Les pratiquants de Falun Dafa ont organisé, du 16 au 20 juillet 2022, une série d'activités sur la Plaza del Callao dans le centre-ville de Madrid et devant l'ambassade de Chine en Espagne. Ils ont clarifié la vérité et protesté pacifiquement contre la persécution menée par le Parti communiste chinois (PCC) depuis 23 ans. Ils ont également appelé à la fin de la persécution et à la désintégration du Parti.
C'est sous un soleil brûlant, le matin du 16 juillet, que les pratiquants ont installé des panneaux informant sur le fait que le Falun Dafa est aujourd’hui pratiqué dans le monde entier et détaillant la persécution du PCC. De nombreuses personnes se sont arrêtées pour lire ces informations et ont signé la pétition demandant la fin de la persécution.
Nicolás, d'Argentine, a remarqué l'activité de clarification de la vérité lorsqu'il est passé par là. Après avoir pris connaissance de la persécution, il a déclaré : "Tout cela est trop terrifiant. Je ne comprends pas pourquoi le PCC en arrive à une situation aussi extrême et a perdu tout respect pour les gens."
Il a dit qu'il avait vu une exposition de corps (de personnes plastinées) il y a quelques années. Ce qui l'a impressionné, c'est qu'à l'entrée de l'exposition, un manifestant disait que les cadavres étaient des personnes détenues pour leurs croyances religieuses en Chine. Il n'y a pas prêté beaucoup d'attention à l'époque, mais il comprend maintenant que tout cela a quelque chose à voir avec le crime du PCC qu'est le prélèvement forcé d'organes, ce qui est absolument inacceptable.
Avant de partir, il a déclaré que tout ce que fait le PCC vise à détruire l'humanité, et il espère que le PCC ne réussira jamais.
Après avoir appris les atrocités commises par le PCC, Concepción a déclaré : "C'est inhumain, cela viole toutes les lois. Les fonctionnaires du PCC (qui participent à la persécution) ne sont tout simplement pas humains à mon avis." Elle a signé la pétition demandant la fin de la persécution et a dit qu'elle en parlerait à sa famille et à ses amis.
Elle a dit qu'elle était intéressée par le Falun Dafa et qu'elle prévoyait de se rendre dans le parc local pour apprendre les exercices.
Vanesa, une étudiante de 22 ans, a déclaré après avoir appris cette persécution : "C'est non seulement triste mais aussi choquant. Ce qui est choquant, c'est que personne n'a pris la défense des victimes. Les grands médias de la société actuelle sont tous motivés par des intérêts." Elle a déclaré qu'elle contribuerait à diffuser l'information sur la persécution. "Les médias sociaux sont l'un des bons outils. De cette façon, on peut aussi contribuer à mettre fin à la persécution."
Rassemblement devant l'ambassade de Chine en Espagne
Le 20 juillet au matin, des pratiquants de différentes régions d'Espagne ont organisé un rassemblement pacifique devant l'ambassade de Chine pour demander la fin de la persécution. Pedro Requejo et Francisco José Contreras, membres du Congrès des Députés, ont envoyé des lettres pour exprimer leur soutien.
M. Contreras a déclaré dans sa lettre : "Nous souhaitons exprimer notre soutien à la manifestation contre la persécution du PCC. Nous demandons à la communauté internationale de prêter attention et de mettre fin à la persécution du Falun Gong, en particulier de mettre fin aux prélèvements inhumains d'organes vivants."
Les pratiquants ont déployé bannières et panneaux en face de l'ambassade de Chine. Les bannières accrocheuses ont largement attiré l'attention, et beaucoup de gens se sont arrêtés pour lire l’information et prendre des dépliants. Bien que de nombreux automobilistes n'aient pas pu s'arrêter, ils ont klaxonné pour montrer leur soutien.
Après avoir lu les panneaux devant l'ambassade, Bibiana a déclaré : "Ce genre de choses qui se passent en Chine est épouvantable et doit cesser immédiatement. Pour l'arrêter (la persécution), il est nécessaire de diffuser la vérité au gens. Notre gouvernement devrait aider à mettre fin à la persécution."
Diana a été consternée lorsqu'elle a appris la persécution du PCC et le prélèvement forcé d'organes en Chine. Elle a déclaré : "Il est incroyable qu'une telle chose se produise à l'époque où nous vivons. Je sais que le régime du PCC est une dictature, et je sais aussi comment le PCC contrôle ses citoyens en ligne.
"Le peuple chinois n'a aucune liberté pour obtenir de vraies informations. La Chine est une société fermée, et il est difficile pour les nouvelles de se propager de manière véridique. La situation de la pandémie montre que les informations à l'intérieur de la Chine sont déformées. Des choses terribles se sont produites en Chine, mais lorsque nous connaissons la vérité, il est déjà trop tard, le virus s'est répandu."
A propos du prélèvement d'organes, elle a déclaré : "C'est un meurtre. Je n'en ai jamais entendu parler. Je suis sans voix. Si vous voulez changer le statu quo, la Chine doit être transparente, ce qui est difficile pour une Chine fermée. Mais chacun d'entre nous qui connaît cette question doit prendre l'initiative de diffuser la vérité afin que les choses puissent évoluer dans un sens positif."
Kenia, de Cuba, a dit qu'elle avait vu des pratiquants recueillir des signatures il y a quelques années. Concernant la nature du PCC, elle a déclaré : "Cuba, comme la Chine, est contrôlée par une dictature. À Cuba, les gens sont emprisonnés pour s'être opposés au gouvernement. Il en va de même en Chine.
"Le communisme ne fonctionne pas, ni maintenant, ni dans le passé, ni dans le futur. Il n'y a même pas de liberté d'expression de base. Tout le monde devrait être libre. Comme les Cubains, les Chinois ont besoin de l'aide du monde. Les peuples du monde doivent voir ces crimes, ce n'est qu'en le faisant que l'on peut espérer que cela change."
Version anglaise :
https://en.minghui.org/html/articles/2022/7/27/202467.html
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