Un stand de Falun Dafa dans le vieux Quimper et son lot de questions et d'histoires touchantes

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Le 31 mai les pratiquants de l'ouest de la France ont tenu un stand de clarification pour la première fois à Quimper. Ils ont installé un barnum Place Terre au Duc, près du marché, ont déployé affiches, totems et panneaux de clarification, distribué des flyers et fait signer des pétitions.

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Le stand du Falun Dafa Place Terre au Duc

Quimper, Préfecture du Finistère (Bretagne) est une ville d'Art et d'histoire de 64530 habitants. Ses maisons en colombages dans le vieux Quimper, les Faïenceries de Quimper de réputation mondiale, le petit train paré des couleurs et motifs bretons inspirés par les modèles de cette faïencerie, les spécialités bretonnes, attirent de nombreux touristes chaque année.

Béatrice, de Concarneau, avait commencé à pratiquer quelques années auparavant après avoir rencontré, lors d'un covoiturage, une pratiquante de passage dans la région, puis, avait perdu la motivation de pratiquer et avait arrêté jusqu'en février 2025. Lorsqu’elle a su qu’il y avait une activité à Quimper, elle était très contente et voulait apprendre à faire des fleurs de lotus.

Elle était là dès que le stand a été installé. Elle a fait deux fleurs de lotus en partageant son expérience. Elle a aussi fait quelques exercices avec les autres pratiquants. Elle a raconté qu’elle a recommencé le Falun Dafa parce qu’elle n’allait vraiment pas bien suite au décès de sa mère et aux difficultés rencontrées pour la vente de son appartement. Dès qu'elle a pris sa retraite elle a recommencé à pratiquer les exercices et elle a tout de suite senti une purification dans son corps. Ça la faisait éructer quand elle pratiquait les premiers jours et elle allait de mieux en mieux. En une semaine, tous ses symptômes ont disparu. Elle a aussi commencé à lire le Zhuan Falun.

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Béatrice et André

André, un retraité habitant à Plomelin (juste à côté de Quimper), s’est arrêté devant le totem expliquant le Falun Dafa, ce qui l’a tout de suite intéressé. Quand une pratiquante lui a proposé de s’asseoir pour faire une fleur de lotus, il a accepté avec joie. Il a raconté que le Falun Dafa l’avait interpellé parce qu’il a fait du tai-chi avec sa fille pendant un an et demi. Pendant qu’il faisait sa fleur de lotus, il a appris beaucoup de détails sur la persécution du Falun Dafa et a été touché d’apprendre qu’une pratique aussi bonne pouvait être persécutée de la sorte.

Il aimerait bien se joindre à une pratique de groupe, alors il a laissé ses coordonnées à la pratiquante pour rester en contact avec elle. Il lui a écrit le lendemain pour la remercier : « Merci pour ce moment privilégié ! »

Un homme est venu spécialement pour apprendre les exercices, il avait déjà pratiqué tout seul par internet et était heureux de pouvoir rencontrer des pratiquants venus de toute la région ouest. Il aimerait bien qu'il y ait un point de pratique à Quimper.

Une cycliste s'est dirigée directement vers le stand de Falun Dafa, a déposé son vélo, et a demandé de suite à apprendre les exercices. Elle a senti que cela lui apportait de l'énergie et elle avait plaisir à pratiquer. Elle a signé la pétition.

Un couple qui passait ne croyait pas cela possible en lisant les panneaux sur les prélèvements forcés d'organes. La femme a dit qu'elle n'y croyait absolument pas, que tout cela était des mensonges, que ce n'était pas possible et elle était même très remontée. Deux pratiquantes leur ont parlé avec beaucoup de bienveillance et leur ont montré les enquêtes qui avaient été faites sur ces persécutions et ces prélèvements forcés d'organes. D'un seul coup leur expression a changé et ils ont demandé de la documentation pour pouvoir faire des recherches de leur côté et vérifier les dires des pratiquants. Ils sont partis avec les documents en disant : « on va faire notre propre enquête, c'est inimaginable de faire des choses pareilles, pourquoi les médias n'en parlent pas, vous nous avez appris quelque chose aujourd'hui, c'est monstrueux, merci beaucoup pour vos explications et pour votre documentation ».

Aïcha a dit qu'elle avait été très très émue en voyant le stand, elle sentait que ça lui rappelait quelque chose mais elle ne savait plus trop quoi. Puis subitement, quand elle a vu une jeune fille en méditation sur un flyer, ça lui a rappelé une peinture qui l'avait profondément bouleversée, c'était lors de l'exposition Zhen Shan Ren qui avait eu lieu à Quimper 10 ans auparavant. Suite à cette exposition elle avait appris les exercices toute seule sur internet mais par la suite elle s'était arrêtée. Elle a dit qu'actuellement elle était dans une période difficile et qu'elle était vraiment très heureuse de pouvoir rencontrer des pratiquants et réapprendre les exercices.

Elle a signé bien sûr aussi la pétition. Elle voudrait être mise au courant si quelqu'un venait pour faire les exercices du côté de Quimper.

Elle ne se souvenait plus si elle s'était procurée le Zhuan Falun auparavant et qu'il avait peut-être été perdu au cours de ces dix ans. Elle avait vraiment l'impression de revenir dans quelque chose qui lui tenait à cœur.

Elle a dit aussi à la fin qu'elle se sentait bien avec les pratiquants, qu'elle avait besoin de ce genre d'énergie. Elle a appris les exercices vers la fin de la matinée.

Un groupe d'étudiants chinois qui faisaient une visite guidée de la ville, se sont arrêtés près de notre stand et certains ont regardé de loin les panneaux avant que la guide ne les emmène ailleurs.

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Etudiants chinois et un taïwanais

À côté de ce groupe, un étudiant taïwanais et un français qui étudie le chinois, ont écouté les pratiquants leur expliquer les faits. L'étudiant taïwanais a dit qu'il avait déjà vu les pratiquants faire les exercices à Taïwan. Il avait entendu parler de la persécution des pratiquants en Chine et observé certains touristes chinois qui lisaient discrètement les panneaux, alors que d'autres écoutaient seulement le guide.

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Sylvie Parquet signe la pétition

Sylvie PARQUET, de nationalité canadienne, s'est arrêtée sur le stand pour s'informer. En apprenant les persécutions des pratiquants du Falun Dafa en Chine par le PCC elle a déclaré :

« Excusez-moi mais je dois reprendre mon souffle. Je n'arrive pas à concevoir et imaginer de telles atrocités. Cela me touche le coeur »

Elle a signé la pétition et a remercié les pratiquants pour leurs explications.


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Un petit groupe de jeunes sont passés devant le stand

Jusqu'au démontage du stand les gens s'approchaient, comme cette femme très intriguée se demandant pourquoi un tel acharnement. C'était aussi questions sur questions.

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