A propos de l’industrie du meurtre du Parti Communiste Chinois durant ces dernière années (Photos)

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Depuis mars 2006, les crimes choquants, liés aux prélèvements d’organes sur des pratiquants de Falun Gong en vie, persécutés dans les camps de concentration, ont été exposés. Ces crimes ont commencé fin 2000 et sont devenus une pratique courante dans les camps de travaux forcés, les prisons et les camps de concentration ainsi que dans les hôpitaux correspondants dans toute la Chine. Dans le camp de concentration Sujiatun les cornées, les organes et la moelle épinière de plusieurs milliers de pratiquants, hommes et femmes, jeunes et vieux, ont été prélevés alors qu’ils étaient encore en vie. Même leurs cheveux, peau et graisse ont été vendus et leurs corps incinérés dans le four crématoire à l’intérieur du camp de concentration, afin de détruire les preuves. Plusieurs témoins ont fourni des preuves disant qu’il existe au moins 36 camps de concentration similaires au camp de concentration Sujiatun en Chine. Le plus grand camp de concentration, nom de code 672-S, se trouve dans la province de Jilin. Plus de 120,000 pratiquants et dissidents y sont détenus. Le camp de concentration de la région de Jiutai, province de Jilin est le cinquième endroit le plus important du pays, où plus de 14,000 personnes sont détenues.

Cependant, le prélèvement des organes sur des pratiquants en vie ne représente seulement que le sommet de l’iceberg des crimes contre l’humanité commis par le PCC dans sa persécution des pratiquants de Falun Gong. Dans le but d’exposer l’image globale du prélèvement des organes des pratiquants de Falun Gong vivants et de tous les crimes de génocide commis durant sa persécution de sept années des pratiquants de Falun Gong, comprenant les détentions et les emprisonnements sur une large échelle, la torture mentale brutale, l’esclavagisme, les abus sexuels, les tortures cruelles et les meurtres, l’Association Falun Dafa et le site Minghui/Clearwisdom ont établi, le 4 avril : ‘’ La Coalition pour Enquêter sur la Persécution de Falun Gong en Chine (CIPFG)’’ ( en abrégé ‘’ Coalition pour Enquêter sur la Persécution’’). La Coalition appelle toutes les personnes de conscience dans la communauté internationale à se joindre à elle, pour mener une enquête indépendante et faire cesser cet holocauste.

Cet article exposera les crimes de prélèvement d’organes sur des pratiquants de Falun Gong en vie dans toute la Chine durant la persécution des pratiquants de Falun Gong par le PCC sous les quatre aspects suivants.

1 Le contexte et la situation actuelle du crime de prélèvement d’ organes des pratiquants de Falun Gong vivants.

1.1 L’augmentation des greffes d’organes en Chine a évolué en même temps que la persécution du Falun Gong 1.2 Les hôpitaux dans toute la Chine ont précipitamment mené l’holocauste en prélevant les organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants

2 ‘’La banque d’organes vivants’’ du PCC

2.1 Le foie vivant de la ville de Tangshan
2.2 M. Zhao Yingqi a t-il reçu un traitement d’urgence après sa mort par les experts médicaux de l’hôpital militaire général 301?
2.3 M. Chen Aizhong a été incinéré de force après avoir été assassiné
2.4 M. Meng Jincheng a été tué le jour même où il a été jeté dans le camp de travaux forcés, et sa famille a été autorisée à ne voir que l’arrière de sa tête
2.5 Le ‘’cadavre’’ de M. Zhang Zhenggang, assistant du centre d’assistance de Falun Gong de la ville de Huai’an, a été disséqué
2.6 La véritable histoire de 20 greffes d’organes gratuites à l’Hôpital du Peuple Provincial de Hunan

3. Les lieux de persécution dans toute la Chine, sont les quartiers généraux de la banque d’organes vivants du PCC

3.1 L’expérience de Mme Wang Yuzhi: bien loin d’être devenue une donneuse d’organe vivant
3.2 L’expérience de Mme Chen Ying d’avoir subi contre sa volonté, un examen de santé complet suspect dans le centre de détention de Pékin
3.3 ‘’J’ai échappé à une calamité’’
3.4 Les bilans de santé complets anormaux dans plusieurs lieux de persécution

4. ‘’ L’Industrie du meurtre” du PCC

4.1 ‘’Un processus coordonné d’Industrie du Meurtre’’ dans la persécution des pratiquants de Falun Gong
4.2 Les crimes de prélever les organes sur des pratiquants vivants en utilisant des moyens militaires

Conclusion

1 Contexte et situation actuelle du crime de prélèvement d’organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants.

