Les dix-sept et dix-huit mai, deux simulations vivantes des tortures utilisées dans les prisons et les camps de travail chinois sur les pratiquants de Falun Gong ont été données à voir dans le quartier chinois de Paris, puis sur l’esplanade des droits de l’homme au Trocadéro. Le 20 juillet marquera cinq ans d'une persécution d’une inimaginable cruauté pour forcer les pratiquants en Chine à renoncer à leur croyance.
Cinq parmi les nombreuses méthodes de torture utilisées ont été représentées dont la torture consistant à gaver le pratiquant de force en introduisant violemment un tube de plastique dans le nez, les chocs au bâton électrique, insérer des tiges de bambou sous les ongles, et enfermer le pratiquant dans une minuscule cage de fer. Deux des pratiquantes qui ont rejoué les scènes avaient fait l’expérience directe de la torture et des mauvais traitements en Chine.
Beaucoup de gens ont pris conscience de la réalité de la cruauté de la persécution du Falun Gong, initiée en 1999 par Jiang Zemin et qui le 20 juillet aura duré cinq ans. Des démonstrations des exercices ont été faites simultanément révélant le contraste entre la cruauté des scènes de torture et le champ paisible et serein des exercices. Les visages des spectateurs étaient graves, on pouvait voir couler des larmes sur les joues de certains, d’autres se taisaient, beaucoup sont venus parler avec les pratiquants interrogeant sur le pourquoi d’une telle brutalité.
Beaucoup de gens ont filmé en vidéo et pris des photos et certains ont voulu en apprendre davantage sur la pratique et ont même appris les exercices sur le champ.
Une pétition a circulé appelant à traduire Jiang Zemin en justice et nombreux sont ceux qui sont spontanément venus signer.
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