Lors même de la veillée pacifique mondiale, on rapporte quatre autres cas de pratiquants de Falun Gong torturés à mort

Communiqué de Presse.
Pour diffusion immédiate - 1/16/2002
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24 morts confirmées ces 26 derniers jours

16 Janvier 2002 (Centre d’Information Européen de Falun Dafa) – Alors que pratiquants de Falun Gong et non-pratiquants tenaient ces derniers jours des vigiles dans plus de 30 villes du monde, le Centre d’Information de Falun Dafa à New York a reçu les rapports de quatre nouvelles morts suite aux tortures brutales de la police Chinoise. Ce qui amène à 24 le nombre de morts confirmées au cours de ces seuls 26 derniers jour, tandis que la persécution menée par le régime de Jiang Zemin continue.
Jiang Laixiu, 60 ans, mort de la torture en cellule d’isolation.

M. Jaing Laixiu, un pratiquant de soixante ans de la province de Hunan, est mort de torture et de mauvais traitements alors qu’il était détenu dans le Centre de détention du Conté de Qiyang, selon des sources intérieures à la Chine. M. Jiang était enfermé dans une cellule sans fenêtre et est mort de tortures répétées par la police au centre de détention.

Tong Guijie, battu quasi jusqu’à la mort, est décédé alors que la Police le transportait dans une ville éloignée.

Tong Gujie a été arrêté par le Bureau de la Sécurité Publique dans sa ville natale de Baicheng, dans la Province de Jilin, pour avoir suspendu des banderoles le soir du 11 Décembre 2001. Peu après, Tong a commencé une grève de la faim pour protester contre son arrestation illégale et les abus qu’il endurait en prison. Le 28 décembre 2001, les ravisseur de Tong l’ont battu jusqu’à ce que les signes vitaux soit extrêmement ténus. Au lieu d’emmener Tong à l’hôpital, toutefois, la police l’a transféré dans la ville éloignée de Changchun, dans une tentative apparente de se soustraire à la responsabilité de sa mort imminente. Tong Guijie n’est jamais arrivé à Changchun, il est mort en route le 28 décembre 2001.
Gao Ya, battue à mort par la police

Gao Ya, une pratiquante de Falun Gong de Changchun, province de Jilin, a été battue à mort alors qu’elle était détenue par la police. Les rapports de la mort de Mme. Gao ont fait surface lorsque un pratiquant a surpris la police en train de discuter de son cas. Les autorités au premier département de police contactés par les reporters du FDI ont nié avoir connaissance de l’existence de Mme Gao. Dans l’enquête qui a suivi, un officiel a confirmé sa mort en prison mais a refusé de dévoiler de plus amples détails.
Li Jing dong, 41 ans, morte après des coups répétés, torture et nourriture forcée;. Li Jing dong, pratiquant de 41 ans de la ville de Pingdu, dans la province du Shandong, est allée à Beijing le 3 Novembre 2001 pour faire appel pour son droit à pratiquer le Falun Gong. Il a été arrêté par la police et après avoir été sévèrement battu, a été renvoyé dans sa ville natale de Yushan. Là selon des sources intérieures à la Chine, la police locale l’a menotté à un arbre et l’a fouetté avec des câbles électriques tressés.

Le 6 novembre, Mr Li a commencé une grève de la faim pour protester contre l’arrestation illégale et la torture. A un moment il a demandé à ses ravisseurs, « Comment serait-ce un tord d’être une bonne personne, suivant les principes de Vérité Compassion, Patience ? » La police a répondu en le nourrissant par intubation nasale directement dans l’estomac, un procédé communément administré par des gardes non entraînés ou même d’autres prisonniers.

Le 12 novembre, Mr li a été transféré au Bureau de la Sécurité Publique de Pingdu. Trois jours plus tard, ses proches ont été notifiés de venir chercher son corps. En changeant ses vêtements, la famille qu’il laisse derrière lui, a découvert des blessures sur tout son corps.

Adam Montanaro, porte-parole du Centre d’Information de Falun Dafa de New-York a remarqué, « les pratiquants ont été battus et tués simplement pour avoir distribué des tracts, déroulé des banderoles au coin des rues. Ils ne font que révéler autour d’eux la vérité sur leur pratique et sur la persécution, et ils sont tués pour cela. Cela va directement à l’encontre de la propre constitution de la Chine, qui garantit la liberté d’expression, et est une violation grossière de la loi internationale des droits de l’homme. »

Il y a des détails vérifiés sur 347 morts depuis le début de la persécution en Chine en 1999. Des officiels du gouvernement en Chine, rapportent cependant que le nombre de morts dépasse bien les 1600. Plus de 100 000 ont été détenus, avec plus de 20 000 condamnés aux camps de travaux forcés sans procès.

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