1.1 Augmentation des greffes d’organes en Chine en lien avec la persécution du Falun Gong par le PCC

Dans les récentes années, les opérations de transplants d’organes en Chine se sont développées très rapidement. Les hôpitaux militaires, la police, les hôpitaux de la police militaire et les hôpitaux locaux secondaires et au-dessus ont tous participé à effectuer des opérations chirurgicales de greffes d’organes. Selon les statistiques officielles, durant les 9 années comprises entre 1991 et 1999, moins de 200 greffes de foies ont été effectuées en Chine. En 2000 et 2001, le chiffre est monté à 254 et 486 respectivement. En 2003, le chiffre est monté en flèche pour atteindre plus de 3000. Selon les reportages du Journal de la Santé de Chine, le professeur Shi Bingyi, directeur adjoint de l’Association de la Branche des Greffes d’Organes de l’Association Médicale Chinoise, a révélé que durant les dix années passées, la Chine a mené plus de 90,000 diverses opérations de greffes d’organes. En 2005, prés de 10,000 greffes de reins et prés de 4000 greffes de foies ont été effectuées seulement en Chine.

Le 30 décembre 2005, Shen Zhongyang, directeur du ‘’Centre de Greffes d’Organes Oriental’’ de Tianjin a dit lors d’une interview, que le nombre de greffes de foies menées par le centre cette année, a atteint les 650 cas. Le nouveau bâtiment du centre de greffes d’organes a une capacité de 500 lits. Après sa mise en opération en mai 2006, on s’attend à ce que son taux de rotation annuel atteigne les prés de 10,000.

Les statistiques médicales montrent que la probabilité d’une compatibilité d’organes hors parents est de moins de 10%. Même aux Etats-Unis, où l’acceptation publique des donations d’organes est très élevée, le temps d’attente moyen pour une greffe d’organe est de 6 ou 7 ans. Cependant, en Chine, où l’acceptation des donations d’organes est très basse, selon divers centres de greffes d’organes, la période moyenne d’attente n’est de pas plus d’un mois et aussi courte que quelques jours. Indubitablement, il existe une grande banque d’organes disponible. C’est un secret de polichinelle que le PCC prélève illégalement les organes de prisonniers condamnés à mort pour des greffes d’organes. Cependant, on peut se demander : Comment est-ce que la Chine obtient un nombre des dizaines de fois plus élevé de donneurs d’organes que de prisonniers condamnés à mort ?

Ce qui est particulièrement horrible est que ‘’l’accomplissement’’ des greffes d’organes en Chine augmente de pair avec l’escalade de la persécution de Falun Gong par le PCC.

En juillet 1999, consumé par la jalousie et sa recherche aveugle de pouvoir, l’ancien dictateur du PCC, Jiang Zemin, a utilisé les mensonges pour ouvrir la voie et mener la totalité de l’appareil étatique à lancer la persécution de dizaines de millions de pratiquants de Falun Gong, qui cultivent la bonté et élèvent leur moralité. De la dernière moitié de 1999 jusqu’en 2001, les pratiquants de tout le pays se sont rendus à Pékin, faire appel pour Falun Gong. Ils ont tenté de dire au gouvernement et aux gens en général que Falun Gong est bon. Les pratiquants souhaitaient que la persécution cesse et ont demandé au gouvernement de leur permettre de pratiquer librement Falun Gong. Durant une période, approximativement 70 milliers de pratiquants de divers endroits du pays se sont réunis chaque mois dans la banlieue de Pékin. Cependant, le Bureau des Lettres et des Appels ainsi que la Place Tienanmen ont été transformés en endroits d’arrestation pour les pratiquants. Beaucoup de pratiquants sont portés manquants.

Quelques sites Internet en Chine ont révélé qu’il y a 670 prisons connues et 300 camps de travaux forcés détenant 1,800,000 personnes. Parce qu’un nombre immense de pratiquants de Falun Gong ont été jetés dans ces prisons et camps de travaux forcés, ces endroits ont été sérieusement surchargés. Ainsi, le PCC a construit des dizaines de camps de concentration secrets pour persécuter les pratiquants déterminés, d’une façon plus cachée et cruelle. Le 1 octobre 2000, l’Agence France Presse (AFP) rapportait que le PCC avait construit deux camps de concentration secrets dans le nord-est et dans le nord-ouest de la Chine. Ces deux camps étaient capables d’emprisonner 50,000 pratiquants. Des trains pleins de pratiquants y ont été expédiés. Mais jusqu’à maintenant, personne n’en est sorti vivant.

Sous la politique génocidaire du PCC: ‘’Diffamer leur réputation, ruinez les financièrement, et détruisez les physiquement’’, Falun Gong a été calomnié et diabolisé par les mensonges outrageux des médias du PCC. Les pratiquants qui mettaient en pratique les principes Authenticité-Compassion-Tolérance ont été traités comme des ennemis d’état et ont été enlevés, emprisonnés ou torturés brutalement à volonté. Les ordres secrets du groupe de Jiang, tels que ‘’les morts des pratiquants de Falun Gong suite aux tabassages ne sont rien et seront comptées comme des suicides’’ et ‘’diffamer leur réputation, ruinez les financièrement, détruisez-les physiquement’’ a poussé la persécution jusqu’au stade de l’hystérie, autorisant ainsi le crime de prélever les organes des pratiquants de Falun Gong vivants.

