La moralité est la meilleure médecine et recette pour résoudre tous types de maladies et de désastres dans le monde.

Il y a une histoire rapportée dans "Les histoires classiques du bouddhisme" : une personne est allée voir le Bouddha après sa mort, et elle a dit au Bouddha en sanglotant: "Bouddha, pourquoi êtes-vous si cruel ? Vous m’avez rendu si occupé chaque jour, mais je n'ai rien obtenu ; la nuit, mon âme n'est même pas ici, elle tremble, il n'y a pas de jour où je ne souffre pas !"

Le Bouddha a demandé: "Pourquoi cela ?"

L'homme a répondu : "Pour gagner de l'argent, j'ai dit beaucoup de choses contre mes intentions et fait beaucoup de choses contre mes intentions, mais c'était pour survivre et je n'ai rien épargné. Le soir venu, je me bats avec le sommeil, ça ne diffère pas de l'enfer. Bouddha, la vie n'est pas facile, pourquoi me laissez-vous souffrir ?"

Le Bouddha a dit : "Vous trompez les autres pour votre propre vie, et non pour survivre par une voie légitime. Je suis bon et je ne pousserai jamais une personne légitime au désespoir. Votre esprit est rempli d'herbes vénéneuses ; vous avez besoin d'une sorte de remède pour vous en débarrasser."

Cette personne s'est empressée de demander : "Quel est ce remède ? Dites-moi le nom et je vais l'acheter immédiatement !"

Le Bouddha a dit : "Le remède est moral. La moralité est une panacée qui peut prévenir toutes les maladies."

Sous les dynasties du Sud et du Nord, le livre ancien de Liu Song, "Lu Yi Zhuan", relate l'histoire d'un magistrat de canton qui infecté par une épidémie, demande aux dieux de le guérir : Wu Shiji, magistrat du canton de Jiaxing, était atteint de paludisme. Lorsqu'il est passé devant un temple à Wuchang, il a envoyé quelqu'un se recueillir en son nom et prier sincèrement les dieux de l'aider à se débarrasser de la "malaria" qui l'avait rendu malade. Après avoir quitté le temple plus de 20 miles plus loin, il s'est reposé et endormi. Dans son sommeil, un homme sur l'étang le poursuivait à cheval et l'appelait d'urgence. Il a finalement rattrapé le bateau de Wu Shiji, est monté à bord avec un fonctionnaire, a attaché une vie enfantine et l'a emmenée. Wu Shiji s'est réveillé du rêve et sa malaria était guérie.

Certains pensent que l'histoire est déroutante, mais en fait ils ne comprennent pas la culture traditionnelle. La culture traditionnelle est une culture transmise par les dieux, une culture mi-dieu et divine. Les anciens croyaient que les fléaux et les maladies infectieuses étaient contrôlés par les dieux des fléaux dans une dimension supérieure, et les vies causant directement des fléaux pour les gens dans des dimensions inférieures étaient appelées fantômes des fléaux. Parmi elles, celles qui provoquaient la malaria étaient appelées "malarias". La vie à l'image d'un enfant emportée par les dieux est un fantôme de fléau. Si le fantôme de cette dimension disparaît, la maladie de Wu Shiji sur terre sera guérie.

Cette histoire traditionnelle montre que lorsque les gens tombent malades, ce n'est pas sans raison, mais que c'est aussi une forme de vie qui est impliquée. Demander l'aide des dieux est la meilleure solution, et croire aux dieux et aux bouddhas n'entre-t-il pas dans la catégorie de la moralité ?

Le livre ancien "Taiping Guangji" relate une histoire vraie : sous la dynastie Song, derrière le gouvernement du canton de Jiangning, un homme nommé Wang avait ouvert un hôtel. Toute sa vie, il avait été droit et vénéré les dieux et les bouddhas. Il était également très serviable envers les pratiquants spirituels. Connu pour son commerce équitable et sa loyauté, les gens l'appellaient Wang l'Honnête.

