Le 7 juin les pratiquants de l'Ouest de la France ont installé leur stand d'information place Napoléon à La Roche-sur- Yon (Vendée).Après avoir déployé posters et totems, ils ont distribué des dépliants et recueilli des signatures. Toute la journée les bus faisant régulièrement le tour de la place sont passés devant le stand attirant l'attention de nombreux passagers qui sont revenus plus tard en apprendre davantage et signer la pétition.
Fondée par décret impérial le
Dako qui passait place Napoléon en vélo, s'est arrêté pour lire les panneaux. Il était stupéfait d'apprendre que le PCC tue des pratiquants de Falun Gong pour vendre leurs organes.
Il a dit : " Je viens d'arriver d'Algérie, là-bas j'ai vu des enfants morts ainsi que des clochards et des handicapés mentaux à qui on avait prélevé des organes, c'est le fait de mafias, c'est horrible. Mais là, c'est un gouvernement qui tue son peuple, comment est-ce possible, c'est vraiment difficile à imaginer, dans quel monde vit-on maintenant ? Ça fait peur d'entendre ça. Merci pour vos informations, je n'étais pas au courant. Je vais signer la pétition ".
Un militaire est venu signer la pétition. Il a dit qu'il savait ce qui se passait en Chine et que le PCC est responsable d'un génocide sans précédent. Il a dit que sa belle-mère (épouse de son père) est chinoise, elle ne veut pas entendre de critiques sur le PCC, même si elle sait au fond d'elle ce que fait le PCC, elle ne veut pas en parler. Elle a peur des représailles sur sa famille qui est en Chine. Le militaire a pris de la documentation pour ses parents.
Un couple venant de s'installer dans la région après 30 ans passés à La Réunion, a dit qu'ils étaient déjà au courant de cette persécution en Chine, que leur fils travaille depuis de nombreuses années avec la Chine. Le fils leur a dit qu'il n'y avait pas de liberté là-bas, que tout était contrôlé, que beaucoup de choses étaient cachées. Ils ont signé la pétition.
Des parents avec leurs trois enfants ont écouté attentivement les explications sur la persécution et les prélèvements forcés d'organes, ils savaient que le régime chinois est une dictature mais ne réalisaient pas à quel point le PCC faisait souffrir son peuple. Ils ont dit qu'il ne fallait rien attendre d'une telle dictature. L'une des filles qui est en 3e année de médecine, était choquée d'apprendre que des médecins en Chine puissent tuer des personnes innocentes pour prélever les organes. Ils ont signé la pétition.
Une pratiquante a rencontré un homme blessé au bras. Il lui a dit qu'il était pressé, mais après avoir écouté les explications, il a signé la pétition. Peu après, il a appelé les quatre garçons qui étaient à côté d'eux et leur a demandé d'écouter la pratiquante expliquer pourquoi elle collectait des signatures ici, puis il est parti. Les 4 garçons ont écouté en silence. Après leur avoir dit la vérité et leur avoir remis des dépliants, la pratiquante leur a conseillé de partager ces infos avec leurs parents, professeurs et amis. Lorsqu'elle leur a demandé si l'homme était leur professeur, ils ont répondu qu'ils ne le connaissaient pas,....incroyable.
Il y a beaucoup de gens qui ne connaissent pas la vérité sur les prélèvement forcé d'organes en Chine, ils viennent signer quand ils l'apprennent .
Deux dames de la Roche sur Yon sont venues prendre des informations sur la pratique, elles veulent apprendre les exercices, elles ont signé la pétition disant que c'était la moindre des choses qu'elles pouvaient faire pour contrer cette injustice et cet ignoble comportement du PCC.
Il y avait à proximité un autre stand, de soutien au peuple palestinien. Plusieurs manifestants pour la Palestine et pour le respect des Droits de l'homme sont venus signer la pétition.
Une dame de ce groupe était stupéfaite d'avoir ignoré jusque là la situation en Chine. Elle a signé de suite la pétition.
Karim d'Amnesty international à la Roche-sur-Yon, manifestait aussi pour la Palestine. Il portait un coupe vent du même jaune que les T-Shirt Falun Dafa. Il est venu rencontrer les pratiquants au stand, croyant qu'ils faisaient partie de leur groupe. Les pratiquants lui ont expliqué les raisons de leur venue à La Roche sur Yon de par leur engagement envers les principes de Vérité-Bonté-Tolérance de leur pratique et la cruauté avec laquelle le régime chinois avait pris pour cible leurs homologues en Chine...
En apprenant qu'un film documentaire sur les prélèvements forcés d'organes en Chine serait diffusé prochainement dans la région, il a été vraiment interpellé et intéressé.
Il a pu communiquer aux pratiquants une adresse d'un cinéma de la région qui recherche justement ce type de films documentaires. Il a dit : « le directeur du cinéma est une personne très impliquée sur les droits de l'homme ».
Grâce à cette rencontre la diffusion du film pourra être élargie prochainement.
Deux cent quarante personnes ont signé la pétition durant cette journée.
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