Université Tsinghua, Li Hongjui, a dit que le centre effectue plus de 100 greffes par an, mais récemment la banque de donneurs à Pékin est moins pourvue, il a donc été transféré voici deux mois à un hôpital de l’armée de l’air dans l’agglomération de Chengdu, province du Sichuan, où les sources abondent pour les greffes de rein. L’Hôpital général de la Police armée de Tianjin n’a pas pratiqué de chirurgies de greffes, mais comme des organes de pratiquants de Falun Gong ont été disponibles en 200 et qu’il était nécessaire d’effectuer un grand nombre d’opérations de greffes, des médecins expérimentés ont été transférés depuis l’Hôpital général de la Police armée de Shanxi pour aider à effectuer des greffes.
Le personnel d’un Hôpital de l’armée de l’air dans la province du Xingjiang a dit que leurs donneurs étaient des hommes entre 20 et 30 ans. Il y a une abondance de donneurs d’organes dans la province de Xinjiang. Les patients qui n’ont pas pu obtenir de reins à Pékin et à Shanghai ont été envoyés au Xingjiang pour des chirurgies. Certains hôpitaux militaires ont reçu quantité d’organes tandis que des intermédiaires en ont monopolisés certains. L’hôpital militaire dans la province du Yuanna a effectué des chirurgies sélectives parce que la source de rein est un monopole.
Conclusion
Tout comme on pouvait le lire sur le site Internet du Centre Oriental de greffes d’organes de Tianjin City à http://www.ootc.net, «un grand nombre de greffes d’organes sont dues au soutien du gouvernement chiois. La Cour Suprême du Peuple, la
Le PCC a utilise des intérêts financiers gigantesques comme appât, et entraîné à sa suite l’armée, la police armée, la police générale, le système judiciaire, les fonctionnaires du gouvernement à tous les niveaux, les fonctionnaires du système de santé, et le personnel médical et les intermédiaires de la vente d’organes dans ce crime national inhumain.
Durant les quelques dernières années, face à l’horreur du terrorisme d’état, les pratiquants de Falun Gong ont enduré des épreuves immenses et sauvegardé leur croyance avec persévérance. Ils se sont pacifiquement et rationnellement opposés à la persécution et ont clarifié la vérité et éveillé la conscience des gens avec leur sincérité et leur compassion. De plus en plus de gens ont appris la vérité au sujet du Falun Gong et ont courageusement fait un pas pour dénoncer la nature profondément mauvaise de cette persécution. Ces personnes ont choisi le côté de la conscience et de la justice dans la bataille entre le bien et le mal, s’assurant un brillant futur pour eux-mêmes.
Les gens sont en train d’abandonner ce Parti qui a éveillé la fureur des dieux et des hommes. Plus de dix millions de chinois ont spontanément et courageusement publié l’annonce de leur démission du PCC et de ses organisations affiliées. La destruction du PCC est imminente.
Des observateurs indiquent qu’en maintenant leur noble croyance en Vérité-Compassion-Tolérance, et en révélant et stoppant cette persécution maligne, les pratiquants de Falun Gong empêchent le spectre pervers du PCC d’empoisonner les esprits et de détruire l’espèce humaine, et en faisant cela ils créent un futur pour l’espère humaine.
Date de l'article original : 5/21/2006
Version Chinoise disponible sur :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/5/6/126893.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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