En décembre 2000, le site Internet Minghui/Clearwisdom a publié un article avec un titre attirant l’attention : ‘’ Des policiers pervers manigancent de vendre les organes des pratiquants de Falun Gong emprisonnés.’’ (http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2000/12/31/3661.html) L’article sonnait comme un avertissement pour les pratiquants en Chine. Les agents de police de Chine continentale ont comploté avec des médecins avides et ont cherché à vendre les organes des pratiquants vivants. Une source a indiqué que les hôpitaux avaient des quotas pour les organes. Un hôpital de médecine traditionnelle Chinoise de la ville de Shijiazhuang avait reçu un quota de 6 organes. En Chine, il y a beaucoup de cas de pratiquants dont les corps avaient des trous sanglants et des coupures au couteau, où étaient secrètement incinérés sans le consentement des familles.

En mars 2006, l’épouse d’un chirurgien directement impliqué dans le prélèvement d’organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants a dit que les pratiquants détenus dans le camp de concentration Sujiatun dans la ville de Shenyang, province de Liaoning provenaient principalement des divers camps de travaux forcés en Chine. Les pratiquants sélectionnés pour être des donneurs d’organes vivants venaient principalement de la campagne, n’avaient pas d’antécédents d’emplois, de références académiques et de familles. Les fonctionnaires sans foi ni loi ont mené des tests sanguins pour eux, ont établi des archives, organisé des compatibilités de tissus afin de faire toutes les préparations pour les hôpitaux effectuant des greffes d’organes et pour prélever les organes de ces pratiquants. Le PCC a utilisé l’énorme bénéfice économique des greffes d’organes comme appât pour enrôler les personnes de l’armée, la police militaire, la police, l’administration de la justice, les fonctionnaires du gouvernement à tous les niveaux, les fonctionnaires du système médical, les médecins et infirmières ainsi que les organisations intermédiaires dans cette affaire meurtrière la plus sanglante et la plus cruelle. Ce crime de prélever les organes par un état constitue une preuve de la dégénérescence des valeurs humanitaires et de la conscience humaine.

1.2 Les hôpitaux dans toute la Chine mènent précipitamment l’holocauste en prélevant les organes de pratiquants vivants

Après que les camps de concentration aient été révélés, le PCC n’a jamais cessé de faire le mal. D’un coté, il a tenté de tromper la communauté internationale en niant les accusations. D’un autre coté, il a accéléré son processus de réduire au silence les témoins en les tuant et en détruisant les preuves. Après trois semaines de silence et lorsque tout était prêt, le porte-parole du ministère des affaires étrangères du PCC a nié l’existence du camp de concentration Sujiatun. Le PCC a aussi établi une réglementation publique nommée ‘’ Réglementation par Intérim pour la pratique des greffes d’organes humains.’’ Cependant, la réglementation ne prendra effet qu’au 1 juillet 2006. Cela leur laisse trois longs mois pour continuer à réduire au silence les témoins, en les tuant.

L’information provenant d’enquêtes urgentes et de rapports secrets de témoins, ont confirmé que les hôpitaux et les centres de greffes de Heilongjiang, Liaoning, Jilin, Pékin, Tianjin, Guangdong, Hénan, Hebei, de la ville de Wuhan à Hebei, Hunan, Shanghai, Zhejiang, Yunnan, Anhui, Shaanxi, Xinjiang et autres endroits font des heures supplémentaires pour effectuer des greffes d’organes. Les autorités hospitalières disent à des enquêteurs secrets que les patients doivent venir rapidement s’ils veulent une greffe, puisqu’un grand nombre d’organes seront disponibles avant la fin avril et que l’hôpital pourrait trouver des organes compatibles en quelques jours. Les autorités hospitalières ont même admis en termes explicites que les organes qu’ils offraient comprenaient ceux de pratiquants de Falun Gong.

Voici des extraits de conversations entre les enquêteurs secrets de la ‘’ Coalition pour Enquêter sur la Persécution’’ et les médecins, ainsi que des rapports venant de différentes parties de Chine

L’enquêteur: ’’Je veux un rein de ceux qui pratiquent Falun Gong, un qui est totalement sain.’’

Le médecin du centre de greffes de foie Qianfushan dans la province de Shandong: ‘’ Bien…. Nous aurons, sans aucun doute, beaucoup de fournisseurs de ce type en avril. Le nombre de ces fournisseurs augmente graduellement.’’

L’enquêteur: ‘’ Pourquoi en aurez vous plus en avril?’’

Le médecin: ‘’Je ne peux vous le dire parce que cela implique…De toute façon, il n’est pas nécessaire d’en parler. Je ne peux en parler avec vous.’’

L’enquêteur: ‘’ Faites-vous des heures supplémentaires pour les greffes d’organes?’’

Le médecin de l’hôpital Changzhen à Shangai: ‘’ C’est juste, 30 personnes font la queue. 24 heures, plusieurs groupes de personnes. Nous avons 4 équipes qui font le travail.’’

