Demander l’assentiment d’un dictateur revient à négocier avec un tigre pour sa peau (proverbe chinois)

Que feriez vous dans le scénario suivant ? D’un côté de la montagne un groupe de bandits volait et commettait des meurtres. Alors vous avez couru de l’autre côté de la montagne pour appeler à l’aide. Mais les policiers de ce côté de la montagne vous ont dit qu’il était interdit d’appeler à l’aide : « car vous n’avez pas obtenu de permis des services de police, » et par conséquent ils vous arrêtent. Puis, un autre individu a tiré de cela une leçon et fait une demande de permis en bonne et due forme avant d’appeler à l’aide. Mais cet individu découvre que la police n’accorde pas toujours un permis. Quelle serait alors votre réaction ? Personnellement je les maudirais abondamment : « Vous êtes une disgrâce pour la police ! soit vous n’avez pas de conscience, soit vous êtes leur complice ! »

De telles séries d’événements arrivent dans la vie réelle. Pour secourir les compagnons de pratique en Chine qui sont persécutés, les pratiquants de Singapour ont à répétition fait une demande d’autorisation pour faire pacifiquement appel. Pourtant, la police ne leur a pas accordé de permis. Cela signifie-t-il que si la police n’autorise pas les gens à appeler à l’aide, les gens ne peuvent pas appeler à l’aide ?

Deux courageuses jeunes mères sont allés au Parc Merlion pour pratiquer tranquillement. En même temps elles voulaient attirer l’attention sur la persécution du Falun Gong. Le tribunal de Singapour a inculpé les deux jeunes femmes de « rassemblement illégal. » Par conséquent, elles ont envoyé des CD contenant la vérité à propos du cas de suicide de Tiananmen aux cadres de la police. La police a tourné casaque et a accusé les deux jeunes femmes de « posséder et envoyer des CD non approuvés, » et le tribunal a délivré une condamnation sans proportion avec le soi-disant crime. Cette condamnation a été prise en dépit des centaines de CD non approuvés qu’on peut trouver dans les rues. Non seulement ça, la prison a refusé à la mère le droit de nourrir son bébé de six mois. Par conséquent, les jeunes femmes ont protesté par une grève de la faim. Pourtant personne n’y a prêté attention. Tel était exactement le cours des choses au moment où les deux pratiquantes ont été arrêtées.

On ne peut pas s’empêcher de demander, est ce que les lois dures de Singapour servent à protéger les bandits des deux côtés de la montagne ? En vérité, nous croyons que c’est là la raison. C’est l’obscurité que ne peuvent cacher les beaux jardins. Cela ne peut pas cacher le douloureux et mauvais cauchemar, que les citoyens là-bas doivent souffrir chaque jour.

La famille Lee dirige Singapour. La prospérité et le pouvoir politique à Singapour sont entre les mains de la famille Lee. Ils n’autorisent pas de liberté de la presse, interdisent quoi que ce soit qui aille à l’encontre de la volonté de la famille Lee. Les autorités examinent le courrier et les lettres venant des pays étrangers, ainsi que les courriers électroniques à l’intérieur du pays. Toute discussion qui n’est pas « officiellement sanctionnée » est surveillée et censurée. Dans le bilan 2003 de la liberté dans le monde, parmi 166 pays, Singapour arrivait le 144ème, trois rangs plus loin que le Zimbabwe.

Le système legal à Singapour est en fait un “système caché pour ceux qui sont au pouvoir.” Si vous avez de vrais désaccords, il y a des gens qui utiliseront les lois existantes contre vous. Ils manipuleront la vérité et vous traîneront devant la justice. Vous serez alors pénalisé avec une amende de 500.000 US$, visant à vous ruiner vous et votre famille. Les histoires de Xu Shunquan, Deng Lianghong, Xiao Tianshou, et Xie Taibao en sont des exemples.

Si vous voulez la permission de vivre libre de ce dictateur, alors n’est-ce pas comme négocier la dépouille d’un tigre avec son propriétaire.

Vous demanderez peut-être, le Falun Gong n’a rien à voir avec les affaires intérieures de Singapour. Alors pourquoi la police de Singapour veut-elle se mêler du Falun Gong ?

En 1999, avant que le parti communiste en Chine n’ait persécuté le Falun Gong, il était populaire et bien accepté à Singapour. Cependant après 99, le gouvernement singapourien a suivi les ordres du PCC et placé des barrages partout où les pratiquants soumettaient des demandes d’activité. La raison est très simple : L’un est l’étoile en déclin et l’autre le fervent. Tous deux souffrent de la même illusion et sont donc partenaires dans le crime. L’un est le prédateur, tandis que l’autre est le collaborateur.

En 2004, Lee Hsien Loong, le Premier ministre de Singapour, a félicité Den Xiaoping pour le massacre de Tiananmen le 4 juin. Il a dit qu’il tuerait 200.000 étudiants en échange de 20 ans au pouvoir. Il est manifeste que la famille Lee approuve le massacre de la place Tiananmen et la question du Falun Gong, car ils soutiennent aussi la dictature fasciste du parti communiste. Tout ce qui arrive n’est basé que sur les intérêts personnels et la nature du dictateur. Il est pleinement conscient qu’au moment où la dictature du Parti communiste en Chine continentale va s'effondrer, la dictature de la dynastie Lee se désintégrera aussi. Pour cette raison, il doit aller contre la droiture et la population chinoise du monde. Il doit renverser blanc et noir, critiquer sans fondements, et suivre la persécution du Parti communiste en réprimant les pratiquants de Falun Gong locaux.

Aujourd’hui, le Parti communiste est en bout de course, et son effondrement est imminent. Si la famille Lee reconnaît cette tendance à temps, ils peuvent échapper à leur chute, ils peuvent renverser leur destinée et rejoindre la communauté mondiale. Le PCC qui persécute authenticité, compassion et tolérance peut-il représenter les actions de l’espèce humaine ? « Appeler à la fin de la persécution, ramener la justice pour les gens, sauver les gens, cela ne devrait-il pas recevoir le soutien du gouvernement de Singapour ? » La police ne devrait-elle pas permettre et soutenir cette activité ?

Si Singapour ne veut pas laisser errer le tigre, et aider l’Empereur à réprimer les gens, alors veuillez libérer ces deux femmes respectées le plus vite possible. Ce sont elles qui représentent la conscience et le futur de Singapour.

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