M. Tang Wenwu est un retraité de l’Administration de l’Aérospatial de la province de Sichuan. Parce qu’il est un pratiquant déterminé, il a été brutalement persécuté. Depuis 2001, sous les ordres du Poste de police de la route Renmin, le Bureau résidentiel de rue de Yanshikou, et l’Administration de l’Aérospatial de Sichuan, il a été placé sous arrestation à domicile et son salaire suspendu. Huit personnes ont été assignées à la surveillance de sa maison jour et nuit. En conséquence de cette persécution à long terme, il s’est effondré mentalement et reçoit à présent un traitement dans un hôpital.
M. Tang vit au N°1 de la rue Xinguanghua dans la ville de Chengdu. Avant sa retraite, il souffrait de plusieurs maladies. Son allergie cutanée chronique était particulièrement douloureuse. Il était allergie à toutes sortes de nourriture et avait la diarrhée, la fièvre et des éruptions couvrant tout son corps s’il mangeait ce qu’il ne fallait pas. Pendant plusieurs dizaines d’années il n’avait trouvé aucun traitement qui puisse améliorer sa condition. Après avoir commencé la pratique du Falun Gong en 1997, ses symptômes physiques ont graduellement disparus.
En juillet 1999, le régime malfaisant de Jiang Zemin a commencé à persécuter le Falun Gong. Même sous la pression, M. Tang Wenwu a refusé de renoncer à sa croyance en Falun Gong. Début 2001, sont ancien employé l’a fait placer sous arrestation à domicile, et ce jusqu’à récemment. Ils ont suspendu son salaire, ne lui versant plus que 210 yuan par mois, ce qui était loin de couvrir ses factures. Ses allocations médicales ont également été suspendus. Son ancien employeur a assigné huit personnes à sa surveillance chez lui, s’il voulait sortir il devait demander la permission à son ancien employeur ainsi qu’au Bureau 610 résidentiel de Rue de Yanshikou. Si l’un des deux partis refusait il ne pouvait pas sortir. Lors d’une permission, ses « gardes » l’ont suivi, même alors qu’il rendait visite à ses enfants.
In September 2003, following a plot by Li Daolin, his former employer's supervisor, his colleagues tricked him into a company office. As soon as he sat down, eight people rushed in and carried him downstairs from the third floor. They put Mr. Tang into a police car. A physical struggle ensued, and he suffered a two-inch long bloody cut on his back. They sent him to a brainwashing class organized by officials in the Jinjiang District of Chengdu City. To protest the illegal detention, Mr. Tang went on a hunger strike. One week later he was released.
En septembre 2003, suivant un complot de Li Daolin, l’ancien superviseur de son employeur, ses collègues lui ont tendu un piège le faisant venir dans un bureau de l’entreprise. Dès qu’il s’est assis, huit personnes se sont précipitées et l’ont porté du troisième étage jusqu’en bas, ils ont mis M. Tang dans une voiture de police. Une lutte physique a suivi, et il a eu une entaille sanglante longue de dix centimètres sur son dos. Ils l’ont envoyé dans une classe de lavage de cerveau organisée par des fonctionnaires du district de Jinjiang de la ville de Chengdu. Pour protester de la détention illégale, M. Tang a fait une grève de la faim. Il a été relâché une semaine plus tard.
En juin 2004, M. Tang a voulu voir son petit-fils nouveau-né à l’hôpital. Les gardes le lui ont refusé et l’ont fait tomber par terre. Son plus jeune fils est rentré de l’hôpital après avoir vu sa femme et a trouvé son père étendu au sol. Lorsqu’il a demandé aux gardes pourquoi son père était couché par terre, les gardes ont aussitôt appelé la police. Plusieurs policiers sont venus accuser le plus jeune des Tang d’ « obstruction d’affaires officielles. » Ils l ‘ont battu au sol et lui ont même marché dessus. Ils ont tenté de l’envoyer au poste de police local mais ont fini par y renoncer.
Durant les cinq dernières années de persécution et d’intimidation brutales, M. Tang a constamment été harcelé en vue de lui faire écrire une déclaration de garantie de renoncement au Falun Gong. La pression était intense. Finalement, à la fin mars 2005, M. Tang a souffert une dépression nerveuse. Après quoi, le personnel du Bureau 610 résidentiel de rue de Yangshikou a personnellement voulu l’envoyer à l’hôpital d’Ankang, un asile pour malades mentaux. Ses enfants s’y sont opposés. A la mi-avril, sa famille l’a envoyé à la Clinique psychiatrique de l’Hôpital à l’Université de Sichuan. Même alors la persécution ne s’est pas arrêtée. Les autorités l’ont recherché partout. Après qu’ils l’aient découvert, ils ont envoyé des gens à l’hôpital et demandé au docteur de le traiter à leur manière. Heureusement les médecins ont absolument rejeté leur requête illégale.
Numéros de téléphone des personnes responsables :
(Composez le code du pays et le code de la région, 86-28 avant les numéros d’appel locaux, mais ne composez le numéro du pays qu’avant un numéro de téléphone cellulaire.)
Li Daolin: director, Sichuan Aerospace Administration, 86679957 (Office), 86731075 (Home), 13608094038 (Cell)
Yuan Zongqiang: 86654115 (O), 86727059 (H), 13908017721 (C)
Li Zhicheng, general manager, Sichuan Aerospace Science & Technology Development Company: 86674969 (O), 86722159 (H), 13808092765 (C)
Liu Changgui: 86655505 (O), 86661815 (H)
Liang Jianbang: 86663616 (O), 86655319 (H)
Qin Chaoying: 86711569 (O), 86726423 (H), 13608176170 (C)
Lin Fayu: 86715250 (O), 86723226 (H)
Shi Jian: 13882083235 (C)
Le 3 mai 2005
Version chinoise disponible à:
http://minghui.org/mh/articles/2005/5/4/101085.html
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