Le matin du 1er janvier 2001, de grands bus remplis de pratiquants de Dafa ont été dispatchés du Poste de police de Tiananmen. Il n'y avait que des places debout pour la plupart des pratiquants. La police armée se tenait juste à côté des fenêtres à l’intérieur des bus. Il y avait de nombreux bus. Ils ont traversé la ville en direction de la zone rurale.
Aux alentours de midi, après avoir roulé longtemps, les bus sont arrivés à la porte d’un centre de détention avec des murs d’ un blanc de neige. Cela ressemblait à une structure nouvellement construite située dans un ère ouverte. Il n’y avait aucun autre bâtiment à proximité. Les bus ont tourné plusieurs fois après être entrés dans le centre de détention et se sont arrêtés à côté d’un corridor sinueux. Il y avait une dizaine de pièces de chaque côté du corridor.
Tous les pratiquants de Dafa étaient détenus dans ces chambres, environ 20 par chambre. Les chambres directement de chaque côté du hall ont été construites de sorte que les gens à l’intérieur ne puissent pas se voir mutuellement. Environ 30 minutes plus tard, quelqu’un a frappé à toutes les portes et dit : " Les jeunes gens, sortez. " Une jeune pratiquante à l’intérieur de notre chambre, ayant entre 20 et 30 ans, a regardé le reste d’entre nous, s’est levée et a dit " Je suis jeune, je partirai la première. " Pourquoi ont ils appelé d’abord les jeunes personnes ? Cette pensée m'a traversé l'esprit.
Plus tard, nous avons trouvé un morceau de tissus blanc sous le matelas avec écrite dessus la conférence “Enseigner la Loi à la Conférence de Loi de la région des Grands Lacs en Amérique du nord”. Nous avons étudié cette conférence ensemble. Plus tard, nous sommes repartis à bord des bus. Parce qu’il y avait à présent des sièges disponibles, il était manifeste que certains pratiquants étaient restés derrière et qu’il y avait moins de gens dans les bus.
Nous sommes arrivés à Yanqing la nuit tombée, j’ai entendu que plus de 300 pratiquants de Dafa sont allés à Yanqing ce jour là.
Les organes d’un prisonnier sont prélevés en plein jour, puis le corps est incinéré
Par l’ami d’un témoin
Après que j’ai lu les informations sur le prélèvement d’organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants par le PCC au Camp de concentration de Sujiatun, je me suis souvenu de quelque chose dont mon ami a été témoin voici plusieurs années lorsqu’il a assisté à une incinération au crématoire de l’agglomération de Tieling dans la province du Liaoning.
Alors que mon ami et la famille brûlaient du papier ils ont entendu le bruit d’un tir. Ils ont regardé dans la direction d’où le coup semblait être parti et ont vu une personne tomber par terre à l’extérieur du mur est du crématoire. Mon ami a demandé : " Que se passe-t-il ? " Un ouvrier du crématoire a dit que les agents du tribunal exécutaient des prisonniers. Ils ont aussi vu une voiture de police à l’extérieur du mur. Ils ont vu deux personnes qui semblaient être des médecins bondir hors de la voiture et en ouvrir l’arrière. Ils ont jeté le corps (mon ami ne savait pas s’il respirait encore ou non) dans la voiture par la porte arrière. Les deux personnes ont sauté dans la voiture et en ont sorti des outils dont des couteaux et des ciseaux et avec des gestes de mains d’initiés, ils ont rapidement ouvert la poitrine de la personne et prélevé ses organes. Puis ils ont placé le corps dans un sac plastique et l’ont envoyé au crématorium. Peut-être n’en aimaient-ils pas l’odeur, parce qu'une personne a ouvert les fenêtres de la voiture et mon ami a pu voir clairement toute l’opération. Aucune famille n’est venue réclamer le corps
Mon ami a demandé à l’employé du crématoire : “N’est-ce pas terrifiant ?” Ce dernier a répondu : " C’est tout à fait normal. " Il semble donc que ce n’était pas la première fois qu’une telle chose arrivait. L’identité du prisonnier est inconnue.
Date de l'article original : 5/21/2006
Version Chinoise disponible sur :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/5/17/128036.html
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