En avril et mai 2001, le
Le matin du 10 septembre 2001, les fonctionnaires du bureau 610, Liu Guangxu, Jia Lichao et les autres ont menotté les mains et enchaîné les pieds de Mme Zhang et l'ont menée du centre de détention de la ville de Xinji à la maison du frère aîné du mari de Mme Zhang, M. Chen Xipu, (bâtiment 16, Apt.#. 202, de la résidence de Kangsu.). À ce moment-là, M. Chen et son épouse ont été emprisonnés au centre de détention et persécutés. La police a installé une salle de torture dans cet endroit et a violemment battu Mme Zhang. Au début, ils ont frappé ses pieds, ses genoux et ses épaules. Pendant le processus, ils ont cassé plusieurs matraques en bois. Plus tard, ils ont imbibé les matraques d'eau pour les empêcher de se casser. Jia Lichao a ordonné à Liu Guangxu, Chen Kuo, Nie Xiaohua, Wen Xianghui et un homme aux cheveux courts avec des lunettes, de battre à tour de rôle, les jambes de Mme Zhang avec les matraques mouillées.
L'après-midi, après s'être arrêté pour un plantureux repas, ils ont continué à torturer Mme Zhang. D'abord, Liu Guangxu a cogné son visage et son menton et ils l'ont poussée par terre. Ses mains ont été menottées derrière le dos. Ils l'ont soulevée par les mains et ils ont mis une planche en bois sur ses jambes inférieures, avec une personne se tenant de chaque côté de la planche, en sautant sur la planche de toute leur force. La police a eu peur que ses cris perçants de douleur soient entendus et ils ont alors fermé toutes les portes et les fenêtres. Ils ont aussi abaissé tous les rideaux des fenêtres. Durant tout ce temps, Mme Zhang n’a eu aucun repas, ni eau et il lui a été interdit d'utiliser les toilettes.
Ce jour, tout le corps de Mme Zhang était noir et bleu. Le haut des ses jambes a tourné au pourpre-noire, son visage était bleu et pourpre, sa bouche était enflée.
Comme il y avait des marchands de légumes et beaucoup de piétons dans la rue quand la police a sorti Mme Zhang, les policiers ont eu peur que les gens les voient en sa compagnie parce qu'elle faisait peur à voir dans ce si mauvais état. Ils l’ont recouverte d’un tissu à l'intérieur du bâtiment. Dès que leur voiture s’est arrêtée devant l'entrée du bâtiment, ils l'ont secrètement poussée dans la voiture et ils sont partis.
Jusqu’à maintenant, les jambes et les pieds de Mme Zhang sont encore engourdis et insensibles. Sa jambe gauche a une profonde cicatrice. Ceci l'empêche de marcher normalement ou de se tenir debout pendant un laps de temps très court. Elle a des douleurs et elle ne peut même pas soulever un seau d'eau. Une vertèbre est en saillie comme une massue en bois. Sa mâchoire se disloque souvent et est engourdie. Elle a beaucoup de difficulté à manger. Mme Zhang est estropiée de façon permanente.
En avril 2003, Mme Zhang Zhe a intenté une poursuite judiciaire au
Le numéro de téléphone pour les rapports publics de la Procurature de la ville : 86-311-83384976
28 septembre 2005
Traduit de l’anglais au Canada le 18 octobre 2005
Version anglaise disponible à :
http://clearwisdom.net/emh/articles/2005/10/17/65953.html
Version chinoise disponible à :
http://minghui.org/mh/articles/2005/9/29/111448.html
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