Dans la soirée du 29 Septembre, RFI a diffusé le reportage suivant en Mandarin dans les pays Asiatiques
Selon un reportage de l’Agence France Presse le 29 Septembre, une pratiquante de Falun Gong de nationalité Française et son avocat ont tenu une conférence de presse à Paris, informant le public que les autorités judiciaires chinoises ont refusé de collaborer avec leurs homologues français dans l’enquête sur les plaintes légales à l’encontre des dirigeants Chinois accusés de persécuter les pratiquants de Falun Gong. Considérant les détails de la plainte, M. Zhang Jianping, porte parole du Falun Gong à Paris, a fait à RFI l’annonce suivante :
M. Zhang : Cet aprés midi, un avocat français renommé des droits de l’homme, William Bourdon a tenu une conférence de presse dans son bureau. M. William Bourdon a déclaré qu’une cour Française a envoyé une Commission rogatoire internationale (CRI) au département équivalent Chinois, demandant aux autorités Chinoises compétentes de coopérer dans une enquête concernant les rôles joués par Li Lanqing, le ministre Chinois de la culture Sun Jiazheng, le ‘’ Bureau 6-10’’ et la police Chinoise, dans la persécution de Falun Gong. Li Lanqing, ancien vice premier ministre de Chine, avait en charge le ‘’ Bureau 6-10’’, organisation de type Gestapo du PCC qui réprime spécialement Falun Gong.
Cependant, l’enquête demandée a été refusée par les autorités chinoises correspondantes. L’avocat a tenu une conférence de presse pour informer le public de ce fait. Les pratiquants de Falun Gong ont engagé une action en justice contre Sun Jiazheng en Janvier 2004 lorsqu’il a participé aux Années France-Chine. Tous deux ont été accusés de complicité de torture dans la persécution de Falun Gong. Sun Jiazheng, Président du soi-disant Comité d’éthique Internet, a été accusé d’avoir abusé de la technologie Internet pour diffamer et diaboliser le Falun Gong dans le cadre de la culture nationale. Li Lanqing a été chef du ‘’ Bureau 6-10’’, organisation de type Gestapo qui a été spécialement créée à tous les niveaux des agences gouvernementales Chinoise pour persécuter le Falun Gong. Aussi bien Sun que Li sont les principaux responsables de la persécution de Falun Gong.
Par la suite, les autorités judiciaires Françaises ont mené des enquêtes sur ce cas, puis ont envoyé une CRI au département correspondant en Chine, mais la Chine a refusé de coopérer. L’avocat en est arrivé à la conclusion suivante : Premièrement, la coopération judiciaire a été développée entre la Chine et la France, mais l’attitude de la Chine contredit de façon sarcastique la coopération mutuelle. Deuxièmement, pour autant que l’économie soit concernée, la Chine et la France coopèrent bien. Mais sous l’aspect de la coopération judiciaire, la Chine refuse totalement de coopérer, particulièrement lorsqu’il s’agit des questions du Falun Gong. Pourquoi ? Normalement, une fois que deux pays ont atteint un accord judiciaire, un pays, si l’autre le lui demande, doit agir en coopération avec lui. Quelquefois, la coopération judiciaire doit se pratiquer lentement, mais elle doit se faire à tout prix. Cependant, cette fois, la Chine a déclaré qu’il était absolument impossible de mener l’enquête. Selon l’avocat, les autorités judiciaires ont été indignées par l’attitude de non coopération de la Chine. Il a espéré que les autorités judiciaires françaises demandent à la Chine d’obéir à l’accord de coopération judiciaire signé à la fois par la Chine et la France.
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Traduit de l’anglais :
http://en.clearharmony.net/articles/200510/29158.html
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