Le samedi 18 février a eu lieu une exposition décrivant l'histoire du PCC ainsi que le contenu des Neuf commentaires sur le Parti communiste, un éditorial du journal Epoch Times. Les habitants de Malmö ont signé leurs noms en soutien aux huit millions de chinois qui ont quitté le PCC. De nombreuses personnes de différents pays étaient intéressées à obtenir des informations, à discuter avec nous et à donner leur soutien. Ces personnes venaient de pays tels que la Suède, le Danemark, les Etats-Unis, l'Iran, l'Irak, la Bulgarie, la Roumanie, le Liban, la Chine, la Somalie, l'Inde, la République Tchèque, etc.
Dès que les premières affiches ont été exposées, des gens se sont arrêtés et les ont lues, ils ont également lu la bannière et l'ont commenté à haute voix. Des personnes se sont approchées pour prendre de la documentation, pour signer la pétition et prendre les Neuf Commentaires. L'atmosphère qui entourait l'exposition était très calme, même lorsqu'il y avait beaucoup de monde. Beaucoup ont pris leur temps pour lire la documentation.
Un homme et une femme des Etats-Unis, travaillant au Danemark, ont été très touchés par l'exposition et ne savaient rien au sujet de la tyrannie du PCC ni des crimes qu'il a commis. Ils ont été reconnaissants pour cette information et ont donné leur soutien.
Une jeune femme, très concernée elle-même par les problèmes des droits humains dans d'autres pays, a accru sa compréhension au sujet des crimes du PCC et a voulu en savoir davantage. Elle a signé la pétition et a donné son soutien.
Un homme d'affaire a lu la documentation et a dit qu'il était au courant de ces crimes et qu'il ne comprenait toujours pas pourquoi ni comment les gens en Suède pensent encore que le communisme est bon.
Un vieil homme de Bulgarie (un ancien pays communiste) a dit qu'il était bon de montrer la vérité et qu'il comprenait ce qui se passait en Chine. Son père a été emmené dans un camp de concentration alors qu'il était jeune. Il a dit d'un ton amical: "Vous ne pouvez pas comprendre le communisme si vous ne l'avez pas expérimenté par vous-même".
Un retraité de Roumanie a dit qu'il comprenait ce qui se passait en Chine ayant vécu lui-même sous le communisme. Il était déjà contre le communisme lorsqu'il vivait en Roumanie et il est venu en Suède en tant que réfugié parce qu'il critiquait ouvertement le régime et que sa vie était en danger. Par la suite, il a pu également faire venir sa famille en Suède.
Une jeune femme du Liban a voulu expliquer le thème de l'exposition à son ami qui ne parlait pas suédois. Après le lui avoir expliqué, elle nous a remercié et a dit qu'elle traduirait pour son ami. Juste avant de partir, elle a dit: "C'est vraiment bien ce que vous faites, bonne continuation!"
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