Surmonter mes anciennes notions d’esthétique et faire l’expérience du Pouvoir de Falun Dafa

Je suis professeur de calligraphie chinoise. J’ai toujours ressenti une crainte venant du fond de mon cœur. Cette crainte sans nom semblait contrôler mon pinceau chaque fois que je pratiquais la calligraphie cursive pour améliorer mon habileté. Je pratiquais souvent la calligraphie avec persévérance et alors je levais les yeux vers le ciel étoilé en me demandant « Pourquoi ne puis-je pas éliminer ma crainte sans nom ? Pourquoi suis-je incapable de résoudre ce problème ?

Le Maìtre a dit :

La calligraphie cursive est écrite dans un état où la personne se complait dans son côté négatif et où ce sont ses notions qui dominent. Je pense que c’est bien d’écrire soigneusement et clairement. Depuis que les caractères sont descendus des Divinités vers les êtres humains, écrire ainsi, c’est être respectueux envers les Divinités. Je peux seulement vous dire les vérités de la Loi. Vous pourriez dire : « J’aime simplement le style cursif, et ce que j’ai pratiqué, c’est le style cursif. » A présent, je ne suis pas concerné par ce que font les gens ordinaires, mais les disciples de Dafa doivent être dans la rectitude.
(De « Enseignement de la Loi lors de la Discussion sur la Création des Beaux-Arts »)

Cependant, je sentais que je devais imiter le style cursif sauvage de Xu Wei (1521-1593 ap. J.-C. , calligraphe renommé de la Dynastie Ming) pour guider le rythme et le tempo de ma callligraphie. J’ai parlé de ce problème à plusieurs amis pratiquants, mais je ne pouvais toujours pas me mettre dans la tête d’arrêter la calligraphie chinoise de style cursif. Je savais que j’avais un attachement à ce style de calligraphie, mes notions (d’esthétique) d’alors continuaient à contrôler ma pratique de calligraphie. Ce n’est qu’après avoir lu un article d’un ami pratiquant concernant l’immense pouvoir que le Falun Dafa confère aux pratiquants de Dafa que j’ai réalisé que je devais couper le lien avec la calligraphie chinoise de style cursif.

Alors, quand j’ai repris le pinceau la fois suivante, j’ai décidé fermement de me détacher des notions des gens ordinaires et de me conduire comme un pratiquant. En une fraction de seconde, un fort sentiment de droiture a rayonné en moi. A ce moment, j’ai été capable de repousser la crainte et j’ai commencé à écrire avec des mouvements de pinceau solennels, paisibles et calmes. J’ai ressenti la compassion de Dafa et j’ai trouvé mon propre rythme et mon propre tempo de calligraphie qui sont justes et appropriés. Maintenant, je sens que je contrôle vraiment chaque trait de pinceau avec mon soi véritable et mon vrai cœur. Je suis enfin devenu le maître du pinceau et non son esclave. J’en suis profondément touché.

Dans le passé, j’étais un pratiquant seulement dans les domaines de la Loi que j’avais choisis de suivre. […] A moins d’être attentif à ce que la moindre pensée se conforme à la Loi, nous pouvons ne pas être capables de nous gouverner avec notre conscience principale. J’ai le sentiment que l’expérience de vaincre cette interférence est un test véritable pour voir si j’ai une foi solide dans les paroles du Maître dans l’ « Enseignement de la Loi lors de la Discussion sur la Création des Beaux-Arts ».

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