La brutalité de la police chinoise choque les citoyens de Singapour

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Depuis que le viol de deux pratiquantes par un jeune policier chinois a été révélé, les pratiquants de Singapour sont allés chaque jour devant l'ambassade de Chine pour protester contre ce crime inhumain et exposer largement l'incident au public. Les habitants de Singapour sont choqués par ce crime, nombre d'entre eux demandent souvent : " Le policier a-t-il été arrêté maintenant ?"

Preuves photographiques de l'extrême brutalité de la police du PCC

Dans une rue fréquentée, les citoyens sont choqués par l'extrême cruauté de la persécution contre le Falun Gong Les uns après les autres, les gens signent la pétition pour soutenir le Falun Gong et condamner la persécution

Une femme âgée lit attentivement un dépliant clarifiant la vérité Une passante prend des photos des affiches devant l'ambassade de Chine à Singapour

Vers 14h00, le 25 novembre 2005, au cours d'un interrogatoire illégal au poste de police de Dongchengfang, ville de Zhuozhou, province du Hebei, le policier He Xuejian (dans la vingtaine) a frappé et violé deux pratiquantes de Falun Gong, Liu Jizhi (51 ans) et Han Yuzhi (42 ans) en plein jour.
Au cours des six dernières années qu'a duré la persécution du Falun Gong, en connivence avec le régime communiste chinois et sous sa protection, de nombreuses pratiquantes de Falun Gong illégalement emprisonnées ont été harcelées sexuellement et violées.
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Le 13 mai 2003, un policier de Chongqing a violé en public Mlle Wei Xingyan, une pratiquante de Falun Gong, étudiante diplômée de l'université de Chongqing.

En octobre 2000, 18 pratiquantes de Falun Gong emprisonnées au camp de travail de Masanjia ont été déshabillées et jetées dans des cellules de criminels.
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Le 14 mai 2001, un policiers de Beijing a frappé et violé une pratiquante de Falun Gong.
En 2001, des policiers de Xingtai, du gang de la province du Hebei, ont violé plusieurs pratiquantes.

Au camp de travail de Dalian, province du Liaoning, les policiers-gardiens ont arraché les vêtements des pratiquantes, ils les ont jetées par terre et leur ont menotté les mains et les pieds dans la forme du caractère chinois « 大 ». Puis ils leur ont fourré du poivre dans leur vagin ainsi que des balayettes ou des brosses. En conséquence, les victimes ont abondamment saigné et ont eu des douleurs extrêmes. Elles ont également souffert de douleurs au dos pendant longtemps.

"Ce genre de persécution inhumaine doit immédiatement cesser. " a dit une pratiquante de 77 ans, Mme Chen, qui vient tous les jours devant l'ambassade de Chine pour protester.

Traduit en Suisse le 21 décembre 2005

Version anglaise disponible à :
http://www.yuanming.net/articles/200512/47749.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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