Le Rêve - poème de Mengling (10 ans)

Le Rêve

Magie de l’aube du temps il y a si longtemps,
Alors que notre monde commençait à peine
Là furent produites la lumière et la joie
Créatures majestueuses et bêtes vaillantes gagnaient une gloire immortelle
Là entre les nuages de satin blanc
Etait un monde oublié par le temps
Un endroit aux vallées toujours vertes et aux courants ondulants
Où le soleil se lève et sourit
En dansant sur la terre pure et bénie
Où le cri des mouettes fait écho
Au dessus du murmure de la mer
Où les vagues envoyaient un million de diamants dans l’air
En se brisant doucement sur le rivage
L’air est clair et frais comme la mer
A la rencontre du ciel et de l’eau
Où les vagues deviennent douces
L’horizon a le rouge d’une rose
Et là le soleil dit bonsoir
Tandis que sa sœur la lune prend la relève
Les étoiles qui scintillent innocemment dans le ciel nocturne
Brillant sur le monde en-dessous
Des bêtes magiques de toutes formes et tailles habitent la terre
Un cerf d’une blancheur de lait aux jambes si graciles
Que deux doigts semblent pouvoir les briser
Le lion digne de tous les honneurs dont la chevelure était d’or pur
Et l’éclat de ses yeux comme l’or dans une fournaise
Toute ma vie j’ai cherché une telle terre
Mais dans mon cœur je l’ai déjà trouvée
J’ai regardé en arrière alors que le rêve continuait

[Traduit de l'anglais]
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