Le Falun Gong répond aux résultats de l’enquête des USA sur le camp de concentration chinois

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

L'enquêteur de Falun Gong: " Nous allons en Chine pour enquêter ceci nous-mêmes... nous savons où chercher. "

Hier, à un point d’information presse à Washington DC, le porte-parole du département d'État des USA, Sean McCormack, a dit que les enquêteurs des USA n'avaient trouvé aucune preuve de méfait pendant la visite de leur service dans le district de Sujiatun, Shenyang, au nord-est de la Chine - un établissement où il a été détenu, selon un témoin jusqu’à 6.000 pratiquants du Falun Gong et dont des milliers ont été tués pour leurs organes.

M. John Jaw, président de la coalition récemment formée pour enquêter la persécution du Falun Gong en Chine (CIPFG) dit qu'il n'est pas étonné des résultats de l’enquête. Jaw a dit : " Depuis plus de deux semaines, nous avons reçu cette information crédible, en provenance de nombreuses sources que les autorités chinoises avaient déjà détruit toute preuve à Sujiatun. Ils avaient même inondé la région de Sujiatun avec des policiers en civil prétendant être des vendeurs, des résidents de la localité et autre pour tromper les enquêteurs ou les médias qui visitent l’établissement. "

Tandis que Jaw reconnaît que l’investigation des abus des droits de l'homme en Chine est rendue de plus en plus difficile par le régime communiste chinois, il dit que le CIPFG est assuré de trouver de vraies réponses. " Nous allons en Chine pour enquêter ceci nous-mêmes, " dit Jaw, " nous savons où chercher. "

Les investigateurs du Falun Gong sont confiants d’entrer en Chine

CIPFG est une coalition de médias et d’organismes non gouvernementaux qui possède une vaste expérience pour découvrir les détails des abus des droits de l'homme en Chine. A la tête de la coalition l''Association de Falun Dafa et le site Web de Minghui. Minghui reçoit plus de 500 communications quotidiennes en provenance de toute la Chine - peut-être plus que n'importe quelle autre organisation dans le monde. Depuis qu'il est en ligne en 1999, le site Web de Minghui a développé une capacité sans précédent de rassembler des comptes rendus de témoins oculaires de Chine, vérifier leur contenu et même organiser des rencontres sans danger à l'intérieur de la Chine entre des pratiquants du Falun Gong et des bénévoles des droits de l'homme.

Dr Sherry Zhang, porte-parole pour le CIPFG dit qu'ils projettent de mettre la connaissance et les techniques étendues développées par Minghui et d'autres membres de la coalition pour travailler sur place en Chine. " Lundi, des enquêteurs de la coalition de différents pays du monde vont faire des demandes de visas pour la Chine, " a dit Zhang." Nous avons l'information spécifique sur des camps de travail et les camps de concentration de l'ensemble de la Chine. Nous savons où les atrocités ont lieu et dans beaucoup de cas, nous avons des récits détaillés des atrocités se produisant là."

« Si le leadership du régime communiste chinois est le moins du monde sincère quant au fait d' enquêter sur ces atrocités" a jouté Zhang, "il nous laissera entrer dans le pays et garantira notre sécurité "

Zhang dit que Sujiatun était une mise en scène et que les bénévoles du CIPFG ne tomberont pas dedans. " Nous allons couvrir des camps à travers toutes la Chine," dit-elle "et non pas simplement un établissement où les autorités chinoises ont eu un mois entier pour détruire les preuves. "

Les rapports indiquent que des massacres de masse sont dissimulés à Sujiatun et ailleurs

Au cours des deux dernières semaines, le Centre d’Information du Falun Dafa a publié trois communiqués de presse séparés citant l'information crédible en provenance de sources nombreuses que le prélèvement des organes des pratiquants du Falun Gong était pratiqué à grande ampleur, que les autorités chinoises faisaient des heures supplémentaires pour éliminer les preuves des atrocités dans de nombreux endroits, tirant profit de la vente des organes des pratiquants du Falun Gong, avant que la pression internationale montante ne force la pratique illicite à la clandestinité.

Selon la Radio Son de l'espoir , les médecins de plusieurs hôpitaux chinois, ont dit aux journalistes, au téléphone, que les patients qui voulaient une transplantation, devaient venir " tout de suite ",

" Nous devrions avoir beaucoup d'organes avant la fin d’avril, " a dit un médecin à un journaliste de la Radio Son de l’Espoir. " Nous avons accès a un très grand échantillonnage d’organes, mais vous devez profiter de l'occasion. Savez-vous ce que je veux dire ? Après cette période, l'approvisionnement deviendra très réduit. "

Les docteurs ont aussi dit au reporter de Son de l’Espoir que les organes provenaient " d’êtres humains vivants très sains," et que la plupart d’entre eux étaient dans leurs 20e ou 30e année.

Lors des séries d’entretiens téléphoniques menés plus tôt, au début de la semaine passée par des journalistes secrets, des médecins d’hôpitaux à travers huit provinces en Chine, ont confirmé que les organes pour leurs transplantation provenaient des pratiquants du Falun Gong. Beaucoup ont confirmé que les transplantations s'étaient accélérées à un rythme effréné.

"Soyons clairs sur ce qui arrive ici,"a dit M. Erping Zhang, porte-parole pour le Centre d’Information du Falun Dafa : " des pratiquants de Falun Gong sont tués en grands groupes pour fournir un approvisionnement d’organes lucratif, aussi bien que pour tuer tous ceux qui sont témoins de ces crimes. C'est la solution 'finale' du Parti communiste chinoise pour le Falun Gong. "

Traduit de l’anglais au Canada le 17 avril 2006

Version anglaise disponible à :
http://clearwisdom.net/emh/articles/2006/4/17/72080.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.