Le département de greffes de l’hôpital général No.1 de Tianjin, connu aussi comme le centre des greffes d’organes oriental, après un court délai, a commencé de nouveau à recevoir un grand nombre d’étranger qui viennent là pour des greffes de foies et de reins depuis fin mars. Toutes les opérations de greffes d’organes ont été effectuées de nuit dans le bâtiment central situé aux 11eme et 12eme étages pour les patients de greffes. Les salles étaient situées dans les étages 4 à 7. Puisqu’il n’y avait pas assez de lits dans le bâtiment de l’hôpital, le centre des greffes d’organes oriental a aussi emprunté le 8eme étage de l’hôpital international cardiovasculaire de la zone de développement économique de Tianjin pour y être utilisé par les patients coréens. Pendant ce temps, il aussi converti des hôtels en salles pour que les patients attendent pour l’opération. Ceci inclut les étages 3 à 6 de l’hôtel Huaxia et les étages 24 et 25 de l’hôtel Tiancai. Malgré ceci, il y a encore pénurie de lits.

Débutant en mars, l’hôpital de la police militaire de Tianjin était a été très occupé avec des opérations de greffes de reins. Il les effectuait chaque nuit, et pouvait faire six greffes de reins par soir. Lorsque les patients récupéraient un peu, ils étaient poussés à quitter l’hôpital. Récemment, le nombre de patients se rendant là pour y recevoir une greffe de reins a augmenté rapidement, autant que le nombre de donneurs. On disait aux patients que les reins provenaient de ‘’jeunes criminels’’. Normalement, le coût d’une greffe de rein et les dépenses d’hospitalisations tournent aux alentours de 100,000 yuans.

Le 12 avril 2006, après une réunion d’urgence, les principaux hôpitaux de la ville de Jilin étaient tous gardés par la police (comme sous la loi martiale). Les ambulances étaient vues fréquemment allant et venant des hôpitaux. En guise de ‘’promotion’’, l’hôpital de maladies cardiaques provincial de Jilin a même réduit ses prix pour les greffes de cœur. Les cinq premiers patients des greffes de cœur devaient payer seulement 50,000 yuans.

Tout ceci indique clairement qu’un massacre visant à détruire les pratiquants de Falun Gong ( preuves vivantes) en trois mois se déroule en Chine par le PCC. Une atrocité d’une sauvagerie sans pareille se déroule en Chine, en ce moment !

2. La banque d’organes vivants du PCC

2.1 le foie vivant de la ville de Tangshan

Le 23 juillet 2003, le journal du soir de la ville de Dalian a publié un reportage intitulé ‘’ Les patients de Taiwan changent de foies à Dalian.’’ Le reportage disait: ‘’ Dans la soirée du 12 juillet 2003, le patient âgé de 50 ans, Liu Dongquan a été admis au centre de greffes d’organes de l’Université affiliée de l’université médicale de Dalian. Le jour suivant, Liu Dongquan a expérimenté un dysfonctionnement de foie, nécessitant une greffe de fois immédiate. Le centre de greffe d’organes a demandé au système médical national de l’aide d’urgence. Deux jours plus tard, le centre a trouvé un donneur de foie à Tangshan compatible avec Liu Dongquan. Le 18 juin, à 16:50 heures, le foie est arrivé sans emcombre par bateau à Dalian. A 17:30 heures, Liu Dongquan a été transporté dans la salle d’opération. Cinq heures plus tard, le foie était greffé avec succès.’’

Les experts médicaux ont dit qu’un foie ne pouvait survivre plus de 48 heures après avoir été enlevé d’un corps. Moins le foie passe de temps sans approvisionnement suffisant en sang à la température du corps, plus le taux de succès de greffe de foie est élevé. Le reportage a dit que le foie a été trouvé à Tangshan le 16 juin et a été transporté par bateau à Dalian, le 18. Ceci indique que le donneur doit avoir été en vie. Il y a deux possibilités : Soit le foie a été prélevé d’un donneur en vie dans la ville de Tangshan le 18 et envoyé à Dalian, soit le donneur du foie a été transporté en bateau vers Dalian le 18 et le foie a été prélevé du donneur vivant après son arrivée.

En utilisant ceci comme indice, j’ai cherché sur la base de donnée du site Internet Minghui/Clearwisdom et trouvé plusieurs cas de prélèvements d’organes suspects de pratiquants de Falun Gong qui ont été cruellement torturés à mort dans le camp de travaux forcés de Tangshan (appelé aussi camp de travaux forcés Hehuakeng).

2.2 M. Zhao Yingqi a t-il reçu un traitement d’urgence après sa mort, par les experts médicaux de l’hôpital militaire général 301 ?

