Voici prés de deux décennies que les pratiquants de la région parisienne tiennent chaque week-end des activités pour présenter la pratique et dénoncer la persécution aux promeneurs et touristes sur le Parvis des droits de l’homme.
Informer les touristes sur le Parvis des droits de l'homme, le 2 juin 2019 |
Lors d’une telle activité, Sandrine Etui, française, s'est dite préoccupée par les violations des droits de l'homme en Chine. Elle a dit : " L'économie chinoise s'est beaucoup développée et il y a beaucoup de coopération entre la Chine et la France. Mais je n'avais pas entendu parler de la persécution jusqu'à ce que je voie ces panneaux aujourd'hui."
Etant chrétienne, elle était au courant de la répression de la religion en Chine, mais ignorait tout de la persécution du Falun Dafa. Elle a signé la pétition pour condamner ces crimes.
Vivian Nakachima, des États-Unis, a elle aussi signé la pétition. Elle a trouvé la pratique du Falun Dafa paisible et relaxante. "Il n'y a rien de mal avec cette pratique ", a-t-elle dit. " Pourquoi est-elle interdite en Chine ? Les gens sont même torturés parce qu'ils pratiquent le Falun Dafa. C'est intolérable ! "
Isabelle et son mari n'avaient jamais entendu parler de la persécution. Ils ont été particulièrement choqués quand ils ont appris le massacre approuvé par l’état de pratiquants de Falun Dafa pour leurs organes en Chine.
" Un crime d'une telle ampleur a cours encore aujourd'hui en Chine, et je n'en ai jamais entendu parler. C'est choquant ", a-t-elle dit. "Nous savions que le peuple chinois n'a pas la liberté de croyance, mais nous ignorions la persécution. Les médias français n'ont pas bien fait leur travail d'informer le public. "
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