Dans le courant du mois de février 2005, je fus mise au courant par une pratiquante de la Guadeloupe de l’exposition d’un stand de Dafa à la Martinique à l’occasion de la grande foire commerciale pour le début du mois de mars, du 1er au 6.
Mon cœur me disait d’y aller, des milliers de personnes vont venir la visiter, les pratiquants de la Martinique ont besoin d’aide. Finissant un stage professionnel, attendant mon salaire, je me renseignais sur les tarifs et je décidai des dates, ce serait du 2 au 7 mars.
L’argent se fait attendre, les promotions s’envolent, les billets sont chers. Il faut que j’y aille, Dafa est bon, je décide donc un matin de prendre un billet d’avion par téléphone, et là, ho surprise l’agence me fait bénéficier d’une promotion, je donnai mes dates du 2 au 5 mars !?
Pourquoi le 5 mars ?, ma pensée me disait de comprendre que quelque chose était programmé ce jour là. Je n’y pense plus, je pars enfin !
Accueillie par les pratiquants de la Martinique, les aidant à informer et à clarifier, des échanges enrichissants, rencontre avec des hindous des Indes, du Cashmire, le thème étant sur l’Inde, leurs clarifiant en anglais et leurs apprennant à faire des fleurs de lotus en papier de couleur, les aidant un peu dans leurs ventes ou beaucoup avaient des difficultés avec l’argent Européen.
Je montrais aux gens qui passaient l’art du pliage de la fleur de lotus, beaucoup s’arrêtaient, s’installaient et j’en profitais pour leurs transmettre un message de paix et clarifier la vérité, et leur faire découvrir la pratique du Falun Gong.
Nous sommes le 5 mars, il me faut repartir !!, Arrivée dans la salle d’embarquement, je me sens soudain guidée vers un groupe de personnes, mon regard se pose sur l’une d’elles, oui je le connais, c’est bien …? Vous êtes bien ? Oui Madame, Monsieur Dieudonné (humoriste français réputé en tournée en Martinique ou son séjour s’est très mal passé, je l’avais lu par 2 fois dans le journal local).
Je me suis approchée de lui. ça tombe bien, j’ai quelque chose pour vous, je lui tends une brochure, lui clarifie la vérité, et tout en m’écoutant il s’arrête sur les photos de la persécution et s’écrie « qu’est-ce qu’il lui font ?, qu’est-ce que c’est cette horreur ? », intéressé il reprend une deuxième brochure, et à ce moment un employé vient le chercher pour le placer dans l’avion. Il fallait faire vite, lui donner la brochure de Paris, ça y est Dieudonné avait tout en main.
Un sourire et un merci me furent envoyés, ma mission était remplie, mon cœur était joyeux.
Ma compréhension est que par 2 fois Maître m’avait fait penser à lui par les journaux, puis le retour du 5 mars au lieu du 7, et même sur la piste de décollage j’ai continué à clarifier ainsi que dans l’avion.
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