M. Zhao Yingqi était un ancien employé de la section de gestion de la mine, mine du village Lanfangge, district Guye, ville de Tangshan, province de Hebei. En 1987, il a été gravement blessé dans un accident sous terrain de la mine. Il a été hospitalisé pendant 9 mois et après plusieurs opérations chirurgicales, et sa jambe gauche a été raccourcie de 5 centimètres. Il a été catalogué handicapé au 3eme niveau, et avant de quitter l’hôpital, handicapé au 4eme niveau, ce qui signifie une perte de capacité de travail. Après avoir appris Falun Gong, il a demandé à quitter l’hôpital. Après une période de temps à pratiquer Falun Gong, Zhao a abandonné les béquilles et une chaise roulante pour conduire lui-même les vélos et tricycles. Bien qu’il soit âgé de plus de 60 ans, il ressemblait à un jeune homme. Lorsqu’il demanda à sortir de l’hôpital, le chef de l’hôpital a dit : ‘’ Les exercices vous apportent réellement des merveilles !’’ M. Zhao Yingqi était connu comme un bon fils, un bon père et un bon mari.

Blessé et handicapé, Zhao Yingqi de la ville de Tangshan a été torturé à mort dans le camp de travail forcé Hehuakeng à Tangshan le 30 décembre 2002, pour sa pratique de Falun Gong.

Bien que les lois chinoises interdisent d’envoyer une personne handicapée dans un camp de travail forcé, M. Zhao a été illégalement détenu et envoyé dans le camp de travail forcés Hehuakeng dans la ville de Tangshan, le 20 novembre 2002, pour sa persistance à pratiquer Falun Gong. Il est mort en moins de 40 jours après avoir été brutalement torturé. Les gardiens du camp ont déclaré que Zhao est mort de causes normales. En réalité, Zhao avait des blessures sur tout le corps. Sa tête s’affaissait, un morceau de chair manquait sur sa cage thoracique, et les blessures s’étendaient de ses doigts à son dos et son cou. Ses yeux étaient encore ouverts, ses mains et ses ongles étaient bleus, et son estomac, rétréci, était injecté d’eau.

Sa tête était affaissée, un morceau de chair de sa cage thoracique droite manquait, et les blessures s’étendaient de ses droits à son dos et son cou.

Ce qui suit est la lettre d’appel de l’épouse de M. Zhao, Mme Zhao Yanru :

‘’ Le 20 novembre, mon époux, M. Zhao Yingqi a été arrêté et emmené dans le camp de travaux forcés Hehuakeng. A 16:00 heures, le 30 décembre, le camp de travaux forcés m’a informé que mon mari souffrait d’une hémorragie cérébrale soudaine, et était sous traitement d’urgence. Lorsque je me suis précipité à l’hôpital, la salle était gardée par beaucoup de policiers. J’ai découvert mon mari ; il avait seulement la peau et les os. Ses yeux étaient ouverts mais il ne pouvait pas bouger. Il avait un tube de plastique de 3mm dans la bouche. Avant que je puisse y jeter un coup d’œil attentif, on m’a obligée à sortir de la pièce. Aux alentours de 19:00 heures, le 30 décembre 2002, le personnel de l’hôpital a dit que mon mari était mort et m’a poussée à plusieurs reprises à envoyer son corps à la morgue. Il ne nous a pas permis de rester là et ne m’a même pas permis de nettoyer son corps et de changer ses vêtements. Cependant, il y avait quelque chose de suspect à ce sujet. La déclaration de décès a établi que mon mari est décédé à 20h 02 le 2 janvier 2003. En avril 2003, j’ai reçu les rapports médicaux de mon mari. Sur la première page, il était noté ‘’ sauvetage réussi’’, le 2 janvier 2003. Il y avait une ligne dans la colonne des commentaires qui établissait : ‘’ En janvier 2003, des honoraires d’un expert en diagnostique de 1000 yuans ( hôpital 301 de Pékin) on été demandés.’’

Photos des documents


Le rapport médical a enregistré ‘’ un sauvetage réussi ‘’ le 2 janvier 2003

M. Zhao Yingqi a été envoyé à la morgue le 30 décembre 2002, mais la déclaration de décès a établi que M. Zhao était mort le soir du 2 janvier 2003.
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(La colonne des commentaires du document de l’hôpital montre que les experts de l’hôpital 301 de Pékin sont venus lui donner un traitement d’urgence.span>

‘’Le personnel médical a dit que mon mari était mort 3 heures après qu’il ait été envoyé à l’hôpital. Cependant, l’hôpital m’a demandé de payer plus de 10,000 yuans de dépenses médicales pour le soi-disant traitement deux jours après sa mort.’’

Le 19 mars 2004, ma famille est allée à l’hôpital du peuple pour obtenir une liste des frais médicaux, demander la conclusion de la consultation des médecins par les experts de l’hôpital 301 et un reçu de 1000 yuans pour les dépenses du diagnostique. Le directeur de l’hôpital, Shi Jianwen a expliqué : A coté de celle ci, il y a une autre dépense de 3090 yuans pour les frais médicaux des fonctionnaires vétérans. ‘’Je demandais qui était fonctionnaire vétéran puisque mon mari était seulement un travailleur ordinaire ou une ‘personne sujette à rééducation dans un camp de travaux forcés.’ Le directeur Shi Jianwen a répondu : ‘’Le camp de travaux forcés à promis de payer cette note, parce que le secrétaire du parti communiste de la ville, Chen Man a personnellement ordonné de secourir votre mari à tout prix.’’