Guimao, le soir du 15 février, le magasin était sur le point de fermer. Soudain, il vit un certain nombre de généraux en rouge avec de nombreux chars et serviteurs qui venaient se reposer dans le magasin. Le vendeur s'empressa de retenir Wang l'honnête et lui dit : "Dépêchez-vous d'entrer... et servez respectueusement l'armée et les serviteurs avec du vin et de la nourriture. "En un instant, un groupe de garde rapprochée prit un gros paquet de cordes et d'outils, marcha vers le général et dit : "Demandez un encerclement." Le général hocha la tête et acquiesça . Ces gens sont sortis, ont cloué des bâtons de bois au sol, y ont attaché des cordes et les ont nouées autour d'eux. Partout dans les ruelles et aux angles des maisons, ils se nichaient dans les recoins et entouraient les cordes.

Ceci terminé, la garde rapprochée a dit : "Les cordes sont nouées et cette boutique est également fermée." Le général en chef dit : "Ce Wang l'Honnête a cru en Dieu toute sa vie, il traite les gens avec sincérité et est bon avec les autres, et l'Empereur du Ciel le sait. Cette boutique peut être laissée en paix. Pardonnez. Si vous ne pardonnez pas, vous ne verrez pas la vérité ni la justice." Tout le monde accepta, s'empressa d'arracher l'enseigne en bois, de détacher la corde et de déplacer la boutique hors de la clôture en tissu.

Après quoi, ils montèrent tous sur leurs chevaux et s'éloignèrent, disparaissant en un clin d'œil. Wang l'honnête et son assistant regardèrent les bâtons de bois et les cordes qui avaient été cloués autour d'eux, et tous étaients horrifiés.

Deux jours plus tard, un grand incendie se déclara à Jiankang. Toutes les cordes attachées la veille furent brûlée. L'hôtel de Wang l'Honnête était sain et sauf, mais il y avait des cendres tout autour.

Tout comme les gens qui tombent malades, les catastrophes dans le monde ne se produisent pas sans raison, elles sont arrangées par les divinités, et le fait que les catastrophes puissent être évitées est lié à la moralité des gens dans le monde, et les bonnes personnes n'en font pas partie.Wang l'Honnête a été franc dans sa vie, a vénéré les dieux et les bouddhas, commercé équitablement et a traité les pratiquants avec gentillesse. Il a d'abord accumulé de la vertu, ce qui lui permet de comprendre le processus d'arrangement des catastrophes et les raisons pour éviter les catastrophes. Dieu l'encourage à bien faire.

La bonne médecine et le remède pour résoudre toutes sortes de maladies et de désastres dans le monde ne peut être que la moralité. La norme morale reconnue par les dieux et les bouddhas exige qu'ils croient aux dieux et aux bouddhas et les respectent. Ce n'est que selon ce principe qu'il peut y avoir une véritable moralité.

Le PCC s'oppose aux dieux et aux bouddhas et s'engage dans diverses campagnes politiques visant à détruire la croyance des gens dans les dieux et les bouddhas et leur connaissance de la culture traditionnelle. Cela revient à détruire la moralité des gens à la racine ! Le PCC persécute le Falun Gong et dénigre la Vérité, la Bonté et la Tolérance. L'objectif du PCC est de détruire fondamentalement la moralité humaine et de détruire l'humanité. Telle est la véritable cause du désastre permanent en Chine continentale et de la pandémie du PCC

Rejeter le PCC, choisir de se retirer des organisations du parti, de la ligue et des organisations de jeunesse du PCC (les trois retraits), respecter les pratiquants de Falun Gong qui insistent pour clarifier la vérité et sauver les gens, et croire que " Falun Dafa est bon. Vérité, Bonté, Tolérance est bon." Se conformer aux caractéristiques de l'univers, la Vérité, la Bonté et la Tolérance sont le meilleur moyen de résoudre le sort de l'humanité aujourd'hui sans dépenser un centime. Le PCC est en vérité e diable, et il utilise des tours pour mentir, tromper et détruire les gens. La fin doit être l'annihilation du PCC, et ses partisans seront détruits !

Les dieux et les bouddhas continuent de donner aux gens la possibilité de se repentir et de revenir en arrière. Les pratiquants de Falun Gong continuent à clarifier la vérité pour sauver les gens, comprenant la vérité et rétablissant la moralité et la conscience. Une pensée bienveillante est un brillant avenir ! Chérir la vérité sur le Falun Gong, c'est chérir l'avenir de sa vie.

Traduit de l'anglais

https://www.pureinsight.org/node/7592

Version chinoise

http://www.zhengjian.org/node/264522