Épidémies, sécurité et conscience

Le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV), une épidémie qui a pris naissance à Wuhan, dans la province de Hubei, a échappé à tout contrôle. Il y a maintenant des cas confirmés dans toutes les provinces et villes de province en Chine.

Mais la situation réelle pourrait être bien pire que ce qui a été publiquement rapporté par les médias chinois. Depuis l'apparition du virus, les responsables du Parti communiste chinois (PCC) ont étouffé l’affaire et sous-estimé le nombre de morts. Guan Yi, un expert en virus de l'Université de Hong Kong qui a étudié de nombreuses épidémies, dont le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) de 2003, a déclaré : "La situation est cette fois-ci au moins dix fois pire que le SRAS".

Situation actuelle
Presque toutes les villes de la province du Hubei sont fermées à la circulation. Sept autres régions, dont Pékin, Tianjin, Shanghai, Hebei, Shandong, Hainan et Xi'an, ont annulé les voyages et le tourisme intra-provinces. Des avis aux voyageurs ont été diffusés dans presque toutes les provinces et les villes de Chine.

Beaucoup de gens choisissent de rester chez eux et évitent autant que possible de voyager. Les experts médicaux recommandent aux gens de porter des masques faciaux, de boire plus d'eau et de se laver les mains fréquemment.

Néanmoins, les chercheurs prévoient que le nombre de patients infectés puisse atteindre environ 250 000 dans les deux prochaines semaines. En outre, la propagation pourrait continuer dans les grandes villes, comme Pékin, Shanghai et Guangzhou. Vu l'ampleur de cette contagion, l'hygiène personnelle pourrait avoir un effet limité sur la protection contre le virus.
Alors que faut-il faire ?

Leçons de l'ancienne sagesse
La culture traditionnelle chinoise des derniers millénaires a mis l'accent sur les relations de cause à effet. Plus précisément, la promotion de la vertu peut aider à éviter les catastrophes ou les fléaux. Voici un exemple.

Un tremblement de terre majeur s'est produit à Dali (l'actuelle province du Yunnan) en mars 1914. Selon le Centennial Earthquake Catalog de l’ United States Geological Survey, il a été enregistré avec une magnitude de 6,7.

Selon un témoin, presque toutes les maisons de la ville de Dali se sont effondrées, à l'exception des pagodes des temples. Les incendies ont éclaté à partir de fissures dans le sol et se sont répandus partout. Alors que les gens couraient pour se mettre à l'abri, certains ont été brûlés, et d'autres sont morts après être tombés dans les fissures. Parmi les milliers de familles de la ville, très peu ont survécu à la catastrophe.

Il y avait deux boutiques d'or dans la ville : l'une était Wan Chang, appartenant à la famille Zhao ; l'autre Zhan Ran de la famille Yang. Lorsque le feu a atteint ces deux endroits, il s'est arrêté de lui-même. Ces deux boutiques, chacune remplie de dizaines de personnes, en sont sorties indemnes. Les résidents locaux ont dit que les bénédictions des deux familles étaient le résultat de leur générosité et de leur gentillesse envers autrui, ainsi que de leur croyance en Bouddha. Cette histoire a été enregistrée dans les Chroniques du moine Xu Yun.

Miracles lors du tremblement de terre et du tsunami de l'océan Indien
Des miracles similaires ont également été observés dans notre société moderne. Le 26 décembre 2004, le tremblement de terre et le tsunami de l'océan Indien ont tué près de 230 000 personnes dans 14 pays. Un larticle soumis à Minghui.org décrit comment la fille de l'auteur et ses amis ont survécu à la catastrophe.

" Pendant la période de Noël 2004, ma fille est partie en vacances en Thaïlande avec ses amis. Vingt minutes avant l'arrivée de la plus grande vague sur la côte de l'île de Phuket, ma fille et ses amis l'avaient quittée pour aller aux îles Phi Phi en bateau", a écrit l'auteur.

Sur le bateau, la jeune fille et ses amis ont profité du soleil et des beaux paysages, totalement inconscients du tsunami qui se déplaçait sous la mer des îles Phi Phi vers Phuket, l'île qu'ils venaient de quitter. " Quand ils ont vu l'océan se déchaîner et qu'ils ont appris le désastre, ses amis ont eu peur. Ma fille leur a conseillé de réciter “Falun Dafa est bon” et “Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”. Ils avaient peur, mais ma fille leur a assuré qu'ils seraient sains et saufs.

" S'ils avaient quitté Phuket vingt minutes plus tard ou étaient arrivés à Phi Phi trente minutes plus tôt, ils auraient dû faire face au tsunami ", explique l'auteur. " Quelques heures plus tard, quand ils sont retournés sains et saufs à Phuket, la belle île était à l’état de ruine. Ma fille a vu le cadavre de nombreuses victimes à l'hôtel où ils avaient logé. Elle a offert tout son argent en espèces aux habitants locaux. "

Un chemin vers la santé et la sécurité
Conformément à la culture traditionnelle chinoise, le Falun Dafa promeut le principe Authenticité-Bonté-Patience. En pratiquant ce principe dans leur vie quotidienne et en faisant les exercices, les pratiquants de Falun Dafa jouissent de la santé et du bonheur.

En outre, alors que les pratiquants innocents sont persécutés pour être restés fidèles à leur foi, les non-pratiquants qui les soutiennent en suivant leur conscience ont également reçu des bénédictions, allant de l'amélioration de leur santé au bonheur familial ou en survivant miraculeusement à des accidents.

Alors que la nouvelle épidémie continue de se propager, une fois de plus ceux qui suivent les valeurs traditionnelles et soutiennent les justes seront bénis. Pour les Chinois, il peut s'agir de garder à l'esprit que " Falun Dafa est bon " et "Authenticité-Bonté-Patience est bon", ainsi que de démissionner des organisations du PCC.

On peut lire dans le Huangdi Neijing (Le classique de la médecine interne de l'Empereur Jaune), l'un des livres les plus respectés sur la médecine chinoise : " Si la droiture prévaut à l'intérieur, rien de mauvais ne pourra s’engouffrer ." Ce qui explique le lien entre conscience, sécurité et épidémies.

Version chinoise :
http://www.minghui.org/mh/articles/2020/1/28/400403.html