M. Zhao Yingqi fut envoyé à la morgue le 30 décembre 2002. A cette époque, était-il réellement mort ou dans un profond coma ? Deux jours plus tard, quel type de ‘’traitement’’ les experts médicaux de l’hôpital 301 de Pékin lui ont-ils donné ? Qui était la personne que le secrétaire du parti communiste de la ville, Chen Man a décrit comme un ‘’ fonctionnaire vétéran’’ qui devait être sauvé à tout prix ?

2.3 M. Chen Aizhong a été incinéré de force après avoir été assassiné

Il y avait une famille heureuse dans le village Canfangying de la municipalité Beixinbao du comté de Huailai, province de Hebei. Tous les membres de la famille pratiquaient Falun Gong. Cela comprenait le père Chen Yunchuan, la mère Wang Lianying, la sœur plus âgée Chen Shulan, le frère plus âgée Chen Aizhong, le plus jeune frère Chen Aili, la sœur la plus jeune Chen Hongping, et Li Ying, fille de Chen Shulan , âgée de 10 ans. Malheureusement, après que tous les 7 membres sont allés à Pékin faire appel pour Falun Gong, le 29 décembre 2000, quatre d’entre eux ont été assassinés et deux d’entre eux sont encore en détention.

Chen Aizhong, 33 ans, fut arrêté à Pékin en 2001 et détenu dans le centre de détention Dongbeiwang. Les gardes dépravés ont arraché ses vêtements et l’ont menotté à un arbre dans l’hiver froid cinglant, puis ont choqué sa tête, son visage, les autres parties sensibles et ses parties génitales avec des matraques électriques de 30 mille volts. La torture a duré 4 nuits et 7 jours, estropiant ses deux jambes. Il fut déshabillé de tous ses vêtements et a été enseveli sous la neige pendant trois heures. Plus tard, les détenus l’ont torturé de façon inhumaine en brisant les os et la peau de ses dix doigts en utilisant des manches de brosses à dents. Ils se referaient à cette torture comme ‘’ouvrir une serrure’’ : D’abord quelqu’un tient le bout de ses deux doigts, puis, ils insèrent un manche de brosse à dents entre deux doigts et le tordent continuellement en force.

Le 12 septembre, Chen Aizhong fut détenu illégalement à 3 ans de travaux forcés bien que ses quatre membres soient handicapés. Il fut envoyé dans le camp de travail forcé Hehuakeng. Les criminels dépravés du camp ont utilisé toutes sortes de méthodes de tortures pour le forcer à cesser de pratiquer Falun Gong. En guise de protestation, M. Chen Aizhong a mené une grève de la faim. Après neuf jours, alors que le gardien vicieux Wang Yulin et quelques autres l’ont nourri de force de façon barbare, le cœur de M. Chen s’est arrêté soudain de battre. Il fut envoyé à l’hôpital du peuple de Tangshan pour un ‘’traitement d’urgence’’ avant d’être assassiné. Le 21 septembre, les fonctionnaires du bureau 610 du comté Huailai, le chef de la municipalité Beixinbao et les policiers du poste de police local sont allé rendre visite à la famille de M. Chen. Ils n’ont pas agi de façon normale, prenant sa sœur plus âgée, Chen Shulan, afin de rendre visite au plus jeune frère ‘’ très malade’’. Après être arrivé au camp de travaux forcés, les dirigeants du camp ont dit : ‘’Chen Aizhong a été envoyé à l’hôpital du peuple de Tangshan dans l’après-midi du 19 après avoir mené une grève de la faim. Il a récupéré au matin du 20 mais est décédé dans l’après-midi.’’

A la morgue, Chen Shulan a découvert que le corps de Chen Aizhong avait, de toute évidence, été nettoyé. Il y avait une trace de sang sur ses lèvres, ses oreilles étaient enflées et semblaient violettes et noires, et l’ouverture de son oreille droite était pleine de sang. Lorsque Chen Shulan a ouvert soudain la fermeture éclair de ses vêtements du haut, et a vu une blessure de 10 centimètres [ prés de 4 pouces] de long sur la partie gauche de sa poitrine. Elle a aussi vu qu’il y avait une grande zone de bleu et de sang, allant de ses épaules jusqu’à son dos. Les malfaiteurs ont été effrayés par son action, et ils l’ont précipitamment poussée hors de la morgue. Chen Shulan a demandé à prendre une photo de Chen Aizhong, à ce moment, pour avoir un rapport d’autopsie d’un expert médical légal et pour avoir les informations détaillées concernant sa mort, par écrit. Yang xx du ‘’Bureau 610’’ a même dit qu’il était illégal de prendre une photo d’un corps mort et a menacé : ‘’ Si le rapport d’autopsie révèle qu’il est mort de maladie alors vous devrez payer les dépenses de l’autopsie et plus de 10,000 yuans pour le traitement d’urgence afin de sauver Chen Aizhong.’’ Le chef adjoint du camp de travaux forcés a dit que Chen Shulan avait seulement besoin de signer un agrément admettant que Chen Aizhong est mort de causes normales suite à des problèmes de reins, et ils pourraient accéder à sa demande. Cependant, même alors que Chen insistait sur ses trois demandes, et refusait de signer la déclaration, le corps de Chen Aizhong fut secrètement incinéré le 23. La famille de Chen ne put même pas avoir ses cendres.

