L’avocat du procès intenté en Argentine contre d'anciens dirigeants du Parti communiste chinois envoie ses félicitations pour la Journée mondiale du Falun Dafa

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Le 13 mai 2020, était la Journée mondiale du Falun Dafa et le 28e anniversaire de la transmission du Falun Dafa au public. C’était aussi l’anniversaire de Maître Li, le fondateur de la pratique.


Maître Alejandro G. Cowes, l’avocat des plaignants dans le procès contre l’ancien dirigeant du Parti communiste chinois Jiang Zemin et l’ancien chef du Bureau 610 Luo Gan en Argentine, a envoyé le 16 mai 2020 une lettre pour marquer l’évènement.

L’avocat Alejandro G. Cowes a envoyé une lettre pour marquer le 28e anniversaire de la présentation du Falun Dafa au public

"Ces derniers jours, j’ai lu beaucoup de félicitations venant du monde entier pour la Journée Mondiale du Falun Dafa." a déclaré Maître Cowes : "J’aimerais aussi envoyer mes félicitations à M. Li Hongzhi pour son anniversaire et ces 28 années difficiles d’enseignement des principes de Vérité-Bonté-Patience."


"En tant qu’avocat des plaignants en Argentine dans l’action en justice examinant la persécution et le génocide à l’encontre des pratiquants de Falun Dafa par le régime communiste chinois et ses complices, je souhaite exprimer ma profonde admiration pour la résistance pacifique des pratiquants de Falun Dafa en Chine continentale défendant ces principes. Permettez-moi aussi d’exprimer mon appréciation et ma gratitude que de tels enseignements puissent être transmis dans le monde entier ; ils ont eu un grand impact sur moi dans ma profession juridique.


"J’espère apporter ma pierre à l’édifice afin d'assurer que cette persécution criminelle et complètement injuste prenne fin rapidement, et que le plus tôt possible, le Falun Dafa puisse être pratiqué librement dans toute la Chine continentale, comme c’est le cas dans le monde entier."


Historique
Le 13 décembre 2005, l’Association Falun Dafa d’Argentine (FDAA) a porté plainte contre le membre du Comité Permanent du Parti communiste chinois et chef du Bureau 610 Luo Gan pour torture et génocide. La FDAA a intenté la plainte lorsque Luo est venu en Argentine.


Maître Cowes était l’un des deux avocats ayant entamé le procès initial. Lui et l’autre avocat, Adolfo Casabal Elia, ont représenté gratuitement les pratiquants dans le procès.


Le juge, Octavio Araoz de Lamadrid de la Cour Fédérale N.9, a accepté l’affaire et y a ajouté par la suite l’ancien dirigeant chinois Jiang Zemin comme accusé, après avoir appris que Jiang avait lancé la persécution du Falun Gong en Chine.


Quatre ans plus tard, le 17 décembre 2009, le juge Lamadrid a émis une ordonnance nationale et internationale demandant à Interpol de capturer les accusés Jiang et Luo s'ils se rendent en Argentine ou dans tout pays ayant conclu un traité d'extradition avec l'Argentine.


Suite à la décision du tribunal, l'ambassade de Chine en Argentine a rapidement pris des mesures et fait pression sur les membres du département d'État argentin, les élus et les fonctionnaires de la justice, et le juge Lamadrid a été contraint de démissionner. Le juge qui a remplacé Lamadrid a révoqué les mandats d'arrêt internationaux pour Jiang et Luo et a clos l'affaire dès le premier jour de son mandat, en invoquant le manque de preuves.


La FDAA a fait appel devant la Cour fédérale d'appel pénal, mais la cour a rejeté l'affaire en décembre 2010 sur la base du principe "non bis in idem". La cour a déclaré que si la Cour pénale internationale a statué sur l'affaire contre les mêmes défendeurs, aucune autre cour ne peut juger la même affaire. Une affaire similaire concernant des violations des droits de l'homme à l'encontre des adeptes du Falun Gong a été portée devant la Cour d'appel d'Espagne. La Cour d'appel argentine a donc décidé que le principe s'appliquait.


La FDAA a ensuite fait appel devant la Haute Cour pénale d'Argentine, soulignant que des pressions politiques avaient amené la juridiction inférieure à rejeter leur affaire et que le principe de "non bis in idem" ne devait pas être appliqué avant que les accusés ne soient officiellement condamnés.


La Haute Cour pénale d'Argentine a annoncé sa décision de rouvrir l'affaire le 17 avril 2013.


Version en anglais :
https://en.minghui.org/html/articles/2020/5/28/185249.html
Version chinoise :
https://www.minghui.org/mh/articles/2020/5/23/阿根廷律师恭贺大法弘传28周年暨李洪志师父华诞-406723.html

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.