2.4 M. Meng Jincheng a été tué le jour même où il a été jeté dans un camp de travaux forcés

Le pratiquant de Falun Gong, Meng Jincheng était âgé de 50 ans et était du village Jiuzhai, municipalité de Baozidian, ville de Zunhau, province de Hebei. Il était décrit affectueusement par les villageois comme ‘’ un homme d’une grande compassion.’’ Avant de pratiquer Falun Gong il eut de nombreuses maladies. Parce sa famille était très pauvre et n’avait pas d’argent pour voir le médecin, il restait souvent allongé au lit toute la journée. En 1996, il fut porté sur un site de pratique de Falun Gong. Peu de temps après, toutes ses maladies furent miraculeusement guéries.

Cependant, le régime de Jiang persécute Falun Gong en dépit de la joie qu’il apporte à beaucoup de personnes. M. Meng Jincheng a commencé à clarifier les faits aux gens. En novembre 2002, il fut enlevé et emmené dans le centre de détention de la ville de Zunhua, par le ‘bureau 610 ‘ de la ville. Le 7 juillet 2003, Meng Jincheng, qui était en très bonne santé à cette époque, fut transféré dans le camp de travaux forcés Hehuakeng de la ville de Tangshan. Aux alentours de 10:00 heures, le 7 juillet, Meng Jincheng refusa de dénoncer verbalement Falun Gong. En conséquence, sur les ordres du chef de division adjoint, Wang Yuliln, Meng Jincheng fut battu sauvagement par 8 ou 9 criminels. Vers 16:30 heures, Meng Jincheng est tombé inconscient et a été emmené très rapidement à l’hôpital des travailleurs de la ville de Tangshan pour un ‘’traitement d’urgence’’. Il a été assassiné le jour même.

Le jour suivant, le camp de travaux forcés a demandé aux criminels d’écrire un faux témoignage disant que Meng Jincheng souffrait de ‘’ maladies cardiaques, de diabète et de problèmes rénaux’’ et qu’il avait reçu de façon opportune ‘’ un traitement d’urgence’’. Les fonctionnaires du camp de travail ont refusé la demande de sa famille de voir son corps, et elle fut autorisée seulement à voir l’arrière de sa tête, à travers la vitre de verre de la porte. Plus tard, le corps de Meng Jincheng fut incinéré de force, dans la précipitation, sans le consentement de la famille. Après la crémation, le camp de travail a même demandé à sa famille de payer 20,000 yuans pour ses dépenses médicales. Les gens pourraient demander : ‘’Qu’ont-ils fait de Meng Jincheng ?’’

2.5 Le ‘’cadavre’’ de M. Zhang Zhenggang, assistant du centre d’assistance de Falun Gong de la ville de Huai’an, a été disséqué.

Zhang Zhenggang était assistant d’un site de pratique de Falun Gong à Huai’an. Le 2 mars 2000, la police de Huai’an l’a détenu illégalement dans le centre de détention. Durant sa détention, il fut battu brutalement. Le 25 mars, à cause de graves blessures à la tête, il est tombé inconscient et fut emmené dans le premier hôpital du peuple de la ville de Huai’an pour un traitement d’urgence. Dans la nuit du 30 mars, les médecins lui ont fait un électrocardiogramme. Bien qu’étant dans le coma et que son cœur battait faible, il respirait encore.

Après une courte réunion, plusieurs fonctionnaires du ‘’bureau 610’’ ont appelé prés de 40 à 50 agents de police pour protéger les corridors de l’hôpital et la chambre de Zhang Zhenggang. Les fonctionnaires ont menti à la famille de Zhang Zhenggang, disant qu’il était mort et les empêchait d’entrer dans la pièce. La police a forcé le médecin à débrancher Zhang Zhenggang de la bouteille à oxygène et du goutte à goutte de l’intraveineuse, et lui ont injecté une substance non identifiée. Puis, les voyous ont poussé de coté les parents de Zhang Zhenggang et autres patients ainsi que leurs familles, et ont enlevé Zhang Zhenggang de la pièce. Après avoir disséqué son ‘’cadavre’’ sans le consentement de sa famille, ils l’ont envoyé dans le crématorium.

2.6 L’histoire des 20 greffes d’organes gratuites à l’Hôpital du Peuple Provincial de Hunan

Le 28 avril 2006, le journal Xiaoxiang Morning dans la province de Hunan contenait ce gros titre: ‘’ Vingt greffes d’organes gratuites.’’ Il a été rapporté que l’hôpital du peuple de la province de Hunan accomplirait vingt greffes gratuites de foie ou de reins, et les patients devaient simplement appeler la hot line citée pour s’enregistrer. Cet hôpital utilise aussi d’autres médias tels que le journal Changsha Evening et la station de TV Economique de Hunan, pour rapporter les informations. La station de TV a aussi un reportage exploité sur la question. Selon le reportage, l’hôpital du provincial du peuple de Hunan, après un mois d’efforts, a découvert des reins compatibles pour Dong Shufang et ses trois autres membres de famille qui souffraient de maladies rénales depuis plusieurs années et ils ont décidé de bénéficier de greffes gratuites pour les quatre membres de leur famille. Dans l’après-midi du 27 avril, Dong Shufang, âgé de 57 ans fut amené dans la salle d’opération et est devenu le premier patient à recevoir la greffe sans frais. Finalement, les trois autres membres de familles ont reçu des greffes gratuitement. Le même jour, Gong Gaoming, âgé de 33 ans, du village Tiaoma dans le conté Changsha est aussi devenu le bénéficiaire d’une greffe de foie gratuite.

Le département urologique de l’hôpital provincial du peuple de Hunan

Dans la seule ville de Changsha, province de Hunan, il y a trois grands hôpitaux effectuant des greffes d’organes: l’Hopital Xiangya No.3 de l’université de Zhongnan, l’hôpital Xiangya No.2 de l’université Zhongnan ( anciennement l’hôpital No.2 affilié du collège médical de Hunan), et l’hôpital provincial du peuple. A coté de la gestion annuelle de centaines de greffes de reins, les hôpitaux effectuent aussi un grand nombre de greffes multi-organes, des greffes pour des foies entiers, des poumons entiers, des pancréas, des petits intestins, des rates, et des estomacs.

Selon la personne qui a fourni les informations: ‘’J’étais d’humeur sombre après avoir lu ce reportage. Pour un hôpital qui sauve et traite des patients, il semble qu’il n’y a aucune raison à critique. Dans cette société, il est même difficile d’offrir un repas gratuit au pauvre, sans compter quelqu’un qui offre une greffe gratuite de foie ou de rein ! D’où viennent tant de foies et de reins ? Et cela survient avec l’exposition des prélèvements d’organes dans le camp de concentration de Sujiatun sur des pratiquants de Falun Gong vivants et alors que le PCC se précipite pour détruire toutes les preuves de ses crimes. Beaucoup d’hôpitaux se précipitent, en conséquence, vers les opérations de greffes d’organes avant juin. Les nouvelles de ‘’greffes gratuites’’ soulèvent plus de soupçons : ‘’ Est-ce que ceci fait partie des actes criminels du PCC ?’’

Quelques experts pensent qu’un hôpital qui fait de la publicité pour des greffes gratuites tente juste d’attirer les patients. Mais l’offre fait aussi penser aux gens que, peut-être y a t-il des organes en attente et que s’ils ne sont pas utilisés, il se perdent. L’hôpital pensait qu’il pourrait aussi faire une dizaine de greffes gratuites dans un but publicitaire, et aussi d’accumuler de l’expérience.

Selon l’enquête de l’Organisation Mondiale pour Enquêter sur la Persécution de Falun Gong, il y a plusieurs grands camps de travaux forcés et de prisons aux alentours de la ville de Changsha dans la province de Hunan, dont le camp de travail Xinkaipu ( pour hommes) dans la ville de Changsha, le camp de travail pour femmes de Changsha, la prison pour femmes de Hunan (Changsha), le camp de travail Baimalong à Zhuzhou, et la prison Chishan de Hunan (pour hommes). Ces endroits détiennent des milliers de pratiquants de Falun Gong.

Selon l’information publiée par le site Internet Minghui/Clearwisdom, les camps de travaux forcés des régions suivantes sont fortement suspectés de prélever les organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants. Cela inclut le camp de travaux forcés Daqing dans la province de Heilongjiang, le camp de travaux forcés Changlinzi dans la ville de Harbin, le camp de travaux forcés de la ville de Jiamusi, le centre de détention No.2 Hulan dans la province de Heilongjiang, le camp de travaux forcés Masanjia dans la province de Liaoning, le camp de travaux forcés Fengjin dans la ville de Changchun, province de Liaoning, le camp de travaux forcés de Dalian, le camp de travaux forcés de la ville de Tangshan dans la province de Hebei, le camp de travaux forcés provincial pour femmes de Fujian, le camp de travaux forcés Wangcun de la ville de Zibo, province de Shandong, le camp de travaux forcés No.1 de la ville de Jinan, le camp de travaux forcés de Tuanhe de Pékin, l’hôpital de police de Pékin, le centre de détention Qinghe à Pékin, le camp de travaux forcés pour femmes Sanshui dans la ville de Guangzhou, le camp de travaux forcés pour femmes de Dabanqiao dans la province de Yunnan, le camp de travaux forcés Shayang dans la province de Hubei, le camp de travaux forcés pour femmes Anhui, le camp de travaux forcés pour femmes Sichuan, et la prison Litang dans la région autonome de Guangxi.

( à suivre)


Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/5/5/126892.html

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